𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟑𝟎

- Joyeux anniversaires, joyeux anniversaires, joyeux anniversaires Lucie et Harry, joyeux anniversaires!

Les Weasley en compagnie de Hermione, Fleur, Remus et Tonks, chantaient en cœur. Les jumeaux Potter venaient d'avoir seize ans, ce n'était pas rien!

Une fois les bougies soufflées et l'exquis gâteau préparé par Molly dévoré, vint l'heure des cadeaux.

Tandis qu'Harry ouvrait un livre d'Hermione, Remus adressa à Lucie un petit coup de tête vers la porte qui donnait sur le couloir. La rouquine se leva et le suivit à l'extérieur du salon, loin de tout chahut.

- Tiens, dit le loup-garou en tendant un paquet à la jeune fille.

Le cadeau, rectangulaire, avait de grosses proportions et Lucie peinait à le garder dans ses bras.

- Qu'est-ce que c'est? demanda-t-elle impatiente.

- Ouvre, sourit l'ancien Gryffondor.

Précipitamment, Lucie arracha le papier cadeau, ignorant le regard faussement triste de Remus. Le pauvre avait mis tellement de temps pour emballer le paquet, à la Moldue.

À mesure que le cadeau se découvrait et que les hypothèses s'amenuisaient, les yeux de Lucie pétillaient.

- Est-ce que...

Lucie ne parvenait à y croire.

- C'est vraiment...

Un doux sourire étira les lèvres du châtain.

- C'était l'idée de Sirius... enfin plutôt l'ordre ! s'esclaffa-t-il. Il a même...

Remus ne finit pas sa phrase, préférant sortir un nouveau cadeau d'une poche usée de son vieux manteau. Il tapota doucement sa baguette sur la boîte en bois, qui s'agrandit brusquement. La rouquine eut un mouvement de recul en se rappelant Noël, ou plus particulièrement des objets s'agrandissant sans la prévenir.

La boîte n'en était pas réellement une, c'était un simple carton. Ce qu'il contenait était beaucoup plus précieux.

- C'est pas vrai! Queen, AC/DC, en passant par les Beatles ! C'est merveilleux!

- La plupart étaient à James et Sirius. Il y en a certains qu'ils ont tellement dû écouter qu'ils ne marcheront peut-être plus!

- Ne t'en fais pas, je trouverai mon bonheur là dedans... murmura, émue, la rouquine.

- Je suis content que ça te plaise alors.

- Un tourne disque et des vinyles appartenant à mes parents et Sirius ne pouvaient que me faire plaisir...

- Et il y a des T-Shirt aussi, au fond du carton. Ils appartenaient aux trois. Ils adoraient les mettre lorsqu'ils avaient une occasion de se poser et de se détendre.

- Oh Remus, c'est merveilleux... Merci beaucoup! s'exclama Lucie en prenant le châtain dans ses bras, les larmes aux yeux.

- C'est ce qu'ils auraient voulu... murmura Remus si bas que la rouquine ne put l'entendre.

***

- Surtout, vous restez près de Hagrid, est-ce bien clair? ordonna Mme Weasley.

- Clair comme de l'eau de roche! répondit Lucie avant de se précipiter à l'intérieur du magasin de Mme Guipure.

- Lucie, attends! râla Harry par principe.

La rouquine rit en revenant chercher son frère. Elle lui attrapa la main avant de le tirer définitivement vers le magasin, Hermione et Ron sur leurs pas.

- Wouah... murmura, ébahie, la Gryffondor.

Des vêtements, de toutes couleurs et de toutes matières, étaient accrochés à des cintres sur des portants, dans toute la boutique. Des robes de sorciers, de sorcières, des robes de soirées... Il y avait de tout.

Mais l'ébahissement merveilleux de Lucie fut de courte durée, car une voix froide et tranchante résonna dans la boutique

- Relevez cette manche, elle est trop basse! Et cet ourlet, il faudra le refaire!

Un soupir et un "oui bien sûr Monsieur Malefoy" confirmèrent l'identité du geignard: Drago Malefoy.

