I Hate My Life


Vous savez ce que l'on ressent lorsqu'on se lève tout les matins seul dans son lit, lorsque la place qui est destinée à la personne qu'on n'aime le plus, nôtre âme-sœur, est vide, froides?
Et bien moi oui, c'est mon quotidien, c'est la preuve que jamais personne ne m'aimera, jamais on ne me rendra l'amour que je suis prêt à donner à qui le souhaite...

Certes c'est absurde, mais lorsque cette solitude vous ronge de l'intérieur comme de l'extérieur et que le seul remède à ce calvaire est de trouver une personne assez folle pour vous aimez, vous chérir et vous prouvez que vous méritez de vivre dans ce cocons qu'est l'amour.

Cette amour, que je cherche depuis des années, cette amour qui me rejette, me méprise et qui me tue au fils des jours.

Aujourd'hui lorsque mes yeux s'ouvre, la seule chose que je vois c'est ma chienne, qui de son regard me dit clairement que je suis seul et que je le serai aussi longtemps que je vivrai, que mes yeux resteront ouvert, que mon cœur battra, que je respirais.

Si il y a bien une chose qui me fait tenir c'est bien mon travail, ma passion, mon quotidien. Celui pour qui je sourit encore, pour qui je ne suis toujours pas partis en couille, la seule chose qui me fait vivre. C'est actuellement pour ce travail qu'aujourd'hui encore je me réveil et me prépare.

Acteur... Quel métier passionnant mais surtout oppressant.

Je sort de ma rêverie lorsque ma chienne me rapporte sa gamelle vide, un rictus m'échappe avant que je me dirige vers ses croquettes pour nourrir cette gloutonne. Je lui embrasse le crane avant d'enfiler mes chaussure et de sortir de mes duplexe newyorkais.

Une fois au travail, le réalisateur du film pour lequel je joue m'en gueule pour mon retard. Un regard, il a fallu un regard d'en sa direction pour que je lui coupe toute envie de me parler. Je pénètre dans ma loge, non enfaite je m'y réfugie. Mon agent ne tarde pas entrer dans la même pièce que moi le regard lourd de reproche, et je sais ce que ses yeux me disent. Il me disent une fois encore que je ne suis qu'une merde qui a eu de la chance d'être né dans une famille riche, des privilégier voilà le nom qu'on nous donne. Ce nom que je porte, alors que derrière toute la riche qu'on mes parent je n'ai pas vécu la vie parfaite qu'ils imaginent quand ce mots sort de leur bouche.

- King putain qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi.

- Tu veux quoi? Le questionne-je.

- Je sais pas... C'est pas comme si t'avais DEUX PUTAIN D'HEURE DE RETARD! Putain je n'ai pas arrêté de t'appeler et de t'envoyer des putain de message. S'énerve-t-il.

- Écoute Aaron, me casse pas les couilles, j'ai tout sauf envie que le pd que tu est me les brise. Je suis là non? Alors voilà problème réglé.

- Mmh. Si vous le dites votre altesse. Enfin bref, aujourd'hui est une journée chargé. Pour le tournage actuel tu as 10 scène a interpréter dont une scène de baiser, après tu doit faire deux shooting, ainsi qu'un petit fan meeting.

- Annule le fan meeting. Annonçai-je froidement.

- Tu te fou de ma gueule là Everest?!

- Absolument pas Aaron. Je te laisse j'ai assez fait attendre ce gros porc.

Sans attendre je me lève de la chaise sur laquelle je m'étais assis afin de m'en aller vers cette merde qu'est le réalisateur. Je passe un total de trois heures avant d'arriver à la scène que j'attendais le moins, celle du baiser. Je vois dans les yeux de cette actrice un regard qui me montre qu'elle n'attendais que ça, poser ses lèvres changer par la chirurgie plastique contre les mienne et crée par la même occasion un baiser.

- Action!

