Comme je l'ai dit, j'ai harcelé Harrison sur facebook quand je suis rentrée. Il n'était pas connecté, mais il pourra voir que je pense à lui ! Je lui ai demandé quand il comptait revenir, que je pensais à lui, que je l'aimais, que je passerais le voir demain s'il était toujours absent et que je l'aimais encore une fois !

Je me suis dirigée vers le tableau des profs absents dès mon arrivée au lycée le lendemain matin et il est marqué absent jusqu'à la fin de la semaine. Il doit être très malade ! A la pause de midi, je suis donc sortie la première pour prendre le chemin qui me séparait de lui, j'avais hâte de le voir, d'être dans ses bras et de l'embrasser. Il me manque.
Quand j'ai ouvert la porte, il n'y avait aucun bruit. Je suis donc montée à l'étage, m'attendant à le voir dormir. J'ai ouvert la porte délicatement, pour le voir assis sur son lit, sous les couettes, entrain de regarder la TV. Il avait l'air d'aller mieux que la veille ! 

"Vous désirez ?" m'a-t-il demandé quand je me suis montrée.

"Toi ! Criais-je avant de me jeter à ses côtés pour l'embrasser. Tu vas mieux à ce que je vois ! Oh mon chéri ..."

"Oui je vais mieux ! Mais je reprends le boulot que lundi prochain mon amour."

"Je sais, c'est écrit au lycée. Mais pourquoi ? Tu peux revenir demain !"

"Je devais, parce que j'ai simplement un gros rhume, mais j'ai la flemme. Je suis bien chez moi ! J'ai donc fait tiré !" il m'a fait un sourire victorieux.

Je l'ai traité de fou avant de l'embrasser sur tout le visage en me positionnant sur lui. Il m'a alors suggéré de retirer mon jeans, qui lui semblait trop serré. Il n'a pas tord, je serais mieux en culotte ! Et puis, il ne fait pas froid : il y a deux couettes et le radiateur fonctionne.
Il m'a donc aidé à retirer mon pantalon, que j'ai jeté à l'autre bout du lit. Je me suis remise à l'embrassée, ses mains me caressaient les cuisses, les fesses et le dos. 

"T'es pas contagieux au moins ?!" dis-je en faisant les gros yeux.

Il sait mi à rire avant de me répondre que j'étais folle !

"Tu m'embrasses depuis hier et c'est que maintenant que tu me demandes ça ?! Il m'a regardé, les yeux plein d'amour. Non je suis pas contagieux bébé."

Il a attiré mon visage contre le sien pour m'embrasser avec passion. Ses mains me caressaient toujours les fesses, ses doigts allés même sous ma culotte. J'ai compris où il voulait en venir, je ne peux pas encore refuser. Si je refuse à chaque fois, je vais le perdre, c'est sûr. D'un côté, je me dis que s'il m'aime, il attendra, mais de l'autre, j'ai peur que se soit long, très long et que du coup, il aille voir ailleurs.
Je n'ai pas réfléchi à mes actes, j'ai donc retiré mon sweat. Je commençais à avoir très chaud ... 
Il m'a fait basculer sur la gauche du lit pour ensuite se positionner sur moi. Il a ensuite commencé à se déshabiller, toujours en m'embrassant. Il m'a fait retirer mon tee shirt, j'étais donc en sous vêtement et lui, torse nu. Il a enlevé son pantalon avant de m'embrasser le cou en me caressant les seins, puis il a arraché mon soutien-gorge. Je l'ai laissé descendre sa langue sur ma poitrine et je l'ai laissé sucer mes tétons. J'étais si bien ...
Il a continué de descendre en m'embrassant jusqu'à mon abdomen, puis il a baissé ma culotte lentement. J'ai fermé les yeux pour me préparer psychologiquement et pour savourer ce plaisir. J'ai senti sa langue sur mon sexe, contre mon clitoris. Mon cœur battait très fort, je le voulais en moi, mais d'un autre côté, non. J'ai prête sans l'être.
Il a retiré sa tête d'entre mes jambes pour enlever son caleçon. Il était en érection. Je n'avais jamais vue de sexe d'homme avant, j'étais un peu stressée en le voyant. Ça, en moi ? Oh mon Dieu, ça va faire mal ...
Le plaisir est parti laissant place au stresse. Il a du s'en apercevoir, car il m'a dit que tout allé bien se passer et qu'il allait faire doucement. 
Il a commencé par m'embrasser le cou à nouveau pour me détendre. Ça a marché jusqu'au moment où il m'a dit qu'il allait "passer à l'action". Intérieurement, j'étais paniquée.
Il était toujours sur moi. Il a caressé mon sexe avec le sien, je dois avouer que cela m'a fait du bien, puis il m'a pénétré.

"Harrison !" ai-je commencé à dire assez fort.

"Oui ..." il ne me regardait pas, il regardait nos sexes.

"Arrête ! S'il te plait, arrête ! Ça fait mal !" je ne sais pas ce qu'il se passait là-bas en bas, mais j'avais vraiment mal, c'était presque insupportable.

"Calme toi, ça va aller. Je suis même pas ..." m'a-t-il dit calmement.

"Harrison !" ai-je crié un peu plus fort en le coupant et en essayant de le pousser pour qu'il se retire.

Il sait donc enlevé en soupirant avant de se mettre debout, face à moi, les yeux sur mon sexe.

"Je t'ai même pas pénétré ! Tu saignes même pas !" m'a-t-il crié en levant la tête vers mois.

"Mais ça fait mal !" 

"Arrête tes conneries, même pas trois centimètres était dans ton vagin !"

"Va te faire foutre !"

Je me suis levée en prenant mes affaires puis je suis partie m'habiller dans la salle de bain, les larmes aux yeux dû à la douleur.
Quand je suis ressortie, Harrison était torse nu ou toujours nu. La couette cachait sa partie inférieure, donc je ne voyais rien. J'ai enfilé mes chaussures puis j'ai pris ma veste et mon sac, sans rien dire.

"Où tu vas ?!" m'a-t-il demandé avec autorité.

"En cours." sur ce, j'ai quitté la pièce.

J'ai descendu les escaliers en vitesse puis je suis sortie de la maison. Je ne sais pas si c'était réelle ou psychologique, mais j'avais un peu mal à l'intérieur de moi, au niveau de mon vagin. J'ai fais tout mon possible pour ignorer cette douleur et j'ai marché jusqu'au lycée, essayant de ne plus penser à tout ça. 
Quand le portail sait ouvert, j'ai couru jusqu'aux toilettes pour regarder si je ne saignais toujours pas, j'avais vraiment peur. Carrie, tu ne peux pas saigner 30 minutes après ! me disait la petite voix dans ma tête. Je suis restée dans le toilette jusqu'à la sonnerie, puis je suis sortie quand plus personne n'était présent. J'ai passé de l'eau sur mon visage avant de fermer les yeux quelques minutes pour faire évacuer tout ce stresse, tout ces problèmes.

Je suis ensuite partie en cours, terminée ma journée comme si de rien n'était.