Je t'enverrais des fleurs de Damas

[...]
Mais -et les textes que vous nous donnez à lire le confirment- on n'écrit pas lorsqu'on est heureux.
J'ai l'impression que l'envie d'écrire, de s'exprimer, de créer une histoire naît d'un manque, 'une angoisse.
Sans malheur, rien à dire.
Avant que Wassim ne parte, tout allait bien dans ma vi et j'ai cessé d'écrire.

p119 à 120

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