I won't go out with you in that costume
Bonsoir mes petites tartes à la citrouille,
Ce soir je vous présente OS de ce soir. Alors je vous avoue qu'on début je voulais vous mettre quelque chose de mignon et moins flippant mais bon ... Vous me connaissez je ne sais pas faire ça.
Alors par contre demain je suis pas sûre de pouvoir vous mettre un OS. Je suis à la boure niveau écriture et j'ai des horaires des merdes en librairie car je remplace mon collègue qui est en vacances.
Je vous souhaite une bonne lecture en tout cas
TW : Fantômes du passsé.
*********
Halloween n'avait jamais été la fête préférée de Tony Stark. Il ne trouvait ça pas intéressant de se déguiser pour aller se faire peur. Il trouvait ça ridicule. Et pourtant, le voilà, debout devant son reflet déguisé en Dracula.
Il soupira en regardant les fausses dents que son mari lui avait mises à sa disposition pour ce jour-ci. Il essaya de les mettre et grimaça.
Non, il en était hors de question. Il n'allait pas les mettre. Il avait l'air d'un idiot qui n'avait pas les moyens de se payer un séjour chez le dentiste. Et puis, il était Tony Stark ! Il ne pouvait pas laisser les gens le voir ainsi. Il avait une réputation de coureur de jupon à tenir.
Cette remarque le fit rire, car il était marié avec Steve depuis six ans maintenant. Et la presse continuait de l'appeler le « coureur de ses dames ».
Il soupira et posa les fausses dents. Hors de question de les porter, il le refusait !
— Tu n'es pas prêt ?
Tony leva les yeux vers la provenance de cette voix. Steve avait sorti son ancien uniforme de l'armée. Mon dieu, comme pouvait-il être sexy dans ce vêtement .
— Si.
— Où sont tes dents ?
— Dans ma bouche, répondit-il de manière sarcastique.
— Tony !
— Hors de question que je ressemble à cet Edward Pattison !
Steve explosa de rire.
— Chéri, c'est Edward Cullen premièrement et deu...
— Depuis quand tu connais ce livre de merde ?
— C'est un classique. Et puis Peter était en train de regarder ce film.
Tony secoua la tête. Son fils l'étonnera toujours. Il était presque sûr qu'il avait forcé Steve à le regarder juste pour l'embêter.
— Je vois que notre fils t'éduque sur la pop-culture.
Steve baissa les yeux un peu gêné et en un seul regard Tony comprit. Il comprit que son excuse sur Peter avait regardé le film avant n'était pas crédible. Steve Rogers était en train de lui mentir.
— Attends, toi, Captain America a regardé Twilight ?
— Roh, ça va, grogna-t-il.
— Oh chéri, se moqua Tony. Je t'imagine assis dans le canapé en train de pleurer comme ces gamines de seize ans.
Steve soupira et préféra quitter la pièce sous les rires de son mari.
— Oh, allez, Steve !
— Dépêche-toi t'enfiler ton costume avant...
Tony pouvait voir qu'il était en train énervé. C'était tellement facile de toucher la corde sensible de son mari. Cela faisait longtemps maintenant qu'ils étaient mariés et pourtant Tony se faisait un malin plaisir d'embêter son mari afin qu'il perde tous ses moyens.
Il s'approcha dangereusement de son mari avec un sourire en coin. Il posa sa main sur la cravate de son époux en le regardant droit dans les yeux. Cet uniforme était littéralement en train de le rendre chèvre.
— Ne joue pas à ça, Tony.
— Et à quoi je joue, Mr Rogers-Stark. Ce n'est pas moi qui porte cet uniforme.
Tony fit un léger sourire en coin et vint alors embrasser son époux avec fougue. Steve lui répondit en venant le coller contre le mur. Après autant d'année, ils étaient toujours autant attirés par l'un comme l'autre. L'amour qui ressentait envers l'un et l'autre était tellement fort. Il se traduisait par le fait qu'ils se comprenaient en un seul regard, mais aussi par leur confiance aveuglante et bien sûr par leurs moments intimes.
— Oh breuk ! Sérieux prenez une chambre.
