les voitures... et Fabrice
le média n'est une 4L c'est une autre voiture mais que j'adore !!!!
C'était un samedi midi au mois de mai, les beau jour été déjà présent, dans mon petit village de province perdu au milieu de champs et de campagne, les plus âgés du village joué à la pétanque sur la place de l'église, tous ça sous un soleil brillant, avec l températures douce, pas un nuages, les miss et masters météo avait affirmé que le beau temps été au rendez vous. Ma famille avait prévu d'aller pique-niquer dans la pleine du village c'était notre parc, mon père travaillant beaucoup voulais absolument profité de jour, il a voulu sortir sa voiture Oldsmobile 98 rouge brillant (celle du media du coup). Mais ma mère a dit non et il a sorti sa Renauld Mégane, pour le piquenique.
La banquettes arrière faite en tissus moche est pas doux, bien confortable mais pas assez pour de long voyage, je m'asseye toujours derrière la place passager pour pouvoir admiré le paysage et sentir l'air quand on sort notre main de la fenêtre de la voiture, a coté de moi, il y avait Gérôme mon petit frère de deux et demis et mon autre frère Felix qui a avait eu récemment c'est 15 ans, j'était très proche de lui, il avait eu depuis son plus jeune âgé des problème de santé, il avait des problèmes respiratoire, dans ma famille nous somme que des garçons sauf ma mère bien attendu. Moi j'ai 16 ans c'est Fabrice.
Felix, confortablement assis a l'opposé de moi, riait au éclat avec toute ta famille, mon père resté concentré pour conduire la voiture. Felix avait beau porter en permanence une canule qui l'aidait à respirer, mais je le trouvais magnifique avec ses cheveux crépu blond, sombre et son sourire sincère, cela fessais 2 mois qu'il n'était pas aussi heureux qu'aujourd'hui. Mais soudainement une autre voiture déboula à toute allure devant vous a un croisement où vous étiez prioritaires, mon père eut le fabuleux reflex de freiner un grand coup pour évité la collision avec l'autre véhicule. Les ceintures de sécurité nous retinrent de basculer en avant, en un éclair, j'ai compris ce qui allait suivre, le choc ramènerait Felix sur son siège et avec l'inertie, sa tête reviendra vers l'arrière, mais comme le choc a été violent je me doutais bien que mon frère ne survivrais certainement pas.
Instinctivement, comme contrôlé par une conscience vaillante, je poussa un hurlement déchirant, tout comme Gérôme qui pleurer fort, je tendis les mains sur le cotés, et mes bras devenais aussi dur comme de la roche, le crâne lourd de Felix vint s'écraser contre mes paumes, et je lui sauva ainsi la vie. L'onde de de choc se répercuta le long de mes bras et parcourut mon corps tout entier. La sensation était trop etrange,inconnue,irréelle. J'aurait dit que mes bras n'étaient plus faits de chaire et de sang.
Tout le monde dans la voiture eu très peur et subit un grand choc, nous avions frôlé l'accident de très prés, et ma famille resta immobile, à souffler un grand coup pour se clamer. La respiration de Felix dominait les autres, j'ai entendu l'air circuler puissamment dans les tuyaux de sa canule.
Dans toute cette agitation, personne n'avait remarqué ce qui était arrivé, j'ai entendu les sirènes, le signes d'un sauvetages.
Mes larmes coulent à flot, mais je c'est pas si mes parents m'endentent, Felix et Gérôme me regarda eux aussi crié "Papa, Maman" dans tout l'habitacle de la voiture, quand un des pompiers sort mon père en premier ,ensuite ma mère, et mes frères son sorti normalement, moi on me transporta, avec un collier cervicale, et un tas de machine branché,on a été tout les 3 dans la même ambulance.
Je ferma mes yeux, les pompiers me Dissait de ne pas m'endormir, je divagué impossible de resté éveillé.
Quelque temps plus tard, je sens une odeurs particulières, pas agréable, Je dirais un mélange entre le sang, le plâtre et peut être de la Bétadine, j'entends des *bip bip* plutôt réguliers. Je me décide à ouvrir les yeux et les referment aussitôt quand mes yeux s'adapte plus ou moins a la lumières forte, je vois que je suis allongé sur un lit avec des machines différentes qui m'entoure et qui emmènent des sons ainsi que les machines sont reliées à mon bras, j'ai compris vite que j'était à l'hôpital, mais je ne voyais ni mes frères ni mes parents, ils sont où ? Je soulève la couverture à l'aide de mon bras non perfusé, j'ai juste une orthose je décide d'appuyé sur la sonnettes, des infirmières alerté par la sonnettes arrive dans la chambre.