Lucie adressa une œillade à son frère. Elle savait que le garçon ne supporterait pas de voir le deuxième.

- Harry? Lucie? Est-ce que c'est bien...

Mais Malefoy avait décidé d'être le seul à parler.

- Cette robe ne me va décidement pas, Mère. Je vais en essayer une autre.

Il attribua un coup de coude à la couturière, qui retint une exclamation indignée.

- Je peux vous montrer plutôt cette robe, qui sera parfaite pour la fraîcheur annoncée, ou encore celle-ci pour la douceur de l'au- reprit-elle, déterminée à combler ses clients, aussi désagréables soient-ils.

- Ce ne sera pas la peine, je pense que nous allons y aller. Regardez-moi la clientèle qu'ils accueillent, Mère... murmura faussement le blond platine, pointant du doigt sans se cacher la bande de Lucie, plus particulièrement Hermione.

La petite femme replète qu'était Mme Guipure se précipita vers Malefoy et sa mère, Narcissa Malefoy, pour ajuster la manche gauche de la robe qu'était entrain d'essayer le Serpentard. Main qu'il retira brusquement lorsqu'elle la saisit, ce qui n'échappa guère à Harry.

- En effet, tu as raison mon chéri, dit la douce voix de Narcissa, tranchant avec son regard froid et son port hautain.

Drago releva son nez pointu, avant d'ajouter, comme pour jeter le feu aux poudres:

- De plus, ça pue la Sang-de-Bourbe.

Mme Guipure eut un hoquet, tandis que Harry et Ron attrapèrent leurs baguettes, les pointant immédiatement sur leur ennemi. Lucie, elle, était partagée, et restait en retrait avec Hermione, préférant intervenir si la situation dégénérait.

- Je t'interdis d'utiliser ce genre de propos sur ma meilleure amie, Malefoy, cracha Harry, férocement.

- Tu ne m'interdis rien du tout, Potter, répliqua le blond sur le même ton.

La commerçante commençait à s'inquiéter en voyant le ton monter.

- Ce genre de propos n'est pas nécessaire dans ma boutique! Et je ne veux pas de bagarre non plus, se hâta-t-elle d'ajouter en voyant que la confrontation n'était guère partie pour s'arrêter.

- Tu comptes aller te plaindre à tes chers petits amis Mangemorts?

- C'est... c'est très dangereux d'accuser... enfin... balbutia la pauvre vieille dame qui ne savait plus quoi faire.

Mme Malefoy s'avança alors, posant la main sur l'épaule de son fils qui se crispa.

- Ne vous inquiétez pas très chère, nous allons nous en aller. Tissard et Brodette semble être une boutique plus appropriée pour nous.

Les Malefoy commencèrent à se diriger vers la porte, Drago ayant jeté avec désinvolture la robe qu'il portait au-dessus de la sienne.

- Mr Potter, vous devriez faire attention aux propos que vous tenez envers des sorciers comme nous... rajouta Narcissa en se retournant. Car Dumbledore ne sera pas toujours là pour vous protéger. Quant à vous Mlle Potter, peut-être feriez-vous mieux de surveiller votre enragé de frère et lui apprendre à bien se tenir, car il semble qu'il lui manque une éducation que vous avez reçu...

- Je n'ai pas besoin de personne, répliqua Harry. Regardez, Dumbledore n'est pas là et il n'y a aucun problème que je ne saurai résoudre. À moins bien sûr que vous désiriez m'en créer en m'attaquant, ce qui donnerait lieu à un aller simple pour Azkaban, avec une cellule jointe à celle de votre mari.

Malefoy junior tenta de s'extirper de la poigne ferme de sa mère sur son épaule, avant de s'écrier:

- Tu ne parles pas comme ça à ma mère! Et bientôt, ce sera toi à Azkaban!

- Oh! Voyons, contrôlez-vous...

- Et d'ailleurs, je pense que dans cette pièce, ce n'est pas mon éducation à refaire, si vous voyez ce que je veux dire, termina le brun en fixant explicitement Drago.

