the forgetting of a mistrust(corrigé )

La chaleur étouffante, les odeurs donnant des nausées, les nuages absents, le sol brûlant sous ce soleil. J'attendais l'arrivée de l'homme. L'homme capuché m'emmène vers une maison, il retire sa capuche, je lui souris.

Je me réveille, je me souviens de cette journée, une belle journée, qui est vite devenue une très mauvaise journée. Je descends les escaliers quand je vois le détective tenir la carte de visite d'hier. Je lui souris, il grogne, soupire, et crie :

« Tu comptais me le dire au moins ? Je veux bien comprendre que tu avances plus vite que moi sur cette affaire mais... Fait moi confiance, s'il te plaît gamin, pourquoi tu ne me fais pas confiance ? Qu'est-ce que je t'ai fait ? Le jour où ils sont morts, je t'ai offert un toit, je t'ai nourri, je t'ai envoyé dans un endroit qui s'occuperait mieux que moi de toi, je te repêche toujours, alors pourquoi tu ne fais pas confiance ? Moi, je te fais confiance gamin, et voilà comment tu me remercie, tu crois que je ne vois pas les regards noir que tu me lances, le mépris que tu caches derrière tes paroles. Où est le petit bambin qui me regardait avec admiration quand je lui rendais visite ? Où est le E... ». Je lui répondis "mort."

Je récupère la carte avant de monter m'habiller et de sortir par la fenêtre pour ne pas le voir. Je ne comprends pas pourquoi il s'obstine à vouloir de moi une chose qu'il n'aura plus jamais. Il me fait des reproches, mais je ne les comprends pas, d'ailleurs, je ne comprends pas grand-chose ici-bas. Il me crie juste pour une histoire de confiance, sérieusement, il n'y a pas de quoi se faire du mouron, si je n'ai pas confiance, c'est normal, non ?

C'est l'heure, je me dirige vers le point de rendez-vous. Un homme enveloppé dans sa capuche, me regarde, je lui demande pourquoi il voulait me parler, il me répond d'une voix grave que je perçois faussé qu'il a besoin d'un homme de main, et qu'il demande mes services. "Le passé est derrière moi", lui lançais-je.

Il ne semble pas être fâché au contraire, d'une voix enjouée il s'exclame "c'est étonnant que tu sois fidèle à une lumière qui n'existe plus" je ris à mon tour, je lui répond d'un ton moqueur "ce n'est pas à la justice que je dois fidélité mais à mes convictions et enlever des enfants ce n'est pas mon trip."

Il me menace de son arme, je l'avais vue venir alors je me suis décalé pour lui tordre la main et récupérer l'arme, je vide les cartouches et la garde. Il me regarde, surpris, avec une touche d'émerveillement. Normalement, les gens ne sont pas émerveillés. Il me sourit et sans que je ne le sente quelqu'un m'assomme.

Je suis réveillé par la sensation d'étouffement, je ne peux pas ouvrir les yeux, je peux juste sentir les odeurs...

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