- arrête tu te fait du mal ! une infirmière un peu en colère.
les autre infirmières m'empêchement de bougé, j'usqu'à temps que je me calme puis je me met a crier au scandale.
- Laisser moi sortirrrrr je veut rentré chez moi avec mes parents. je le dit en colère.
- Je vais chercher le médecin en charge de votre dossier il va tout t'expliquer ! Dissait l'une des infirmière.
Les autres justement continue de me bloquer pour bouger, je fini par arrêter, car je commencé avoir mal au bras, je les attendu sans faire de bruit, les infirmières on changer ma perfusion, a force de gesticuler j'ai pissé le sang a mon bras.
* TOC toc TOC*
Les trois coup francs me laissé deviné que s'était le médecins. Il s'approche de moi et me parle.
- Bonjour Fabrice, je sais que ta situation actuelle n'est pas facile mais avant de parler de ta santé, j'aimerais que tu me parle de l'accident, de ce que tu te souviens, s'il te plaît. Ordonna le medecin.
Je lui résume l'accident enfin de ce que me souvient, j'en profite pour lui demander des nouvelle de mes parents car personne n'a voulu m'en donner.
- Avant d'aborder tes parents, nous allons parler de toi. Premièrement, il faut savoir qu'un accident peut-être traumatisant,c'est pour ça qu'a l'hôpital, nous mettons à disposition des patiens, des psychologues hospitaliers avec lesquels tu peux parler de tout ce que tu souhaite. dit le médecin.
- et mes parents ? rajoutais je.
- Tu a réussi a sauver tes frères, pour eux la vie continue ils ont chez tes grand parents, mais pendent que tu protégé tes frères, toi tu a eu tout le choc de l'accident, tu a eu de nombreuses hémorragies qu'on ta soigné, une entorse a la jambe gauche, mais le petit problème c'est que tu a fait un arrêt cardiaque lors de ton transport ici, et tu devra resté 2 mois a peu prés ici. Dit le médecin.
- Hein ? c'est une blague ma vie est fichu. Rajouta dramatiquement.
- Ta vie ne s'arrête pas parce que tu avez fait un arrêt cardiaque, l'hôpital dispose de professionnel compètent qui peut vous aidé a tout moment. De même que... Continue le médecin.
Le médecin à continué à me parler pendent de longues minutes, mais j'ai vite décroché. Les larmes coulent encore, je n'arrive pas croire, qu'a mon Age je puisse crever d'un simple malaise, mais d'ailleurs j'ai toujours pas de nouvelle de mes parents !
- Bon et mes parents. Demandais je en pleurant.
- Je suis vraiment désolé Fabrice mais... il fit duré le suspense.
- Mais... quoi ? demandais je.
- Votre mère est décédé sur le coup, le choc à été trop violent. une voix qui fait pleurer.
Je pleur à chaude larmes, incapable de répondre quoique ce soit, j'attends maintenant qu'il annonce le décès de mon père, il m'observe sans rien dire, un silence règne dans la pièce et ça deviens lourd.
- Votre père, il est plongé dans le coma, lors de l'accident, il a perdu beaucoup de sang, il été mort mais on a réussi a le sauver, lors du transport a l'hôpital, il a un choc de l'accident, qui c'est déplacé son cerveaux au sein du crâne ce qui a endommagé les tissus cérébraux, du sang s'est alors répandu dans l'organe. Le cerveau ne reçois donc assez d'oxygènes et les cellules sont en danger de mort. Nous avons procédé à une opération afin de retiré un maximum de sang, suite a cela, nous l'avons placé dans un coma artificiel. Dit le médecin.
- Il va se réveiller ? Dit-je.
- Malheureusement ce n'est pas quelque chose que nous savons, s'il se réveille dans les 2 semaines qui suivent, il s'en sortira avec des troubles mentaux, comme une mauvaise régulation des émotions, dans le cas contraire son processus vital est engagé. dit il. Et toute mes condoléance. Termina t'il.