Je commence à jouer ma scène, elle fait de même, au fil du temps, nous avançons dans le script et approchons dangereusement de ce moment que je redoute tant. Un baiser. Un baiser, voilà ce que je suis obliger de partager avec cette personne qui n'est ni ma copine, ni une potentiel futur copine. Non cette femme n'est rien pour moi et pourtant je m'apprête à lui offrir mes lèvres sur un plateau en or. J'approche mon visage du siens, elle fait de même, je me saisis de ses hanche pour coller son corps au mieux, et nos lèvres se rapproche dangereusement. Son nez touche me miens, Je ne suis plus Everest King, non je suis Dawson Davis et je suis sur le point d'embrasser la personne que j'aime le plus. Si il y a bien une chose que je sais c'est qu'a partir du moment ou le mots action sort de la bouche du réalisateur, je change d'identité pour devenir la personne que j'interprète.

Ses lèvres touche les mienne, je serre ses hanches, sa langue demande l'accès à la mienne, toujours dans la peau de mon personnage, j'entrouvre mes lèvres lui laissant accès à ma langue créant ainsi une danse endiablé entre la sienne et la mienne. Elle passe un bras derrière ma nuque histoire d'enfoncer ses main dans mes cheveux et l'autre se place sur ma joue, je me laisse faire à contre cœur, je n'attends qu'une chose qu'on annonce la fin de cette putain de scène.

- Couper!

Je me retire brutalement des main de cette femme, je suis en colère, contre moi. Je suis en colères car je l'ai laisser m'atteindre, me touché, coller ses lèvres au mienne, je l'ai laisser jouer avec mes lèvres.

Je lance à cette fille une regard sombre avant de me rendre vers les toilette relier à ma loge, je me jette de l'eau sur le visage et rince ma bouffe me débarrasser de la sensation des ses lèvres sur les mienne, ses lèvres qui étais si sèche, si dur. Je sort de ces toilettes ainsi que de ma loge, pour pénétrer le coin fumeur, Une fois à l'intérieur, je suis un paquet et un briquet de mes poches. Je prend une cigarette et l'approche de mes lèvres, j'inspire une grande quantité de nicotine avant de la recraché, putain qu'est-ce que cette merde peut me calmé.

Mon téléphone vibre dans ma poche, je le récupère pour voir que ma mère vient juste de m'envoyer un message.


De : maman

A : Everest

Mon chérie, je me suis encore disputer avec ton père, je vais vivre chez toi et avant que tu ne refuse sache que je suis déjà dans ton appart et tu devrais songer à te débarrasser de ce sac à puce. Quelqu'un t'as appeler chez toi pour te proposer un shooting avec une dénommer Vel Zeliyah, j'ai bien sur accepter. Bisous mon garçon.


Je lis son message qui m'énerve encore plus qu'avant. Putain! Je jette mon téléphone contre le mur devant moi. PUTAIN! Cette actes de violence fait fuir les deux trois personne présente dans cette salle. Tant mieux.

- PUTAIN DE GENITEURE DE MERDE! Hurlais-je en récupérant mon téléphone qui se retrouve malheureusement HS, mort.

Je souffle, récupère mes affaire dans ma loge avant de me diriger vers ma voiture en direction de mon lieux de shooting, ainsi que le suivant avant de me rendre au magasin Apple, ou une charmante employer me reconnais.

- Excusez- moi? Vous êtes Everest King? me questionne-t-elle.

- Vous -êtes ? M'exclamai-je en la toisant du regard.

-Oh je suis employer ici...

- Tant mieux, j'aimerais un exemplaire du dernier iPhone je vous prie. Oh et si vous dites à qui que ce soit que je suis là attendez-vous à ne plus travailler ici.

Je vois dans ses yeux de la peur, elle a peur de moi et c'est une chose qui me fait rire intérieurement. Elle va presque en courant me chercher le téléphone que je lui ai demander. Elle ne me fais pas attendre bien longtemps, puisqu'elle reviens avec une petite boite assez grande pour y mettre un de leurs modèle. Elle rive ses yeux dans les miens avant de prendre la parole.

-C'est notre tout dernier modèle, C'est l'iPhone quatorze, il est doter de cent-vingt-huit go, trois caméra à l'arrière pour une meilleure qualité et son prix s'élève à 1099 dollars. Il est bien sur disponible en plusieurs colorie tel que le blanc, le noir, le jaune, le violet et-

- Je vais le prendre en blanc merci, la coupai-je.

