Parrish allait ouvrir la porte mais un homme vient nous barrer la route.

Homme : Oh ! Mais voilà mon très cher ami Stilinski? Ton père va-t-il finir par me payer ?

Stiles ne dit rien et baisse la tête. Mais qui est cet homme ?

Homme : Ça fait mal de voir que son père ne peut pas payer les factures, hein ? On dirait que ce n'est pas en étant flic qu'on gagne bien sa vie !

Mais qui est-t-il pour lui parler comme ça ?!!? J'allais lui passer un savon mais Parrish intervient avant.

Parrish : Brunski, nous avons grandement besoin de parler à Meredith. Elle joue un rôle important dans une affaire de police.
Brunski : Et si je vous dis que ça ne me tente pas ? Revenez avec un mandat. Vos histoires de police ne sont pas de mes affaires !
Parrish : Vous étiez bien content lorsqu'un officier de police est venu vous rapporter chez vous le soir où vous vous promeniez soûl et complètement nu dans votre quartier !

Brunski ne dit plus rien et moi j'éclate de rire.

Stiles : Non ! Mais c'est drôle ça !

Je ris encore plus et Brunski nous donne le trousseau de clé avant de disparaître dans un couloir.

Stiles : Parrish je vous aime ! Vous êtes mon idole !

Parrish rit et on entre dans la chambre. Meredith est assise sur son lit comme si elle nous attendait. Elle nous fait gentiment signe de nous asseoir et on obéit.

Lydia : Meredith, tu sais pourquoi on est là, n'est-ce-pas ?
Meredith : Oui...
Lydia : Tu peux nous donner la troisième clé s'il-te-plaît ?
Meredith : Non... Les chose ont changé, je ne peux plus vous aider...
Lydia : Meredith... Des gens vont mourir si tu ne nous aides pas.
Meredith : Je ne peux plus vous aiderr... Il ne veut plus...
Parrish : De qui parlez-vous ?
Meredith : Du Bienfaiteur... Il ne veut plus...

La pauvre... Elle semble si perdue et tellement sensible... Je me sens tellement mal qu'elle soit ici. Elle ne devait pas être folle lorsqu'elle a été internée... Elle n'a pas eu notre chance de tomber sur une meute et a pensé qu’elle était folle... Je regarde Lydia et elle semble vraiment en colère.

Lydia : Meredith ! Donne nous la troisième clé !
Meredith : Je ne peux pas... Je suis désolée... Il ne veut pas !
Lydia : Meredith/
Parrish : Lydia, elle ne peut pas nous aider, il faut partir.

Elle comprend son erreur et ne bouge plus. De son côté, Meredith est en boule dans le coin de son lit et parle tellement vite que je ne comprends rien. Je me lève doucement du lit et m'approche d'elle.

Moi : Calme-toi Meredith... On est déso/
Meredith : JE PEUX PAS VOUS AIDER !

Elle avait crier tellement fort que j'en ai reculé. Je vois trouble mais je me rattrape sur quelque chose. Ou plutôt quelqu'un. Stiles. Il me prend par la taille pour que je ne tombe pas et je lui souris.

- Mais qu'est-ce que vous avez fait ! Sortez d'ici tout de suite !

Stiles me guide à l'extérieur de la salle avec tous les autres sur nos talons et Brunski claque la porte derrière nous.

Stiles : Oh mon dieu Hannah ! Tu saignes !
Moi : Quoi ?

Il prend ma tête entre ses mains et passe son doigt sur mon oreille pour me montrer une trace de sang. Je regarde Lydia et je peux voir tellement de tristesse dans son visage. Je me décolle de Stiles et je vais à côté d'elle.

Moi : Lydia ce n'est pas grave, Meredith va s'en remettre voyons !
Lydia : Mais... Toi ! Je... A cause de moi, tu es blessée...
Moi : Je n'ai pas mal et tu n'as pas fais exprès ! Au fond, tu le voulais pour la bonne cause, tu veux trouver la troisième clé et tous nous sauver.

Je la prends dans mes bras pour la calmer et on sort de cette asile de fou pour revenir à la voiture et Parrish dit qu'il va conduire vu l'état de Lydia. Je m'assois à l'arrière avec Stiles. La nuit est déjà tombée dehors et je pose ma tête sur son épaule pour m'endormir et il prend ma main. Je la sers contre moi avant de m'endormir.