Chapitre 17: Anniversaire chic (3)

- Hanji? Tu n'as pas vu Livai? Demande Auro qui arrive avec sa petite amie.

- Demande plutôt à son mari, dit elle en me pointant, il est mieux placé pour savoir...

Auro, un homme que je ne portais pas trop dans mon cœur, me regarda avec lassitude.

- Vous savez où est Livai, dit il en me fixant vite de haut en bas?

Je déteste son attitude snob qu'il prend quand il me parle, à me juger sur mon apparence.

- Eh bien, dis-je en haussant les épaule, je ne l'ai pas vu depuis un moment. Il est sûrement à l'étage à jouer au Poker avec Erwin, encore...

Je tousse en couvrant ma bouche.

- Je vois... Vous pouvez le chercher, j'ai à lui parler.

Je le regarde, énervé, de haut.

- Vous avez des jambes, non? Eh bien allez le cherche de vous même. Il me semble que vous avez la capacités de vous téléporter, que demander de plus. Je suis l'hôte de cette fête, pas l'homme à tout faire.

Je retrousse du nez avant de tourner les talons alors que je l'entend pester sur Hanji de mon attitude. Mais vu que je sais qu'elle ne l'adore pas non plus, elle sera de mon côté.

Je monte les escaliers en regardant ma montre, plus quand 15 minutes avant minuit. Je ne sais pas si c'est une coïncidence, mais c'est la pleine lune.

Je me tend à la rampe en rejetant les déchets dans mes poumons. Je passe ma main dans ma poche et me rend compte que je n'ai plus de complément.

Je soupire, essuyant mes sueurs froide avec mon mouchoir pour paraitre normal.

J'ouvre la porte de salle de jeu.
Un petit nuage de fumée m'attaque le visage. Énormément de personne fume le cigare et la cigarette dans l'assistance.

La salle est sombre, illuminée par une seule lumière au dessus de la table de poker. Il n'y avait presque que des hommes autour de celle-ci, assistant du retard à la rude partie. Je me faufile dans celle-ci en lançant des petites bonsoir au gens que je connaissais.

Il y avait Livai, Erwin, M. Ackerman et Erd autour de la table. Livai restait stoïque en regardant son jeu, ne s'étant pas rendu compte de mon arrivée.

Erwin semble lui peu rassuré, un seul froide coulait sur sa tempe.

Erd tira sur sa cigarette et jetant un regard sur Livai qui s'amusait à bouger ses nombreux jetons. M. Ackerman, lui relançait le jeu en lançant les siens.

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