Chapitre 14: Histoires et câlins (5)

- Finalement, Kenny s'enfuit et on le perdit de vue. Il passa sa vie à nous détester et préparer sa vengeance. Il est prêt à tout. Il veut passer prestement à l'acte.
Il a voulu se servir de toi comme arme, mais tes parents t'ont protégé de toutes personnes qui t'approchaient de peur qu'on s'en prenne à toi.
Tu peux quand même être fier de tes origines Livai. Sans eux, tu ne serais pas là aujourd'hui, qui sait ce que le monde des monstres serait devenu sans les Ackerman. Nous n'aurions jamais évolué en si bon chemin.

Je serre la main de Livai qui regardait dans le vide.
Je demande d'une voix blanche:

- Mais alors, pourquoi il a pris autant de temps à vouloir se révolter?

- Eh bien... Je ne sais pas. Ce n'est plus mon fils. Sa haine qu'il a le ronge. Il a dû la garder en lui pendant longtemps.

- Il veut quelque chose... Il veut quelque choses qui nous ait cher, murmure Livai.

- Oui, sûrement, souffle Tom. Plus fort que toutes les autres armes du monde.

- Il attendait, patiemment, que ce jour arrive.

- Quel jour, demande Tom étonné?

- Le jour où je dépendrais de quelque chose...

Mon cœur se serre alors qu'il se lève.

- Je sais pourquoi il revient.

- Livai, tu penses que notre mariage a quelque rapport avec... Commençait je à dire.

Mais je vis le regard que Livai me lança. Il me fit froid dans le dos.

Livai sortit prestement dans la pièce pour se rendre dans la chambre.

Je reste ébahi à le regarder avant de me tourner vers Tom.

- V...veuillez l'excuser. Je...

- Ce n'est pas grave. Il a réalisé ce que je voulais lui dire.

- Alors c'est vrai?! Kenny a attendu plus de 600 ans que Livai se marisse?!

- C'est qu'une vengeance prend du temps à être réalisée.

Je regarde dans le vide.

- Ne t'inquiète gamin, mon fils est peut-être fort, mais il n'a pas l'intelligence de ma fille et de mon petit-fils, ni l'esprit de famille d'ailleurs. Son armé ne vaudra pas notre force.

Sa voix devient grave.

- Il est temps qu'on en finisse avec lui. Son temps est révolu.

Il baissa la tête. Je me tourne vers le couloir.

- Est-ce que cela vous... te gêne si je vais voir Livai? Je m'inquiète.

Il me fait signe de la main.

- Va, coure, vole le retrouver, il t'attend depuis trop longtemps déjà.

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