Je lui souris malicieusemenr pendant qu'il m'enlève mon pantalon et le fais voler dans la pièce.

Il titille mes deux petites pointes si sensibles en me dévisageant gravement.

Ma respiration s'accélère, ça me fait tout bizarre. Mon ventre se noue plus facilement et je suis plus réactif à ses carresses.

- Vu que c'est ton anniversaire, on va faire ce que tu préfère, autant de fois que tu le peux.

- Ah... Livaï tu es un monstre, gémissais-je.

- Oui... mais ça tu le savais déjà. Retourne toi.

Je lui obéis sans rechigner, en posant mes mains sur le canapé et cambrant le dos. Je sens ses doigts traverser lassivement ma colonne vertébrale, me procurant un horrible doux frissons.

Il s'amuse ensuite à me torturer mes zones sensible me menant à bout. Je lui supplie presque d'en finir, il mord tendrement mon dos en s'installant derrière moi.

Je commence à vraiment prendre mon pied, je plie encore plus le dos et tend la tête en arrière.

-On dirait que tu es déjà à bout.

- Toi... Je te veux toi Livaï, pas tes doigts.

- Quel obsédé tu es devenu!

- C...C'est de ta faute... ah! Mon chéri...

- Eren...

Il rentre doucement en moi en agrippant mes fesses contre lui. Je ne ressens aucune douleur même sans préparation.

Il fait un puissant coup de rein qui me fait tout de suite crier. Il grogne...

- Tu es réceptif... murmure-t-il...

Je me mord alors qui commence à prendre un rythme fou en pressant mon bassin contre lui.

Je cambre le dos étonnemment fort, complètement à bout de souffle. Il s'arrête un instant pour m'embrasser le dos et reprendre sa respiration.

Je sens que je vais craquer, jamais cela n'a été aussi puissant. Il n'a jamais osé aller aussi fort et vite avec moi.

Je me tiens en appuis avec mes coudes en serrant un coussin contre moi.

- En fait... Je préfère te voir Eren...

Il se recule pour me permettre de me retourner, je pose mon dos lourdement sur le canapé et attrape ses épaules.

Il passe sa main sur ma joue brûlante. Son torse laisse perler quelques gouttes de sueurs qui suive le chemin de ses muscles tendus par l'effort.

Je me mord la lèvre. Il attrape ma jambe pour la lever sur son épaules.

Il me regarde un instant avant de m'embrasser fougueusement.

- Je t'aime, dis-je entre deux baisers.