- Je vais te-

- Allons-nous en pour de bon mon fils, nous n'avons assurément plus rien à faire dans ce... nid de vermine, conclut Narcissa avant de sortir du magasin la démarche assurée suivie de son fils, tout aussi droit et rigide, la porte claquant sur leur passage.

- Bon, soupira Mme Guipure, ne pouvant s'empêcher d'octroyer un regard noir au groupe de quatre qui lui avait fait perdre de bons clients. Que puis-je faire pour vous?

***

- Mais... mais c'est génial! s'exclama Lucie en poussant la porte de "Weasley, Farces pour sorciers facétieux", le magasin de farces et attrapes de Fred et George.

- Évidemment, puisque c'est nous qui l'avons créé! taquina Fred en apparaissant à la droite de la rouquine, comme par magie, la faisant sursauter.

- Ah bah tout de suite ça semble moins extraordinaire, ne put s'empêcher de rajouter la Gryffondor, rentrant dans le jeu du rouquin.

- Tu vas voir, les merveilles que je vais te montrer te feront vite retirer ce que tu viens de dire!

Fred attrapa alors le coude de la rousse, la tirant sur ses pas. Il lui montra d'abord le rayon de bonbons, puis celui des tours de magie Moldue, passant par les plumes (et alors que Lucie s'apprêtait à s'emparer d'une plume Réplique Cinglante, le rouquin affirma "tu n'en as pas besoin!") et enfin, le rayon où étaient amassés filles et garçons, petits et grands: le rayon de l'Amour!

Le duo de roux rejoignit Hermione et Ginny, qui inspectaient les filtres d'amour.

- Ne t'en fais pas sœurette, d'après les dires de notre cher Ronald, tu n'en as pas besoin! s'exclama Fred en retirant des mains de la jeune fille une petite bonbonne transparente dans laquelle un liquide rose vif tournoyait lentement.

Ginny ouvrit de grands yeux, avant de se tourner brusquement vers son frère aîné:

- Comment ça, "d'après les dires de Ron"!

- Et bien ce dernier a accepté de nous tenir au courant de tes... émois de jeune demoiselle, expliqua Fred en passant le bras autour des épaules de sa sœur, qui virait au rouge vif. Tu comprends, puisqu'on est plus là pour éloigner les garçons...

- Ronald Weasley! s'écria, en colère, la cadette des Weasley.

Heureusement - ou malheureusement en fonction du point de vue - Ron passait justement par là. Ginny lui attrapa alors brusquement la manche, l'attirant vers leur petit groupe.

- Je peux savoir ce que tu as raconté à Fred?

Ginny faisait peur, lorsqu'elle était en colère, remarqua Harry. On aurait dit Mme Weasley...

- Moi? Mais rien haha! ricana nerveusement Ronald.

- Que tu as eu plein de petits-amis! s'exclama George en débarquant, tout comme son frère, de nulle part.

Il posa lui aussi son bras autour des épaules de sa sœur, et s'adressa à son jumeau:

- J'aimerai bien rencontrer le dernier. Dean Thomas, si je ne m'abuse?

Ginny manqua de s'étouffer avec sa salive.

- Comment tu- Ron n'est même pas censé être au courant!

- Oh enfin sœurette, tu doutes de nos relations? ajouta Fred.

- Vos relations?! s'étrangla la rouquine, qui n'en finissait plus des révélations.

Alors que Harry détournait le regard, la discussion - il ne savait pourquoi - ne lui plaisant guère, il capta alors une silhouette d'homme aux cheveux blonds platines, qui se dépêchait d'avancer. Ses regards en coin prouvaient qu'il ne voulait pas être suivi. Ce qui ne donna qu'une idée dans la tête d'Harry: le suivre et découvrir ce qu'il cachait.

- Psst, chuchota-t-il à l'adresse d'Hermione, lui administrant un coup de coude.

- Quoi? répondit-elle sur le même ton.

- Il faut qu'on sorte, avec Ron et Lucie.

- Pourquoi?

- Opération Malefoy 2.0.

- 2.0?