Steve se recula directement de son mari et rougit fortement.
— Peter, tu es déjà ...
— Fiston, c'est quoi ce costume !
Peter regarda son père en fronçant les sourcils. Il avait l'air offusqué par son costume. Il ne comprenait pas pourquoi ce n'était qu'un costume après tout.
— Bah quoi ?
— Peter, va te changer ! Ordonna Tony.
Steve éclata de rire. Il était vrai que cette année, leur fils avait fait fort. D'habitude, il se contentait juste de se déguiser en un membre des Avengers ce qui rendait les fêtes d'Halloween un peu gênantes parfois. Le Captain se rappelait encore lorsqu'il s'était déguisé en Nick Fury. Le dis Fury l'avait très mal pris et pourtant, c'était un des meilleurs costume de son fils.
Steve regarda alors la composition du déguisement de son fils. Une grande cape noire, avec un vêtement noir qui ressemblait plus au vêtement de Black Widow. Et enfin, son dernier accessoire un masque noir avec des oreilles pointues.
— Peter, tu ne peux pas. Sérieux, comment tu peux te déguiser en ... Ça ! s'énerva Tony. Tu te rends compte comme tu me fais honte !
— Mais papa !
— Oh, non, mon garçon. Je ne veux rien entendre.
— Tony, essaya Steve sans rire.
— Steve ! Notre fils est déguisé en Bruce Wayne !
— En Batman, corrigea Peter. Je suis Batman ! Et tu sais très bien que c'est mon super-héros préféré.
Tony fit une mine choquée.
— Et moi qui pensais que c'était nous !
— Tony, ça suffit, rit Steve.
— Je ne sortirai pas avec toi dans ce costume jeune homme !
— Et je devrais dire quoi de toi, s'offusqua Peter. Tu es déguisé en Edward Cullen.
Cette remarque fit rire le Captain cependant Tony était plutôt fou de rage. Il connaissait trop son époux et son fils pour que cette conversation tourne rapidement dispute. Tony était trop susceptible du fait que son fils aime plutôt les super-héros des comics venant de DC. En effet, dès les premiers âges de Peter, le jeune garçon, était admiratif de ses deux parents. C'était comme cela Peter vivait pour ses deux parents et voulait devenir un super-héros comme ses deux parents. Et puis il a grandi devenu Spider man par cette fameuse morsure d'araignée. Peter voulait devenir, comme toujours, comme ses parents. Il voulait devenir aussi réfléchi que Steve, mais aussi fort que Tony.
Steve comprenait très bien que la vraie raison pour laquelle Tony s'emballait autant, c'est qu'il avait un manque de confiance en lui. Depuis toujours, le grand Tony Stark avait peur. Peur de ne pas être un bon père. Peur que Peter ne le considère pas comme son père. Peur être comme Howard. Et c'est tout cela qui rendait Tony à fleur de peau.
— Bon, Tony et Peter calmez-vous, soupira Steve. Je sais notre fils est déguisé en Batman et il aurait pu mettre au moins quelque chose de Iron man. Mais est-ce que vous pouvez mettre votre dispute de côté, car nous allons avoir des invités.
Tony regarda son époux ahuri. Il ne tenait même pas avec lui. Son fils les avait presque trahis en portant ce costume et Steve ne pouvait pas mieux de dire que leurs invités allaient arriver. Cependant, la voix du Captain était tellement grave qu'il savait que c'était perdu d'avance d'essayer d'argumenter avec lui. Il allait donc devoir supporter son fils habillé dans cette espèce de super-héros et faire bonne figure devant tous leurs invités.
Tony détestait Halloween.
****
La fête avait touché à sa fin. Cela faisait maintenant une heure que la tour Stark était vide. Il y avait plus aucun bruit dans l'appartement. Tony ramassa les derniers verres pour nettoyer le salon.
— Je vois que tu as enlevé ton costume.
Le génie se retourna vers la voix de son époux avec un léger sourire amusé.
— Je n'allais pas être Dracula toute la soirée, chéri.
— Dommage, j'aimais bien ce côté personnage qui mord ses victimes.
