Le palais d'Alderaan, mon nouveau chez moi.

Princesse Leia Organa d'Alderaan, ma nouvelle identité.

Tout simplement, ma nouvelle vie.

Il n'y a plus de Leia Solo, contrebandière. Tout cela n'existe plus. Tout cela n'existe plus depuis que Han est parti, il y a maintenant 3 mois.

Tout a changé. Je suis des cours particulier au palais pour rattraper mon retard, j'ai rencontré toute ma famille et je me suis faites des amis, choses que je n'avais pas avant. Je suis également membre du Sénat Impérial, comme mon père. 

Aujourd'hui, je pars en mission. Je dois amener les plans de l'Etoile Noire à un certain Obi-Wan Kenobi, habitant sur Tatooine. Je pars sur le Tantive IV, une Corvette Corellienne CR-90 appartenant à ma famille. 

"Fais attention à toi Leia, je ne veux pas te reperdre." mon père me serra fort dans ses bras.

"Ne vous inquiétez pas, je reviendrai vite." je le serrais à mon tour dans mes bras.

J'embrassais mon père et entrais dans le vaisseau. Tout se passais bien jusqu'au moment où je compris qu'on se faisait attaquer par un Destroyer de classe Impérial. Je courus le plus vite possible pour me cacher et en profitais pour enregistrer un message grâce à mon astromech R2-D2 à l'intention de Ben Kenobi. Je lui confia les plans de l'Etoile Noire et le fis évacuer avec C3-PO, droïde de protocole, pour qu'il retrouve la trace du Maître Jedi. Après cela, je me fis arrêter par deux stromtroopers qui n'emmenèrent vers Dark Vador.

"Dark Vador ! Cette félonie porte bien votre marque. Le siège impérial saura punir cet acte de piraterie. Vous avez attaqué une mission diplomatique ..." je le regardais droit dans les yeux, je n'est pas peur de lui !

"Trêve de faux-semblant, Altesse ! Cette fois, vous n'êtes pas en mission de bienfaisance. Nous avons capté des messages émanant de plusieurs satellites rebelles. Je veux savoir où sont les plans que vos séides vous ont remis."

"Je ne vois vraiment pas de quoi vous parlez. Je suis membre du sénat impérial avec le titre de diplomate en mission à Alderaan."

"Vous avez partie liée avec les Rebelles ! Vous avez trahi ! On l'emmène !"

On m'emmena dans une cellule à l'intérieur du Destroyer Stellaire puis on me transféra dans une autre cellule, qui se trouvait dans un couloir de détention à l'intérieur d'une station de combat : l'Etoile Noire. La cellule était plus grande, mais toujours aussi sombre, avec seulement un espèce de lit. 

Quelques instants plus tard, deux soldats impériaux ouvrirent la porte et laissèrent entrer Vador suivit d'un robot de torture noir.

"Et maintenant, Altesse, je suis sûr que vous allez nous dire où est la base secrète de la rébellion."

Le robot s'avança lentement vers moi et sorti une pince, avec ça, il me tourna la peau du bras et du dos. Je ne parlerais pas, plutôt mourir ! il fit ceci une bonne vingtaine de fois, j'avais des marques rouges de partout.

"Nous allons tester une autre méthode, Altesse !"

Sur ces mots, le robot sorti une seringue, du sérum de vérité, j'en étais sûre, et me piqua dans le bras, l'effet fut immédiat. Je commençais à me sentir mal, très mal. Ma tête tournais, je ne savais plus où j'étais.

"Où sont les plans de l'Etoile Noire, Princesse ?" il me regardait souffrir.

"Plans ... Etoile, Noire ..." je me levais et marchais difficilement. Je m'adossais au mur, à côté de Vador, ma main gauche sur ma tête, les yeux fermés.

"Où est la base Rebelle ?!" 

"Base Rebelle ..." je me laissais tomber au sol, inconsciente.

Je me réveillais, toujours au sol. J'avais mal à la tête. Je leva les yeux et vue Vador, assis en face moi.

"Vous avez résisté au sérum de vérité, mais vous allez parler grâce à mes pouvoirs, grâce à la Force !" il se leva et me mit debout violemment. 

"Où est la base Rebelle ?!" il avait sa main droite grande ouverte devant mon visage, son autre main me soulevait du sol par ma robe.

Mon cerveau voulait tout avouer, mais ma bouche résistait. Je ne dit pas un mot. De rage, Vador me jeta de l'autre côté de la pièce et parti. J'avais mal, de partout. 

Je m'installais difficilement sur le rebord servant de lit et ferma les yeux, j'étais exténuée.