La rose demeure une dame
Dévoilant sa fragrance d'âme
D'abord en bouton elle cache
Sa robe pour qu'on ne sache

Quelle beauté frappante elle est destiné
Et qu'avec les yeux on pourra toucher
Mais une femme, croyez-le, se défend
Des épines elle verse le premier sang

Pourquoi alors se défendre
D'une main qui ne veut descendre
Plus bas que veut le nécessaire ?
L'homme est de nature tortionnaire

Combien de roses furent troublées ?
Combien de roses sont isolés
Toutes leurs vies sous une bâche
Et voir les amputés ces mains laches

Elles savaient que leurs beautés signifiait la chasse
Elle qui sont souvent sortie de la pire des crasses
Alors elles épinent leurs troncs
leurs colonnes vertébrales
Et mettent en gardent les cons
Par ce language non-verbal