Je suis sans voix, le médecin reparti de la chambre. J'appuie alors sur le bouton et une infirmière arrive.
- qui a t'il ? demanda l'infirmière.
- faut que j'aille me vidanger... Dit je.
Une fois passé au toilettes j'ai demandé a aller voir mon père il m'on dit oui, quand je suis rentré j'ai vu mon père allongé et il m'a regardé ou c'est se que j'ai crus.
- Papa ? Papa, tu est en train de me regardé ? demandais je.
- ta rêver fiston, des que j'aurais claqué des doigts tu sera étalé au sol. Dit mon père.
Une fois que mon père a claqué des doigts j'ai appuyé sur le buttons et je me suis effondré par terre, un infirmer est arrivé est a commencé un massage...
j'ai entendu que mon père m'avait dit "Je t'ai manqué, tu a sauver tes frères, mais tu est trop faible pour le moment, ta mort est proche mon fils tu pourra revoir ta mère" mais j'ai rien compris et pourquoi je dois aller rejoindre ma mère c'est important.
- Il est en train de s'étouffé avec son sang, faite le basculer sur le coté.
J'ai du vomir ?
- Il est tout pale, faite lui une prise de sang, IRM enfin la total et maintenant sinon on risque de le perdre.
Mes mains tremblent, je vois trouble, un mal de tête, je regarde a ma droite impossible de dire je vois pas, j'ai une douleurs insupportable a la poitrine, ça me brûle, tout tourne au tour de moi, le bourdonnent est présent, la vitesse de la lumière je vois et je voulu pleurer mais un possible, une toux grasse pleine de sang, mes yeux se ferment. Quand je les recouvre je vois encore cette lumière blanche aveuglante du jour. Enfin quoi suis je dehors ou ? C'est fini pour moi autant emporte le vent et je vais rejoindre ma mère, des bips réguliers, quand j'ose rouvrir mes yeux encore une fois, des médecins ce sont penché sur moi, je bégaie des mots.
- sa recommencé ?N'est ce pas ? demanda gentiment.
Je cris au désespoir, essayant d'arraché les perfusions mais ils avait un coup d'avance, ils m'on mis des sangles je suis attaché au lits comme un fou je me débat, mais avec ma mains j'ai réussi a prendre l'aiguille que je vois et je me la plante dans le cou, je les entend crier et on demander de l'aide, je pense refermer définitives mes yeux, mais 3 jours après je me réveil, je refuse de dormir et de mangé mais avec mes conneries je devenais de plus en plus faible, j'jusqu'au jours ou j'ai pu sortir cet a dire 1 mois après on été en Juillet, donc il fait beau j'ai invité Damien et puis on c'est promener en ville, j'ai mon lacet de défait.
- Dam' attend je refait mon lacet. Je lui est dit.
- Ouais je traverse je t'attend en face. il m'a dit.
N'eu pas assez le temps pour lui dire de faire attention que j'entendis les frein d'une grosse voiture type 4X4, chercha Damien mais je ne trouvais pas c'est alors quand longeant le trottoir que vis Damien inerte au sol voulant me rapprocher de lui un homme me recula sur trottoir.
- Reste la je vais le voir, prend mon tel et appeler les pompier. Me Dissait l'homme.
J'exécuta son ordre bien 10 minutes plus tard les pompiers arriva et l'un d'eux ses rapprocher de moi.
- On peut rien faire pour ton ami, c'est fini, toutes nos condoléance. Ajouta le pompier.
Je reprend le chemin pour rentré dans ma ferme la où attend mon père et mes frères. Une fois rentré je me dirige vers ma cuisine et j'ouvre le frigo, j'ai pris le pack de 6 de bières. Je les bois tous je pris les clés d'une voitures dans la cours du conscientaire, Le peut que joué au jeux de voitures sur console (GTA) je démarre la voiture et je part en ville ne sachant pas ou aller j'ai appuyer sur l'accélérateur mais j'ai manouvre et je fonce dans un arbre devant la gendarmerie de ma ville les gendarmes ayant vu ma conneries on immédiatement appeler les pompier et fus transporté sur un hôpital. Je me souvient de rien car des le début du choc je tombe dans le troue noire.
