XIII
Petit mot avant le chapitre,
L'histoire « L'échappatoire » est désormais en ligne dans les œuvres, deja deux parties dessus.
Ensuite allez lire Kundunda de Kazaigah
(...)
Du côté de Maya,
- MAYA ESPÈCE DE CHÈVRE VA !
Hurlait-elle.
Sa voix est tres imposante,
Je peux vous le confirmer. Des hauts parleurs à côté d'elle ce n'est absolument rien.
- Maman...
Disais-je.
- TAIS-TOI ! MAYA ! DONC TOI TU AS EU LA PERMISSION DE QUI POUR PRENDRE TES AFFAIRES, TES GROSSES FESSES ET TON CORPS DE SALAMANDRE POUR QUITTER LA MAISON DE TON FIANCÉ ?!
Hurlait-elle.
- Maman mais...
Disais-je.
- TAIS-TOI IMBÉCILE ! QUAND JE PENSE QUE CETTE HOMME EST QUELQU'UN DE BON E T QUI PRIE ! LUI IL A DE LA PATIENCE AVEC TOI, SA SERAIT MOI JE T'AURAI COGNÉ DE AUJOURD'HUI JUSQU'À LA FIN DE L'ANNÉE SANS PAUSE, T'AURAI EU LE VISAGE GONFLER COMME IL FAUT. JE T'AURAI APPELÉ MICHELIN BONDA.
Disait-elle.
Comme vous pouvez le voir aujourd'hui je suis en visite chez mes parents, et ils n'ont pas trop l'air joyeux de me voir.
En particulier mon père,
Qui lui gardait le silence absolus.
Ce qui me faisait tres peur.
- Quelle déshonneur Maya,
Disait-il.
- VRAIMENT !
Hurlait ma mère.
- Maya, tu es la seule fille que Dieu nous à donner ... Pourquoi tu as fichu en l'air ta relation avec ce gentil bonhomme ? T'as intérêt à me dire le pourquoi.
Hurlait mon père.
- SI ELLE NE DIT PAS LE POURQUOI CHARLES, NE T'EN FAIT PAS, C'EST ALLER SIMPLE POUR LE NIGERIA.
Hurlait-elle.
Soit je leur dit la vérité, parce qu'il l'on deja sûrement entendu,
Soit je mens.
Mais mentir serait risqué pour moi, mon teint et mon visage.
J'étais dans une impasse,
Autant dire la vérité.
- Et bien... Mama... Papa... Si j'ai quitté Ezechiel c'est parce que je...
Disais-je stressé.
- Je ... Tu ... Il/elle... Nous... Vous... Ils quoi imbecile ? Parle.
Disait mon père.
- Et bah... Apres je ...
Disais-je.
Mon père se levait et commençait à retirer sa ceinture, il continuait d'insister son regard si moi alors que je transpirais de peur à cause de cet homme.
- Maya, tu as le don de faire monté ma colère comme un ascenseur.
Disait-il.
- Je ... Je ...
Disais-je.
- Seingeur Dieu, je n'ai pas l'habitude de frapper mes enfants sans raison mais aujourd'hui, cet jeune femme avec un derrière d'hippopotame qui est ma fille refuse de parler.
Pere agit.
Disait-il.
Je ne comprenais pas le sens de sa prière, jusqu'à ce que je sente le cuir de sa ceinture se claquer contre mon jean slim. Ce qui me fit pousser un cri dans toute la maisonnée.
- PAPA !
Hurlais-je.
Il continuait de m'affliger des coups, pendant quelques minutes puis il s'arrêtait.
- Tout à l'heure tu beugais comme un ordinateur et là tu arrives à dire " Papa " sans soucis ? Maya, je vais te montrer que je ne porte pas une ceinture et des lunettes pour rien.
Disait-il en hurlant.
Il continuait de me mettre des coups de ceinture, j'en était meme épuisée qu'il me frappe.
Lui aussi, il me tape depuis plus de quinze minutes il pense que j'en ai besoin. Je souffre déjà assez moralement, il veut me faire souffrir physiquement.
Vraiment.
Sans m'en rendre compte des coups,
Je baillais et me mit à m'endormir sans même avoir dit bonne nuit.
(...)
Du côté de Ezechiel,
- Mon fils, je te sens un peu triste et troublée je me trompe ?
Disait-il.
Mon pere n'avait pas du tout tord.
Je ne suis pas au top de ma forme, du moins moralement, physiquement je me porte bien.
Mon père me fit signe de prendre une chaise et de m'installer près de lui,
Ce que je fis sans me faire prier.
- C'est encore Maya hein ?
Disait-il.
- Comme d'habitude p'pa,
Dis-je.
- Mais je ne vous comprends pas les jeunes, pourquoi vous séparés si vous ne pouvez pas vivre l'un sans l'autre ?
Demandait-il en souriant.
- P'pa, tu connais bien l'histoire. Elle pense que je ne l'aime pas, que je la trompe, que je pense qu'elle est repoussante voir répugnante parce que je ne réponds pas à ses avances.
Disais-je.
- Ah les femmes ...
Disait-il.
- Papa en plus, tu sais très bien pourquoi je me preserve.
Disais-je.
- Oui moi je le sais, mais est-ce que la femme avec qui tu vas partager ta vie le sait ?
Disait-il.
Non, elle ne le sait pas.
C'est tellement honteux pour moi que je refuse de lui en parler.
- Non...
Disais-je.
- C'est ça alors me soucis, Ezechiel lorsque tu aimes une femme et que tu t'apprête à l'épouser, il ne faut pas qu'il y ait de secret entre vous. Surtout dans ces cas-ci où vous vous préparer à ne faire qu'un aux yeux de l'état, de la famille et du Seigneur. Si tu lui aurais dit, mon fils, votre foyer serait en ordre et elle comprendrait.
Disait-il.
Je baissais la tête et réfléchissait,
Il n'avait pas tord.
- Je ne pense pas que Maya est une bête sans cerveau, elle aurait comprit si tu lui avais expliquer petit bonhomme.
Disait-il.
Je me remettais immédiatement en question. Lui raconter mon plus lourd secret ? Je le devrais.
Je le ferais sans problème.
- Merci papa.
Dis-je en souriant.
(...)
Me voila rentrée apres une bonne soirée chez les parents. Je rentrais avec Akira, comme à mon habitude vu que c'est bien la seule personne qui me reste ici.
Je retirais ma veste,
Et m'installait sur le canapé du salon en soupirant.
Ce qui alerta Akira,
- Elle va revenir Ezechiel.
Disait-elle.
Akira,
Tu ne sais vraiment pas de qui tu parles ? Maya et sa fierté peut te tuer. J'observais que le clignotant du répondeur était rouge, j'ai un message vocal. Je l'écoutais,
- Allô Ezechiel ici la mère de Maya, j'aimerai que nous discutions à propos du sujet de votre rupture. Si tu as le temps, rappelles-nous s'il te plait mon fils.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top