J'ai parcouru tous les étages et j'ai enfin trouver sa chambre. J'entre en cognant doucement mais elle ne bouge pas. Ses yeux fixent le plafond et cligne à intervalle régulier. Comment tu en est arriver là Lydia.. je m'approche lentement et caresse maladroitement ses cheveux vénitiens.

Moi : Je suis désoler d'être partie. J'en avais vraiment besoin. Sinon, j'allais faire une véritable connerie. J'espère que tu vas te rétablir bientôt ma belle.

J'entends des pas. Je dois y aller

Moi : Ne t'inquiète pas, je vais revenir et si je ne le fais pas, je veillerais toujours sur toi/
- QUE FAIS TU LA ?!

Je sursaute. Nathalie. La mère de Lydia

Moi : Pardon je.. je voulais juste/
Nathalie : Tu voulais juste quoi ?!!? J'ai déjà dis à tout le monde de laisser ma fille en paix ! Dégage !
Moi : Mais/
Nathalie : DÉGAGE !!

Elle me pousse hors de la chambre et referme la porte. J'atterris en plein sur le sol et ma tête frappe le plancher. Aïe.
Je me relève et regarde par la petite fenêtre de sa chambre. Nathalie parle à Lydia en pleurant et caresse ses cheveux comme je l'ai fais. J'ai mal pour elles. J'entends quelqu'un venir et me téléporte dans le premier endroit qui me viens à l'esprit. Ma chambre chez ma mères.

Rien n'a bouger. Seul le lit est refais et il y a un peu de poussière sur les meubles. Je regarde sur mon bureau et vois que mon cadre est tomber. Je le prend et regarde la photo. Toute la meute réuni au début des vacances. Je m'ennuie de ce moment. Je m'ennuie de la meute mais comme la dis Stiles : la meute n'existe plus. Non. Je ne peut pas penser sa. Je prend un papier et un crayon puis écris quelque mots que je fais tenir à l'aide du cadre, bien en évidence. J'en profite pour prendre quelque vêtement à moi.

Une fois fais, je me rend dans la chambre de Stiles pour y remettre la veste qu'il m'a prêter avec un papier où il est écris un simple « merci ». Je retourne dans ma chambre chez mon père et me laisse tomber sur mon lit en soufflant.

Point de vue de Scott

Stiles : Vous êtes prêt ?
Allison : Oui. On va chercher Lydia.

On cours vers la porte d'entrer et je tient le bout de papier bien serrer entre mes doigts.

«  La super meute existe toujours »