Tony rit.
Steve avait bien changé depuis ces nombreuses années de couple. Il l'avait connu tellement sérieux au début lorsqu'ils s'étaient vus pour la première fois. Maintenant, il lui faisait des blagues. Non, son époux n'était plus le même.
Steve vint lui déposer un tendre baiser sur ses lèvres.
— Je vais me coucher. Tache de venir dormir au moins cette nuit.
— Je ne vois...
— Tony, je te connais. Je sais que tu es contrarié et que lorsque tu es comme ça, tu fais une nuit blanche à travailler dans ton labo. Donc, viens te coucher cette nuit.
— Promis, Captain.
— Bien, soldat, dit-il avec un sourire en coin.
— Je ne suis pas un soldat, ajouta-t-il avec un léger sourire.
— Ça je le sais bien, Mister Stark.
Tony rit légèrement en regardant son époux montait les escaliers. Il le connaissait tellement. Bien sûr que Tony était contrarié, son gamin grandissait jour après jour devant ses yeux. Dans moins d'un an, son gamin sera parti pour l'université et Steve et lui se retrouveront tout seul. Voilà ce qu'il le tracassait. Peter allait quitter la maison.
Il alla ranger le salon. Il n'était pas vraiment fatigué et puis il voulait avancer Steve. C'était son époux qui faisait le plus de ménage enfin lorsque la femme de ménage n'était pas là. Mais il profita de son insomnie pour faire plaisir à son époux.
Une fois fini, il monta les escaliers. Marche après marche profitant du profond silence de l'appartement. Il pouvait entendre le plancher du couloir craqué sous ses chaussures. Il n'y avait aucune lumière. Le couloir était plongé dans le noir. Il ouvrit doucement la porte de la chambre de son fils.
Peter était dans son lit encore en costume de Batman. Tony sourit doucement à cette vision. Son fils devait être vraiment fatigué pour s'être endormi encore habiller. Le père de famille regarda alors son fils dormir sur le ventre, un sourire béa aux lèvres tout en serrant son oreiller.
Tony vient alors lui remettre sa couverture puis embrassa le front de son fils. Peter était son tout. Si jamais quelque chose devait lui arriver, Tony aurait du mal à s'en remettre.
Il sortit doucement de la chambre sur la pointe des pieds.
Il alla au bout du couloir et ouvrit la porte de la chambre parentale. Il aperçut son époux dormant paisiblement. Steve le rendait heureux. Ils se comprenaient et s'entraidaient. Jamais Tony n'aurait imaginé qu'il aurait une vie posée, marié et père de famille. Lui qui enchaînait les soirées et les conquêtes plutôt féminines. Et, pourtant, comme rien de prévu il eut une attirance en vers ce Captain America qui n'avait pas peur de le remettre en place. Et puis quelques années plus tard Steve et Tony se retrouvèrent pères de famille d'un jeune enfant. L'Iron man n'avait jamais regretté une seule de ces décisions, car maintenant, il était heureux. Steve le rendait heureux à l'aimer pour ce qu'il était. Et son fils comblait leur vie.
Alors qu'il allait rentrer dans sa chambre, Tony entendit un fonds de bruit comme si la télévision était allumée. Il fronça les sourcils. Il avait pourtant bien tout éteint.
Il sortit de la chambre, fermant doucement la porte afin que son mari ne se réveille pas avec son ouï de super soldat.
Il traversa alors le couloir. Il n'arrivait pas à distinguer quoi ce soit. Seulement des crissements comme une vieille radio qui fonctionnait au loin. Il descendit l'escalier principal.
Il n'y avait rien dans la pièce principale et quand il s'avança vers le salon le bruit avait cessé et aucun appareil électronique était en marche. Tony fronça les sourcils. Il y avait personne.
Il décida de quitter la pièce sauf que le bruit revînt avant qu'il ne fît un pas vers la sortie du salon.
Cette fois-ci, le son venait bien de la vieille radio que Steve avait gardé de ses parents. Tony l'avait charrié plusieurs fois, car cette radio était plus vieille que son époux et pourtant il en était attaché, car c'était le seul souvenir que Steve avait gardé de ses parents.
