XVI


Petite pub avant votre chapitre qui est plus long que d'habitude, je compte sur vous pour les commentaires.

Allez lire l'histoire de DeborahKing130 ...

Bonne lecture, sa vaut le coup. ☺️

(...)

Du côté de Maya...

Quelques minutes auparavant ...

J'étais en compagnie de Poux-kira, sans vous mentir l'insulter m'avait également manqué.
Cette petite m'a un peu manqué,
Mais passons.
Nous marchions vers la maison dans un silence de mort,
De mon côté c'était l'ambiance assurée.
La joie et l'enthousiasme de le retrouver ne cessait de me mettre le sourire aux lèvres.

En deux voir cinq minutes,
Nous voilà enfin face à la porte de la maison, maison que j'ai quitté le cœur lourd.
Je suis restée un moment face à ce grand logement que j'ai tant chéri, que j'ai tant saccagé par la même occasion.


- Maya, entres je t'en prie.
Disait-elle.


Je la regardais de haut en bas et m'avançait vers la porte de la maison,
Elle aime bien me dire ce que je dois faire j'ai l'impression,
Attendez un peu que je reprenne du service.


Je passais le cadre de la porte principale, tout était identique.
Chaque chose à sa place,
Du moins chaque chose ou presque.
Il est carrément plus de 23h et je ne vois pas Ezechiel sur le canapé,
À son habitude,
Un vendredi soir,
Il est affalé devant la télé en train de regarder une rediffusion d'un programme sur sa chaîne web favorite,
Casarhema.


- Poux-kira ?

- Akira,
Disait-elle.

- Oui bon c'est pareil. Dit-moi où est Ezechiel ?
Disais-je.


- Il est normalement assis au salon devant Casarhema.
Disait-elle.

- Normalement, comme tu dis. C'est pas le cas.
Disais-je.


Elle s'avança vers le salon et vit la même chose que moi, le vide.
Ezechiel n'était pas là.


- Il doit sûrement être dans sa chambre.
Disait-elle.


Je ne restais pas une minute de plus avec elle et décidais de monter voir si mon fiancé était dans sa chambre.
À chaque marche d'escalier que je montais,
Mon sang bouillonnais d'impatience.
Comme tout mes membres.
Je courrais vers sa chambre.

Sentir de nouveau son parfum,
Sentir de nouveau sa présence.
L'entendre de nouveau me prêcher la bonne parole,
Le regarder méditer lors de ses prières...
Je ne tiens plus.
J'ouvrais la porte plus enthousiaste que jamais.



Il faisait noir,
Il devait sûrement dormir.
Mon beau fiancé,
J'en suis complètement raide dingue.
Je m'installais sur le bord du lit et restais là à l'observer.


Du moins pendant quelques minutes,
Je ne tenais réellement plus.
Je retirais mes bottines à talon et m'immisçais dans ce lit qui m'avait tant manqué,
Ce grand lit que je partageais avec mon fiancé.
Je rentrais sous la couette et passait mes ongles manucurés sur son dos musclé,
Il frémissait.
Je continuais mon chemin jusqu'à arrivé au milieu de son dos,
Où je sentais une sorte de lanière.
C'est étrange.
Afin d'être sûre que ce soit bien lui,
Je mis ma main dans son entre-jambe.


En temps normal il aurait non seulement sursauter, mais il m'aurait bloqué la main.
Et là ce n'était pas le cas.
En plus je n'ai pas sentis sa chose.
Je sortis du lit et tapait des mains.


- Bon le frère en Christ, de nouveau démasqué. Allez reveille-toi je suis là, sors ta traînée du lit.
Disais-je.



Aucune réaction.


- Arrête de me prendre pour un cartable mec. Lève-toi, t'as eu les couilles de la baiser maintenant viens me faire la même petit con.
Disais-je.


Toujours aucune réponse.
Je retirais mes bagues et mes bracelets,
Je m'attachais les cheveux et me dirigeais de nouveau vers le lit.


- Quand je pense que je voulais changer pour toi, j'ai reçu des coups pour toi et ceux rien que pour devenir une meilleure fiancée et épouse. Bah putain, si je te trompe pas demain à 16h je suis une vraie imbécile. Même pas, je te tromperai demain à 11h sans soucis.
Disais-je.


Je tirais sous la couette toujours en ronchonnant.


- Je me suis remise en question en pensant que j'étais le problème alors qu'en faite c'est toi. Tu es le problème salaud ! Reveille-toi quand je te parles !
Disais-je.