Je me dirige vers les caisses en suivant cette femme, je paye récupère mon telephone, que le magasin équipe d'une coque et d'un verre protecteur, chose que je paye aussi. Je quitte la boutique remonte dans ma voiture et me rend chez moi. Une fois à mon domicile je retrouve ma mère en pleure sur mon canapé un cadre photo dans les main, je m'approche et reconnait ce cadre, une photo de moi et de mon ex dans notre ancienne maison, je comprend alors que m'a mère ma menti et qu'elle n'est pas là à cause de mon géniteur, non. Elle est là pour me caser avec une femme, elle veut des petit enfant, elle veut que son fils se mari, mais moi je ne veux pas faire ces chose avec n'importe qui.

J'ai envie d'attendre de trouver une femme, qui fera battre se cœur meurtrie qui se cache derrière ma cage thoracique.

- Maman, Pourquoi tu l'as garder? Elle et moi c'est finis et tu le sais.

-Mon fils cette fille était la meilleur chose qui te soit arrivé, tu ne souris plus, ton regard est vide, mon fils sais-tu à quel point t'es yeux me tue ?

- Oui, mais elle m'a manipuler, je pensais avoir trouver une femme qui m'aime à ma juste valeur, mais enfaite ce que j'ai trouver c'est une femme pudique et vierge devant moi mais derrière mon dos c'était LA PLUS GROSSE PUTE QUE NEW YORK AI PU CONNAITRE! Alors tu vas m'excuser mais je préfère ne pas parler de la femme qui lui à ouvert ses jambes...

- Mais Evi...

- Non, NON MAMAN FIN DE CETTE PUTAIN DE DISCUSSION !

Ses yeux se remplisse de larmes mais j'en n'ai rien à faire, si il y a bien une chose que je déteste c'est de parler d'elle. Et elle le sait très bien.

Elle se lève de ce canapé et me lance un regard qui me brise.

Je suis désolé.

Elle s'en va vers la chambre d'ami, le cadre toujours dans ses mains.

Je suis désolé.

Elle monte les marches qui mènent aux chambres.

Je suis désolé.

Elle claque la porte de cette chambre.

Je suis désolé.

- PUTAIN! Hurlai-je en renversant la totalité des objets qui se trouvaient sur la table de ce salon.

Je souffle. Je me calme. Je monte dans ma chambre.

Je suis désolé...

Vraiment désolé...

je referme la porte de celle-ci, me dirige vers mon lit, je m'affale sur mon matelas. Je ferme les yeux, et je pense à la femme avec qui je vais devoir posé. Comment elle s'appelle déjà? Zeliyah... Zeliyah Vel. J'ouvre mes yeux et m'arme de mon téléphone. Je me demande à quoi elle ressemble.

Je vais sur Instagram et tombe directement sur elle, un compte certifier. Elle a quatre million de followers. Je regarde ses photos, elle est belle.

Non, elle est sublime.

Elle est magnifique.

Elle est parfaite.

Mais elle est en couple, avec un mec qui a au moins le double des ses abonner. Je continue mes recherche sur elle. Italienne, elle est italienne. Et alors je reconnais un petit accents quand elle parle dans un de ses poste.

Arrête.

Arrête.

Arrête.

Arrête.

Je décide d'écouter ma conscience et d'éteindre mon téléphone, mais je vois encore son visage, même les yeux fermé. Je ne sais pas pourquoi mais je n'arrive pas à la retirer de mon esprit. Il ne me faut pas longtemps pour m'endormir, un sourire bizarrement scotcher à mes lèvres.


____________


Coucou mes amours !!

Un chapitre assez court mais une fin palpitante..

Bon on arrête de joué, les prochains chapitre seront je l'espère plus long, mais ces chapitres seront surtout le début d'une nouvelle histoire, un nouveau chapitre dans la vie de Zeliyah et Everest.

On se retrouve pour le chapitre trois en espérant que ce chapitre vous ai plus.



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