Tony pouvait distinguer parfaitement deux voix venant de la radio. L'une très familière celle de son époux et l'autre, il n'arrivait pas à savoir qui elle appartenait.
« Je vous présente Steve Rogers notre cobaye »
« Merci Docteur. Steve, ravi de faire votre connaissance, je suis le cerveau de ce projet. Je suis Howard Stark »
Cette voix figea Tony.
Cette voix était plus jeune que celle que Tony avait vécu. Bien sûr, il savait très bien que son père et son époux s'étaient connus et Steve avait toujours dit qu'il avait été ami avant qu'il ne finisse au milieu de l'océan.
Pour Tony, Howard n'avait pas été un bon père. Toute sa vie il lui reprochait de ne pas être assez bon. Tony avait eu de la chance d'avoir de grande capacité à l'école pour faire ce qui lui plaisait. Être un génie pouvait être vraiment utile. Howard avait toujours l'art et la manière de rabaisser son propre fils et de l'insulter à tort et à travers. À la mort de ses parents, Tony avait été plus touché par la mort de sa mère contrairement à celle de son propre père. C'était pour cela quand il avait adopté son fils qu'il ne voulait pas être comme Howard. Il avait toujours fait en sorte que Peter lui parle et être toujours fière de son gamin peu importe les choix qu'il prenait comme par exemple à être Spider man.
« Alors comme ça, toi et Peggy » dit la voix de Steve à travers la radio
« Oh non, Peggy est une amie. Je préfère largement la compagnie des blonds »
Tony se figea encore plus. Que voulez dire son père ? Il savait très bien que Hoard avait eu la même réputation que lui, le coureur de ces dames. Pourtant il n'avait pas dit les « blondes » mais bien « les blonds ». Son père était-il en train d'avouer à Steve qu'il avait un faible pour lui ?
Tony secoua la tête. Il n'avait pas envie de penser à ça. Il débrancha la radio et lui tourna le dos afin de remonter se coucher.
Lorsqu'il monta la première marche, le crissement de la radio reprit.
« Howard, Steve est mort »
C'était une voix féminine surement celle de Peggy.
Tony ne comprenait pas. Il avait pourtant bien fermé cette putain de radio.
« Non, c'est impossible ! Comment ? »
« Il s'est sacrifié. Oh, Howard, je sais que tu l'aimais et lui aussi »
Tony mit sa main sur son coeur qui s'était serré contre sa poitrine. Son père aimait Steve.
Son père avait aimé Steve.
Il l'avait aimé.
Ce n'était pas possible. Maintenant, il comprenait pourquoi son père n'arrêtait pas de lui parler de Captain America et qu'il avait une obsession pour lui. Il l'avait perdu. Il avait perdu l'homme qui l'avait aimé.
Tony imagina alors sa vie sans son époux à ses côtés. Sa vie serait bien triste, il aurait été dévasté sans lui.
— Tu as la vie que j'aurais voulu avoir !
La voix venait de derrière lui. Elle ne venait plus de la radio, mais elle était juste derrière lui. Il sentait un regard le fixer. Tony soupira. Il devait sûrement halluciner son père était mort depuis maintenant vingt ans.
Il se retourna et pourtant, il était là.
Howard Stark en chair et en os devant lui.
Il descendit alors cette marche qu'il avait monté auparavant pour affronter le regard noir que lui lançait son père.
— Tu as décidé vraiment me gâcher la vie hein, Anthony ?
— Plait-il ?
— J'aurais dû vraiment t'abandonner quand ta pauvre mère est venue me dire qu'elle était en cloque. Regarde-toi, marié et un enfant qu'il n'est même pas biologiquement ton fils. Tu es vraiment un échec !
— Laisse Peter en hors de ça ! Grogna-t-il.
— Tu crois vraiment qu'il t'aime ? Sérieusement Anthony qui pourrait t'aimer ? Demanda Howard d'un rire mauvais. Steve ne t'aime pas ! Il est seulement avec toi, car tu lui rappelles moi, ton vieux père. Ton fils, Peter, te supporte, car tu es l'homme le plus riche de la terre et grâce à ma propre fortune ! Personne ne t'aime. Même les gens n'aiment pas Iron man. Tu es qu'un échec. Et tu gâches la vie de tous tes proches.
