Harrison s'est levé, a retiré sa chemise avec un petit sourire sexy puis il sait penché pour m'embrasser langoureusement. Tout se passait bien jusqu'à ce qu'il m'attache à la chaise avec sa chemise.

"Mais ! Détache moi." dis-je sévèrement.

"Quand j'aurais finis de corriger."

J'avais beau bougé, mais les nœud étaient tellement serré que ça ne servait à rien. Il m'a sourit puis il a continué à corriger ses copies.

"Tu sais, tu me fais penser à Christian Grey."

"Tu veux que je sois comme lui ?! Tu veux 10 fessées ?! Tu veux que je te fouette ?!" son ton commencé à monter.

"Non ... Pas la peine de s'énerver."

"Je suis calme, je corrige."

Après un moment de silence, j'ai pris la parole, toute timide.

"Harrison ..."

"Oui ?" il n'a pas levé les yeux de sa feuille.

"J'aimerais aller à Burbank*.''

''C'est pas tellement à côté. Pourquoi faire ?"

"Voir mes parents."

Il sait arrêté de corrigé pour me regarder. Il m'a fait un sourire plein de compassion avant de me caresser la joue.

"Oui, on ira mon amour ! Il faut juste trouver quand, mais je t'y conduirais avec plaisir."

"Merci. J'ai marqué une pause. Tu peux me détacher maintenant ?"

"Quand j'aurais finis !"

Je suis restée à la chaise un bon moment !
Il m'a ensuite détaché, mais j'ai boudé. Il n'a rien dit, il souriait juste. J'ai sortis mes affaires pour faire mes devoirs, sauf mes exercices de droit. Une fois terminée, Harrison a enfin prit la parole pour me demander où étaient mes exercices de droit ! J'ai répondu froidement que je ne les avait pas fait.

"Je vais t'expliquer, sors les." m'a-t-il dit assez sérieusement.

J'ai dis non, mais il a insisté donc j'ai écouté pour éviter une dispute. Il m'a expliqué très clairement les exercices avec des exemples, en faite c'était simple ! J'ai du finir les deux exercices en quoi ? 10 minutes ! Grâce à mon professeur particuliers !
Après ça, nous avons pris une douche. Comme il y a peu, j'ai commencé à le toucher de partout et à l'embrasser.

"Tu recules devant rien toi."

"C'est qui qui insistait avec ses mains baladeuses il y a quelques semaines ? C'est Monsieur Ford !"

"Sauf que là, Monsieur Ford n'a pas tellement envie tu vois ? On verra ce soir, si je suis pas fatigué."

Je me suis énervée. J'ai tapé du pied, mais j'ai glissais ... Heureusement que Harrison m'a rattrapé ! 
Ne reconnaissant jamais mes tords, j'ai simplement dit que c'était de sa faute et que je n'avais pas besoin qu'il me retienne. Il a levé les yeux au ciel en soupirant, puis nous sommes sortis pour nous sécher et nous habiller.
Comme pyjama, j'ai pris celui de Harrison, toutes mes affaires ne rentraient pas dans mon sac. Nous nous sommes ensuite installé sur le canapé, je me suis mise dans ses bras, comme toujours. 

"Bébé, Marion t'appelle." 

J'ai soupiré et j'ai répondu d'une voix froide.
Elle m'a demandé où j'étais, donc je lui ai dit qu'elle le savait. Elle a haussé la voix en me disant de rentrer et en me faisant la morale, mais j'ai dis que non. Que j'étais bien là où j'étais et qu'elle me verrait demain en rentrant des cours ! Puis, elle a voulu parler à "Mark" !

"Non, tu ne lui parleras pas. Je ne veux pas te le passer !"

Mark a une voix moins grave que Harrison, elle se rendra compte que c'est pas le même mec. Elle est loin d'être conne ! Elle sait un peu calmé, elle m'a ensuite dit qu'elle ne voulait pas qu'il m'arrive quelque chose et blablabla. Je l'ai rassuré, en lui disant que j'avais fais mes devoirs et que nous ne feront pas de bêtise ! J'ai terminé en lui disant qu'il me conduirait en cours, comme il l'a déjà fait et que je rentrerais chez elle demain. Avant de raccroché, j'ai quand même précisé que samedi j'étais avec lui, que j'avais quelque chose d'important à faire.

