Jour 15: Camarade

PDV Tartaglia


Tartaglia : Alors on se retrouve finalement dans ces conditions... Scaramouche ?

Je le fixe.

Il avait déserté, ave le Gnosis Électro.

Qu'il tenait en main.

Tartaglia : Allons soit raisonnable, revient par toi-même et donne moi ce Gnosis.

Scaramouche : Dois-je te rappeler à qui tu t'adresses ? Je suis le sixième, et toi le onzième. En termes de force, je te bats, c'est du suicide de vouloir te battre contre moi.

Tartaglia : Tu oublies une chose. Tandis que toi, tu te baladais à te reposer sur ta force actuelle, moi, je m'entraîne, et gagne en force, a chaque minute de combat...Et autant te dire, que je me suis préparé en prévoyant ce combat.

Son regard changea.

Lui qui était bras croisé, le regard sans inquiétude, se retrouve a décroiser ses bras, et à sortir son épée, le regard méfiant.

Tartaglia : Mais comment une simple marionnette pourrais comprendre ? N'est-ce pas, marionnette, prototype de la Shogun ?

Scaramouche : Comment oses-tu ?!

Agacer, et perdant son sang-froid, il bondit vers moi.

Scaramouche.

Sixième Excécuteur Fatui.

Un ancien collègue.

Camarade.

De force supérieure à la base.

Mais ce que la Tsarine ignore, c'est que ma force a grandement évolué depuis ce « classement »

Et je compte le prouver face à lui.

Je pare son épée sans difficulté avec mes dagues.

Tartaglia : Tu gardes toujours ton sang-froid, tes émotions sont instables, ton regard montre tes faiblesses. Tu n'as pas été choisi, car tu as eu un défaut majeur. Ton instabilité, et tes émotions qui prennent le dessus sur tout avec toi.

Scaramouche : Qu'est-ce que tu en sais au juste ? Tu ne me connais pas !

Tartaglia : Quand toi, tu nous regardait tous de haut, nous t'avons tous observer. Tous sans exception. Et les informations du voyageur nous sont parvenus. Nous expliquant ta trahison, ainsi que ta création.

Cet ancien camarade.

Que j'admirais auparavant.

N'est désormais, animé que par son envie de vengeance.

Avec ce qu'il a dans les mains, il pourrait arriver à ses fins.

Scaramouche : Jamais tu ne le récupéreras ! Il me revient de droit !

Tartaglia : Arrête d'être dans ton illusion.

Je me place derrière lui, puis rajoute.

Tartaglia : Tu n'as jamais eu aucun droit face à la Tsarine.

Puis l'assomme et donnant un coup sec a sa nuque, récupérant la précieuse pièce d'échec violette.

Tartaglia : Désolé camarade...Tu ne m'as pas laissé le choix. Je vais devoir te livrer maintenant à notre reine...


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