Tony eut le coeur brisé par ces mots.
Il se sentit comme lorsqu'il était enfant quand son père lui rappelait encore et encore qu'il était un échec et qu'il était déçu de l'avoir pour fils. C'était dure pour lui. Ces paroles étaient dures pour lui.
— Alors, Tony, tu as perdu ta langue ? Tu as tout perdre fiston, ajouta Howard. Ton mari va voir qu'il n'est pas heureux et va te laisser seul. Ton fils va te haïr et te laissera vieillir et mourir seul.
Il sentit son souffle se coupait et devenir plus haché. Sa poitrine lui serrait tous ses organes. Il sentait sa vision se troublait. Comment la vision de son père et ses paroles pouvaient lui donner une attaque de panique. Sa famille était tout pour lui. Si un jour, il devait choisir entre Iron man ou sa famille, il choisirait sa famille. Steve et Peter étaient sa vie. Il n'était pas Tony Stark sans eux. Il le savait et c'était une des raisons pourquoi il avait voulu créer Ultron. La vision du corps de Steve, alors qu'il était impuissant face à la situation, avait été juste insupportable.
— Tony ?
C'était une autre voix. La voix était lointaine mais si douce. Elle était familière.
Tony, Tony.
Elle appelait encore son prénom. Pourquoi cette voix était si familière.
— Tony, réveille-toi.
L'homme ouvrit les yeux en sur sot. Il regarda alors autour de lui son père n'était plus là. Où était-il ?
Une main vint alors lui caresser sa joue avec douceur.
— Je t'avais dit de venir te coucher pas dormir dans le canapé, chéri.
Tony posa ses yeux sur l'homme devant lui qui lui souriait. Steve était réveillé ce qui voulait dire qu'il devait être environ cinq heures du matin. Il était si matinal. Et puis il se posa alors sur la situation de cette nuit et comprit qu'il avait juste fait un cauchemar.
— Désolé, répondit-il.
Steve vint alors s'asseoir à côté de son époux et le prit dans ses bras.
— Qui a-t-il ?
— Rien un cauchemar, mentit-il.
— Tony.
Il savait très bien que Steve n'allait pas lâcher. Il le connaissait par coeur maintenant et il était têtu. Il détestait de lui parler de ses cauchemars, c'était à chaque fois une épreuve pour lui, car il avait l'impression de se confier encore et encore. Il se sentait vulnérable.
— J'ai rêvé de mon père.
— Et qu'est-ce que Howard t'a encore fait ?
Tony lui expliqua alors son cauchemar sans vraiment entrer que c'était la radio de Steve qui lui avait commencé cet enfer.
À chaque parole qui lui disait, le coeur de Tony se sentit soulager comme si un poids lourd s'échappait de son coeur.
— Voilà, tu sais tout.
— Chéri, c'était un cauchemar. Je t'aime Tony et Howard et moi étions amis et rien de plus. Je sais que tu me parles très peu de lui donc je ne sais pas tout sur votre relation père fils. Tony, je t'ai épousé toi.
— Je sais, soupira-t-il.
— C'est le futur départ de Peter à la rentrée prochaine qui t'angoisse ? Demanda-t-il
— Comment tu fais pour me connaître aussi bien.
— Tout simplement la scène d'hier soir avec le costume Batman, rit Steve. Je t'aime Tony Rogers-Sark.
Tony vint alors déposer un baiser tendre sur les lèvres. Il en était sûr, Steve savait comment le rassurer et il ne savait pas comment Steve faisait pour y arriver.
— Au fait, chéri ... Tu as réparé la radio de mes parents ?
— Non, pourquoi ? Demanda Tony en fronçant les sourcils
— Quand je me suis levée elle était en marche.
Et Tony se figea sous cette remarque.
Comment est-ce possible ? La radio était cassée depuis longtemps à moins que son cauchemar ne soit pas un cauchemar.
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