Je suis complètement ivre, j'ai perdu le contrôle de la caisse, j'ai vu l'arbre se rapproché de moi pour me faire un câlin, ma tête percute le volant, faillais que je prennes la seule voiture du concessionnaire de père qui na plus d'airbag, le front qui saigné, du sang dans ma bouche en coulais, je voyais flou comme même, j'ai vu des égratignures de partout ainsi que je ne sentais plus mon bras... à ce moment là j'était hors de moi, je voulais crier, hurler et j'en avais l'impression, mais tout e que j'entendais était les sirènes de pompiers qui arrivé c'est a ce moment la qu'un des gendarme appelle mon père pour dire ce qui m'était arrivé je le sais, je voyais toujours flou et j'ai perdu connaissance, je m'imaginais avoir réussi mon suicide pour rejoindre ma mère et mon pote de toujours, mais je vienne de réalisé que si j'était capable de penser alors j'avait perdu la bataille lors de la sortie de la voiture, j'ai été dans une pleine de jeux deux enfants y joué me rapprochent d'eux je leurs demande pourquoi et il m'on dit "c'est pas le moment" que veut tu partir ou resté ?
j'ai demandé de vivre et c'est réalisé je suis désormais dans l'ambulance j'ouvre les yeux je vis mon père, un pompier et un gendarme.
- Alors, dit moi tu a le permis ? Demanda le gendarme.
- Bon alors j'avoue tout, j'ai pris le pack de bière de mon père j'ai tout bu, puis pris les d'une des voitures et j'ai conduit, comme je sais que j'ai pas le permis je l'ai fait pour rejoindre Damien. Il s'ai fait renversé 1 heures plus tôt. J'ai dit tout ça en bégaiement.
- Toi alors, tu va aller a coté de la maison, en plus il y a 3 mois tu a déjà eu un accidents de voiture, tu a sauver tout le monde et la depuis 1 mois et demis, tu devient complètement barge. Dit mon père.
Il serait pette temps de sans rendre compte.
31 aout.
Je fait ma valise et mon père m'accompagne devant le portail, un monsieur d'une trentaine d'années avec je suppose ses fils de les suivrais une fois dans le hall j'attend et l'un des gars de tout a l'Eure me regarde.
- Salut Fabrice, moi c'est Loïc donc, avant de t'emmener au dortoir, je dois te faire la visite médicale car j'ai ton dossier avec moi... Dissait Loïc
- Non... Tu ferra rien avec moi... Je lui est dit.
Il me dévissage avec dans sa main une planche avec des feuilles, je remarqua qu'il avait une attelle a la jambe et que vu comment je le regardais il se pose des questions.
- J'ai eu un accident, aller viens, on va discuté tranquillement, sinon gare a toi... et puis tu me connais t'est le voisin de l'école. Me dit il.
J'ai vu d'autre garçons et des filles, surtout que parmi eux, il y en a avait un qui chercha quelque chose. Je vais donc le voir.
- Salut, Moi Fabrice, et toi ? Dit je.
- Ba mon frère, y a un gars en attelle qui est sorti le rejoindre, il c'est cassé la gueule plusieurs fois par terre, il s'souffre tellement que c'est drôle. Dit il en rigolant.
- C'est pas bien de se moquer de autres, et le gars en attelle c'est Loïc, le fils du chef de l'école, il a eu un accident il y a 3 ans, enfin bref ton nom, pour que je te balance... Je lui dit sur le même ton que lui.
- Ok, Chris Delamarre j'ai 17 ans... Dit il énervé.
Je voyais bien de Loïc était allongé mais bougé plus j'ai décidé d'aller voir.
- Loïc ? Dit je.
- Oui... Va cherché mon père ou mon frère... Me Dissait il souffrant.
L'autre Chris m'avait suivis et rigoler encore, Loïc voyant qu'il se fessait moqué arracha de l'herbe sur le coté pour lui balançais a sa gueule.
pascal arriva avec Alexandre (Son fils).
- Alex, va aidé le p'tit la bas emmené le à l'infirmerie, moi je vais aidé Loïc. Dit Pascal.
Je voyais Pascal aidé son fils a se relever, le met sur son dos et se fait transporté dans la voiture de Pascal.
-Alexandre, tu est charger de gérer toute l'école, et si tu veut demande de l'aide. Crie Pascal.
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