- C'était plus stylé.

Hermione pouffa, mais fit suivre l'information à ses amis. Et bien vite les quatre espions en herbe se retrouvèrent planqués sous la cape d'invisibilité presque trop petite de Harry, sur les traces d'un "vilain garçon".

- Aïe, c'était mon pied ça!

- Pas fait exprès, désolé !

- Encore heureux que tu n'es pas fait ex...

- Attention on va le perdre!

- Et si vous continuez à aller si vite on va nous voir!

- Mais non, on a une cape d'invisibilité.

- Peut-être, mais elle laisse apercevoir nos chevilles.

- Arrêtez de discuter, c'est ça qui va nous faire repérer!

- De toute façon il n'y a personne.

- Elle a pas tort pour une... AÏE !

- Qu'est-ce que Drago fabrique chez Barjow et Beurk?

- Drago?

Le petit groupe s'arrêta devant la devanture sombre de la boutique. Bien que rien n'était prouvé, tous savaient que la boutique baignait dans la magie noire, en plus de se situer dans l'Allée des Embrumes.

- C'est Malefoy, donc ce qu'il fait est illégal.

- Wow, brillante réponse Ron, absolument pas pleine de préjugés, répliqua Lucie.

Drago et Barjow semblaient en pleine discussion, assez mouvementée. À l'aide des Oreilles à Rallonge que Ron avait apporté, ils purent entendre une partie ce qu'il se disait dans la boutique.

- Vous savez comment je pourrai la réparer ? trancha Drago.

- Et bien, comme dit précédemment, je ne peux vous le dire sans voir l'objet...

- L'objet n'est pas transportable, alors vous allez devoir m'expliquer comment vous faites.

- Comme dit je ne...

Mais Malefoy était très convainquant, et Barjow baissa soudain la tête, comme soumis, alors qu'il venait de lui montrer quelque chose qui sembla lui faire peur.

- Gardez-la moi de côté, finit-il par dire. Elle est dorénavant réservée, et je veux que personne n'y touche. Et une dernière chose: personne ne doit être au courant, pas même ma Mère.

Dans un tourbillon de cape digne du grand Severus Rogue, Malefoy se retourna et se dirigea vers la porte, tandis que Ron enroulait précipitamment les Oreilles à Rallonge et qu'Harry remettait la cape sur leur petit groupe. Une fois le blondinet loin, ils débattèrent:

- Qu'est-ce que Malefoy pouvait bien fabriquer ici? demanda Ron.

- Je suis sûre que ce n'était rien de mal, répondit Lucie.

- Rien de mal? répéta Harry. Pourquoi tu prends sa défense comme ça?

- Je prends pas sa défense, je...

- Et d'ailleurs, pourquoi tu l'appelles Drago?! coupa le brun.

- Je ne l'appelle pas-

- Si! Tout le temps!

- Il a raison, ajouta le rouquin.

- Tu racontes n'importe quoi! s'exclama Lucie en lançant un regard noir au Weasley.

- Pourquoi tu sembles aussi proche de lui?

- Je ne suis aucunement proche de lui! Et même si je l'étais, qu'est-ce que ça pourrait faire? rétorqua-t-elle, ayant la désagréable impression de se laisser marcher sur les pieds.

- Ça a un rapport avec ce qui s'est passé dans le train?

-  Il s'est passé quelque chose dans le train? interrompit Ronald dans la dispute des jumeaux.

- Toi tu la fermes! s'écrièrent Lucie et Harry au même moment, sur les nerfs.

- Il s'est passé quelque chose entre vous? continua le brun tandis que Ron partait bougonner auprès d'Hermione.

- Rien que de la haine! C'est ce que tu voudrais, non?

- Pourquoi tu me mens comme ça?

- Je ne te mens pas!

- Si, puisque ton oreille droite n'arrête pas de bouger.

- Mon... mon oreille?

- Ton oreille bouge quand tu me mens.

- Psychopathe... murmura Lucie.

- Pardon?

- C'est bon les pâtes.

