Bonjour bonjour, est ce que vous vous rendez compte que j'ai 4,8k de vue ? Sur une histoire que je pensais jamais publié ?! Vraiment merci, et merci pour tout les commentaires, c'est hyper réconfortant et encourageant pour nous auteur(e) Wattpad, et sachez que je prend tout le temps qu'il faut pour répondre à tout vos commentaires (enfin ceux auquel je peux répondre). Voilà je voulais vous dire merci, et bonne lecture.

Il me prend tendrement dans ses bras, et je pose ma tête dans son cou, son odeur est délicieuse. La porte s'ouvre de nouveau.

Y:- Coucou Takemichi, je suis rentré !

Ma mère enlève ses chaussures et ça nous laisse le temps de nous levé avec précipitation. Je regarde Manjiro du coin de l'oeil et remarque que ses cheveux sont décoiffés suite au traitement qu'ils ont subi tout à l'heure.

Y:- Tiens, bonjour Mikey, comment vas tu ?

M:- Je vais parfaitement bien et toi ?

Y:- Super, tu devrais te recoiffer.

Elle dit ça en me glissant un regard moqueur.

T:- Maman !

Y:- Je vais faire à manger, tu restes avec nous ?

M:- Non, merci je vais rentrer.

Y:- Ok, pas de problème. A bientôt Mikey.

M:- Au revoir Yoko.

Il se dirige vers la porte d'entrée et je le suis. Il me prend dans ses bras. 

M:- Je t'aime Takemichi Ito, ne l'oublie jamais.

T:- Moi aussi Manjiro Sano, je t'aime.

Après ça il est parti et j'ai mangé avec ma mère. 

Après une bonne nuit de sommeil, je me prépare et vais au collège. Une furie me saute dessus et je l'embrasse doucement.

M:- Takemichou ! Ken-chin m'embête !

T:- Qu'est-ce qu'il a dit ? 

M:- Que j'étais gaga de toi !

T:- Pourquoi ? C'est pas vrai ?

M:- Mais si je t'aime et je peux pas me passer de toi, mais il l'a dit en se moquant de moi !

T:- Mais c'est pas grave, toi tu connais la vérité, c'est l'important. 

J'ai l'impression de parler à un gosse, après c'est peut-être le cas... C'est fou qu'un dominant comme lui puisse être si gamin.

M:- Takemichou, ce soir tu viens chez moi !

Je ne sais pas à quoi m'attendre puisque ça peut aller de faire un gâteau à l'aider à cacher un corps... 

T:- Heu... Pour... Pourquoi ?

M:- Pour apprendre à te défendre, je veux pas que tu meurs samedi soir.

T:- Non mais ça va un jour, à me rabaisser comme ça ?

M:- Roh, mais c'est parce que je t'aime !

Je ne sais pas quoi répondre, et la sonnerie retenti. J'embrasse doucement mon amoureux.

T:- Sauvé par le gongue.

Quand, enfin le dernier cours de la journée se termine, j'envoie un message à ma mère puis suis Mikey jusqu'à chez lui, sans vraiment savoir à quoi m'attendre.

M:- Alors, je ne suis pas vraiment un bon prof alors je vais juste demander à mon grand-père de te montrer quelques trucs pour que tu reste en vie samedi. 

T:- Mais non mais je vais pas mourir !

M:- Tu sais, les batailles de gang peuvent être vraiment violentes, et les membres du gang d'en face sont de vrais fils de putes qui s'en sont pris à une petite fille. Je pense que si je veux te protéger, demander à mon grand-père de te donner au moins un peu de connaissance en auto-défense est un bon début.

T:- Je ne peux pas te contredire...

M:- Bon, bah je vais chercher mon grand-père.

Je reste ici en attendant qu'il revienne avec son grand père. Je réfléchis un peu à ce que je pourrais faire samedi pour réussir à sauver mon frère. En plus, Manjiro m'a demandé de ne pas m'approcher des gens forts, mais Sei fait, selon ses dire, largement parti des meilleurs de son gang. Je ne sais pas du tout quoi faire, surtout si Kokonoi est avec lui, ce qui a beaucoup de chances d'arriver. Je pense que malgré le fait que jamais Seishu ne voudrait me faire de mal, Kokonoi ne me connais pas et n'hésitera pas à me faire du mal pour protéger l'homme qu'il, selon Akane, aime. Je suis coupé dans mes songes par cette voix que j'aime tant.

M:- Tu viens Takemichou ?

Manjiro arrive avec son grand-père et on se dirige vers son dojo, se trouvant derrière la maison.

G.P.S.(Grand-Père Sano):- Alors Takemichi, je vais t'apprendre la base de la défense.

Nous sommes arrivés ici vers 17h30 et il est presque 22h, je suis extenué et comme compensation pour l'effort fourni, j'ai pu voir Manjiro s'entrainer. Qu'est ce qu'il est beau... 

Au vu de l'heure avancé, j'ai mangé avec Manjiro et son grand-père et ce dernier a continué à me donner des conseils. Je crois que je vais en rêver cette nuit, mais au moins, Mikey aura un peu moins peur et pourra vraiment se battre sans avoir besoin de faire attention à moi. 

Quand il commence à se faire vraiment tard, Mikey me raccompagne chez moi, m'embrasse puis rentre. Je sens un léger vide dans tout mon être quand il disparaît au bout de la rue, comme à chaque fois que je suis loin de lui. Mais, étant un voleur de qualité, je lui ai volé un pull, pull que je met avec seulement mon caleçon avant de me glisser sous les couvertures et de cacher mon nez dans le col pour sentir l'incroyable odeur du propriétaire original de ce magnifique pull et pour combler un minimum ce vide.

Quand je me réveille après une nuit douce dans les bras, enfin dans le pull de celui que j'aime, je me lève et m'habille pour retrouver les vrais bras auxquels j'ai rêvé toute la nuit. Une fois au lycée, je prend Manjiro dans mes bras et le sert le plus fort que je peux, je sais pas pourquoi, mais j'en avais vraiment besoin.

M:- Tout vas bien Takemichou ?

T:- Oui Manjiro, je t'aime.

Il m'embrasse et la sonnerie retentie. 

M:- Je t'aime aussi. Mais là, il faut qu'on aille en cours.

Et une journée aussi ennuyante que celle d'hier commence. Je n'ai pas appris grand chose aujourd'hui, on a révisé pour le brevet dans toutes les matières, et je savais déjà tout. Au moins, ce soir, je pourrais enfin savoir ce qui s'est passé mercredi soir, c'est donc sur cette pensé que je rentre chez moi, après avoir embrassé Manjiro.

Yo:- Il arrive à quelle heure Chifuyu ?

T:- Il devrait pas tarder.

Et comme pour souligner mes propos, la sonnerie retenti. Je vais donc ouvrir la porte et Chifuyu, un sourire jusqu'aux oreilles, me saute dessus.

C:- TAKEMICHOU ! J'AI TROP HÂTE DE TE RACONTER !

T:- Bonjour aussi Chifuyu. Comment vas-tu ?

C:- Super bien et toi ?

T:- Tout vas bien.

Il va dire bonjour à ma mère et on monte dans ma chambre.

T:- Alors ?

Oui, je sais, je suis horrible. Mais j'avais pas le choix. J'ai pas d'excuses plausibles, mais j'avais pas le choix. Bon je vous dit à la prochaine fois. Bye Bye.