Petite nouvelle/poème


Anaïs voyait sombre. C'était loin là-bas. Loin de tout ce qu'elle avait déjà vécue. Elle ne pourrait revenir en arrière. Pourtant elle aimerais tellement. C'était si beau avant. Avant qu'elle ne tombe dans l'oublie. Avant qu'elle ne tombe, tout simplement.

On s'était moqué.
On l'avait abattue.
On l'avait emporté.

A douze ans déjà, elle sombrant dans l'oublie
A douze ans déjà, elle tombait dans la dépression.
Elle ne pourrait en arrière. Pourtant elle aimerait tellement.

De jours en jours, Anaïs était oublié. S'était oublié
Ses notes baissaient,
Ses amis disparaissaient,
Ses parents n'était pas très fier d'elle,
Son frère l'insultait.
Et pourtant, elle était toujours là.
A survivre.
A s'empêcher de faire du mal aux personnes qui l'aimait.
Si elle en avait...

Si elle pouvait qu'on l'aime !
Si elle pouvait s'aimer !
Sa vie serait bien plus simple a la jeune fille.
Mais...la vie n'est pas toujours parfaite.
Elle faisait des hauts, et des bas.

C'est comme une balance :
Il y a deux masses ; deux période de la jeunesse : enfance et adolescence.
A chaque côtés de la balance, une période.
Si l'adolescence descend vers la bas, elle est plus lourde.
Plus lourde a supporter.
C'est la cas d'Anaïs.

《Au revoir monde. Merci de m'avoir faire apprendre, découvert, échoué. Merci pour tout.
Je ne pensais pas en arriver jusque là. Mais c'est le jour. Il fallait le faire.

Adieu.
Maman et papa, je vous aime.
Anthony, mon frère, je t'aime même si tu m'as fait souffrir.
Ma famille, je vous aime.

Anaïs.

Uyku





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