Mort emporte-moi avec toi.
Mets fin à ma vie.
J'ai trop souffert pour continuée.
Je m'arrête là.
C'est la chute de trop.
Je suis paralysée.
Je ne sais plus bougée.
Pourquoi ne m'as-tu pas encore prise.
Je suis condanmée à restée ici, à moitié morte, corps brisé, coeur déchiré, âme destée, esprit disparu, cerveau écrasé.
Je suis condanmée à resté là où je viens de tombée, comme une lâche.
Je suis sans espoir pour me relevée.
Le goût de le défaite en bouche, je te supplies de me prendre.
Le dégoût de la vie dans le peu de moi qu'il reste.
Je ne demandes que ça.
Je veux mourir maintenant, un sourire sur mon visage pâle.
Je suis sans teint.
Je meurs, emporte-moi une bonne fois pour toute, qu'on en finisse.
Tu me prends petit à petit, me donnant ma dernière chance de vivre.
Je ne bouge pas depuis les années que j'attendais que tu viennes me cherchée.
Tu n'es jamais venue.
Tu es là, prends moi, ne fait pas demi-tour comme tu l'as tant fais.
Je ne veux plus vivre sur cette terre, où les copier/coller sont plus dans la rue que sur les ordinateurs.
Je ne veux plus être spectatrice de cette follie meutrière.
Je ne veux plus être une poupée de l'état, une pourpée du monde.
Je ne veux plus à avoir à me taire.
Je n'ai jamais parlée alors que j'en avais envie.
Je me suis tu comme le voulais les plus forts.
J'ai choisie mon clan, celui de la mort.
Durant ma vie je marchais dans le vide, entre la vie et la mort.
La mort, gentille mort cruelle comme tu es, prends-moi dans tes bras.
Détruit-moi.
Vie enlève toi de moi.
Je ne veux plus me battre.
Je mourais sans larme, sans regret.
Je suis sans vie au milieu du chemin de mon existence.