Je souhaite te revoir, c'est une fatalité qui me gêne. Elle me détruit au lieu de me faire sourire. Je croyais quand tu me disais que tu n'allais jamais me faire du mal, je n'aurais pas due parce maintenant je souffre. J'avais l'espoir qu'un jour notre histoire se finira a cause de la mort. Tu m'as bufflée, aveuglée. J'ai n'ai rien vue de ce qui se cachait derrière tes mots, dans ton regard quand tu parlais, dans ton sourire maléfique. C'est frustrant de ce dire que j'ai pue y croire, que je me dois faite bernée de cette manière. Je suis tombée bien bas, je ne sais point me relevée. Je ne sais pas si tu as conscience que tu es partis avec mon coeur, me délaissant avec juste un corps sans vie. Ma joie de vivre, mon sourire, ma pestilence, mon bonheur, mon rire, mon plaisir, mon humour, ma folie, tu as pris tout ça en partant, je suis comme vide. Je n'ai plus aucun repos, plus de mérite même pas ne serais ce qu'un soupçon de dignité et de fierté. Je n'ai plus rien, que mon coeur qui bat, que mon corps pour bouger et la tête pour réfléchir à toutes mes erreurs.