La couette tombait au sol,
J'allais monter sur ce faux frère lorsque je vis une chose improbable.
Impossible pour moi de crier,
Ma seule réaction à été un soupir.
Je ne vais pas faire de scène.
On va rester calme.
Je sortis sur la pointe des pieds et me dirigeais vers la cuisine,
À la recherche d'une chose blessante.

Un couteau ? Non trop basique.

Un passoire ? Je ne suis pas si folle.

Une poêle ? Pourquoi pas, j'ai quoi à perdre.


Je sortis une poêle et la mis sur le feu, je mis une grande quantité d'huile à l'intérieur et laissait chauffer en attendant,
Je montais dans la salle de bain et cherchait une lame de rasoir.




Je retournais dans la chambre et me dirigeais vers cette traînée,
Elle dormait paisiblement,
Agrippé au corps,
Au beau corps de mon fiancé.
Je l'ai dis un million de fois :
« On ne touche pas ce qui m'appartient, si tu y touche prépare toi. »


- Profites de son corps une dernière fois.
Disais-je.


Je descendus dans la cuisine,
L'huile était prête.
Je saisis la poêle et mit la lame entre mes dents pour éviter de fausses manipulation.
Je montais les escaliers sous le regard de Poux-kira.

- Maya !? Maya !?
Disait-elle.

Je ne pouvais pas lui répondre,
De plus je suis énervé,
Un mot et l'huile passera sur elle.

Je continuais ma marche jusqu'à la chambre et déposais la poêle non loin de ma cible,
Je saisis ma lame entre mes dents.
Je l'ai en main.


- Lydie... Lydie.
Disais-je.

En rien de temps,
Des hurlements se faisait entendre.
Plusieurs entailles ont été faites,
Elle vas en souvenir cette petasse.
Le drap blanc était devenu légèrement rougeâtre,


- Oh tu n'as pas fini de hurler salope.
Disais-je.

Je saisis la poêle pleine d'huile et la versait sur elle.
Sans bien-sûr,
Éclaboussé mon fiancé.
Elle hurlait à la mort,
Oh c'est pas fini.
Je l'a saisis par son tissage et la fit sortir du lit, de MON lit.


- Regarde bien ce visage salope, t'es une fille courageuse. Tu voulais qu'il se préserve pour toi ? Tu voulais me TÂCLER ? On ne me tâcle pas moi.
Tu lui as fait quoi ?
Disais-je.


Elle ne répondait pas.
Je la relâchais et saisit la poêle prête à la cogner avec.

- Tu l'as drogué comme t'as l'habitude de faire ?
Disais-je.

Pas de réponses de sa part.

- Pas évident, même conscient il ne t'aurais pas touché. J'espère que t'as profité de cette belle partie de jambe en l'ai avec lui, toi ce que je t'ai fait c'est rien alors écoute moi bien. Ne t'approche plus jamais de lui, toi et moi c'est pas fini.
Disais-je.



- NE ME TOUCHES PAS !
Hurlait-elle.

- Oh tu parles maintenant ?
JE VAIS TE TUER SALE P*TE TU VAS REGRETTER TA VIE !
Disais-je.

- IL A PRÉFÉRER ME SAUTER MOI QUE TOI C'EST TRISTE, T'ES VRAIMENT UNE FILLE FANNÉE PAIVRE PROSTITUÉE.
Disait-elle.



- Retire ça.
Disais-je.


- Jamais.
Disait-elle.

Les muscles de mon corps se crispaient,
J'étais au maximum de ma hâte.
Je pourrais la tuer mais j'ai mon fiancé,
Je n'ai pas réfléchi,
Un point est parti en plein dans ses joues.
Elle était au sol,
Crachant du sang au sol.

- Ne me retraites jamais de prostituée.
Disais-je.



- M... Maya...
Disait-elle.


- Sors d'ici. Lydie ce n'est pas fini.
Disais-je.



Elle saisit ses affaires et s'en alla titubant vers la sortie,
J'allais me retourner pour aller insulter l'autre frère en Christ du dimanche lorsque je me souviens qu'il est totalement k.o.
Je me dirigeais vers lui et lui mit de grandes claques.
Aucun effet,
J'appelais Poux-kira à la rescousse.


- Maya !? J'ai vu ta copine Lydie sortir ! Qu'est-ce qui se passe ?!
Disait-elle.


- Appelle les secours, Ezechiel ne réponds plus de rien.
Disais-je.

Elle s'en alla et passait le coup de fil aux urgences,
Je caressais sa belle barbe,
Du bout de mes ongles.

- Mon chéri,
Ta fiancée au corps digne d'une guitare basse est là. C'est fini, je ne te laisserais plus jamais tomber.
Disais-je.

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