- Tu te fous de-

- Et si vous arrêtiez deux minutes et qu'on s'occupait plutôt de ce qu'il vient de se passer dans la boutique? les coupa Hermione, excédée.

Harry et Lucie, tous les deux les bras croisés, se retournèrent vers la brune.

- Je propose, continua la lionne, que vous me laissiez gérer.

- Qu'est-ce que tu comptes faire? dirent les deux ronchons en même temps.

Et un regard noir de plus, un.

- Arrête de répéter tout ce que je dis, continuèrent-ils en choeur, sous le regard désespéré de Ron qui sentait une nouvelle dispute arriver à plein nez.

- C'est toi qui répète tout!

- Non c'est toi!

- Non c'est toi!

- Non c'est-

- ASSEZ! s'écria Hermione, coupant court à cette nouvelle altercation.

La brune se retourna et se dirigea vers la boutique d'une démarche confiante, tandis que les Potter la regardait, ébahie.

- Qu'est-ce qu'elle fabrique? murmura Ron en se précipitant vers la vitrine de la boutique, vite suivi des deux autres.

- Sors tes Oreilles! s'exclama en chuchotant Lucie.

Ronald défit rapidement ses Oreilles à Rallonge, qui s'étaient bien évidemment emmêlées, et les tendit aux deux zouaves. Les trois écoutèrent la conversation avec intérêt:

- Bonjour! s'exclama Hermione d'une voix fluette qui ne lui correspondait guère.

- Bonjour, répondit Barjow d'un air lugubre.

- Je viens ici pour acheter un cadeau à mon ami.

Le regard plein d'ennui ne découragea pas Hermione pour autant.

- Drago Malefoy, vous le connaissez sans doute, il vient de sortir de la boutique.

Nouveau silence.

- Je ne sais pas quoi lui offrir, mais je sais qu'il vient de vous réserver un objet. Pourrais-je le voir et le lui acheter par la suite, en tant que cadeau?

Malgré l'air innocent de la Gryffondor, le vendeur ne se laissa pas berner.

- Non. Dehors.

- Mais, s'il vous plaît, son anniversaire est bientôt et je n'ai pas la moindre idée de ce que je pourrai bien lui-

- Je n'en ai que faire de son anniversaire, répliqua d'un ton glacial Barjow. Dehors.

- Vous êtes sûr que...

- J'ai dit dehors. Et je ne le répèterai pas.

Hermione hésita un instant, mais avec tous les objets maléfiques entreposés dans la pièce, elle se dit qu'elle n'aurait que peu de chance de survivre si Barjow tentait de la mettre dehors avec un de ces objets.

- Et bien, passez une bonne journée. Au revoir, finit Hermione avant de sortir, tentant de garder le peu de dignité qu'il lui restait.

Elle poussa la porte du magasin, déçue que son plan merveilleux ait si facilement échoué.

- Allons-y, bougonna-t-elle en se glissant sous la cape avec ses amis.

- Bonjour! taquina Ron en prenant la même voix qu'avait pris, plus tôt, la brune.

Hermione lui écrasa le pied sans aucune douceur, ce qui fit couiner le roux, et pouffer les jumeaux, qui s'étaient sans un mot réconciliés.

- Arrête de faire la même chose que moi, s'exclamèrent-ils en même temps, avec un regard noir pour l'autre.

- Stop vous deux!

Finalement, ce n'était peut-être pas si réglé que ça.

***

Un nouveau chapitre, pas du tout avec une semaine de retard haha... Un peu plus long d'ailleurs, pour rattraper !

Je m' excuse d'ailleurs du retard, j'ai encore plus mal géré que d'habitude et je me suis retrouvée dimanche dernier avec... 30 mots.

Je jongle entre le livre et l'écriture, en plus des cours et activités à côté - merci Zoom d'ailleurs, sans toi je ne ferai plus rien du tout.

Je vous souhaite une bonne semaine et espère être à l'heure la semaine prochaine!

Lucilemim :)

Ps: merci beaucoup pour les 4K, ça me touche énormément! Pour ma première vraie histoire, je trouve ça énorme !

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