"Tu crois que ça va lui plaire que tu lui raccroche au nez comme ça ?"

"Je m'en fou, elle a cas me foutre la paix."

"Carrie, tu es sous sa responsabilité. S'il t'arrive quelque chose, elle peut perdre son travail."

"Il ne m'arrivera rien ici ! Je l'ai embrassé. On commande quoi ? c'est bientôt l'heure de manger."

Pour changer un peu, nous avons commandés des sandwichs. On sait installé dans le canapé pour regarder un film puis, un fois terminé, nous nous sommes dirigés vers la chambre.
Harrison était dans la salle de bain, donc j'en ai profité pour me déshabiller et m'installer sur le lit. Quand il est sorti, il sait mi à rire en me disant que j'étais impossible.

"Tu m'as dit oui pour ce soir !"

"Si j'étais pas fatigué ! Mais tu m'épuises, bébé. Il sait couché à mes côtés. Bonne nuit." sur ce, il a éteint la lumière.

"De un, mon bisou, je peux au moins avoir ça ! de deux, laisse moi le temps de me rhabiller, parce que je vais pas dormir nue et de trois, mets-toi sur le dos, je veux être dans tes bras." dis-je en allumant la lampe de chevet.

Une fois habillée et après avoir reçu mon bisou, je me suis mise dans ses bras en lui disant qu'il abusé d'être fatigué. Il m'a encore dit que c'était moi qui le fatiguait !

"Bonne nuit bébé."

"Ouais, bonne nuit !"

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Quand le réveil à sonné, il était 6h45. 
J'ai entendu Harrison soupiré, donc il était réveillé. J'ai allumé la lampe de chevet, puis je l'ai regardé en souriant. Il m'a rendu mon sourire puis nous nous sommes dit bonjour. Il a ensuite passé sa main sur ma joue.

"Tu sais qu'un petit coup de sexe de bon matin ça rend de bonne humeur ?"

"Oh putain Carrie !" il a retiré sa main.

"Quoi ?!" dis-je en haussant le ton.

"Rien. Pousse toi, je me lève."

"Non."

Bien sûr, il a réussi à se retirer sans que je bouge !
Il est parti dans la salle de bain, je l'ai donc suivis. J'ai enroulé mes bras autour de son torse et j'ai collé mon visage contre la peau de son dos. J'ai commencé à l'embrasser avant qu'il se retourne sauvagement pour me porter.

"Tu sais que tu m'exaspère ?!" il était sérieux, mais il avait ce sourire de charmeur.

"Je ne lâcherais pas l'affaire, Monsieur Ford." dis-je en haussant les sourcils.

Il m'a embrassé avec fougue, puis il sait dirigé vers la chambre où il m'a déposé sur le lit, ses lèvres toujours sur les miennes. Il a passé ses mains sous mon tee shirt, qui est en faite le sien, pour me caresser les seins. J'ai retiré ce bout de tissus pour qu'il m'embrasser la poitrine et l'abdomen. Comme s'il lisait dans mes pensées, il sait exécuté. Il a ensuite retiré ma culotte et son caleçon, pour me pénétrer. Je n'ai pas caché ma joie.
Il sait ensuite habillé et j'ai fais de même, mais avant je me suis agrippée à son cou pour l'embrasser.

"Tu vois, le sexe de bon matin ça met de bonne humeur !" je lui ai fait un clin d'œil avant de partir vers la salle de bain.

Il m'a donné une petite fessée, donc rien que pour le provoquer, j'ai gémis. Il m'a fait un petit sourire de pervers avant de partir lui aussi s'habiller.

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* Carrie est née là-bas, elle y est également enterrée aux côtés de sa mère, mais dans une pilule de prozac car, elle a choisi de se faire incinérée.