Douce lame tranchant ma peaux de millier de coupure me fessant sentir vivant mais pourtant me plonge dans une mort certaine en continuant cette douce souffrance.
N'est ce pas un beau paradoxe.

Je vois comme tous les soir ou les matin cette lame coupant ma peaux ou un un magnifique liquide rouge carmin sort de ces plaît fait.

Ces coupures plus ou moins grand me rendant heureuse et pourtant les larmes ne n'arrête de couler me fessant plonger dangereuse dans une folie certain.
La mort je la caressé du bout des doigts ma vie ne tenait que trait peut et quand la joie te revient qu'on te soutient  me disant c'est la fin mais déjà je recommence je dit que j'arrête  mais je n'y arrive pas.

Alors je continu pensant  que c'est meilleur chose à faire et pourtant nous ne pouvons pas le faire ou en tout cas seul.

Car on nous a obligé à commencer.