Chapitre 29
Bonjour, je suis désolé pour le retard du dernier chapitre, je vais faire mon possible mon que ça ne se reproduise plus, en commençant par me coucher tard pour écrire la suite. Bonne lecture.
Il est sur le point de répliquer mais son téléphone se met à sonner.
C:- Non, je ne peux pas répondre.
Je regarde l'écran et Mikey fait de même, il me regarde et on éclate de rire.
T:- Allez, répond.
C:- Non je peux pas.
Son téléphone arrête de sonné.
T:- Des fois Chifuyu, faut que tu arrête. Tu deviens plus peureux que moi à force.
C:- Ce n'est pas de ma faute !
T:- Bon, si tu veux, on va jouer à Mario Kart.
On s'est donc dirigé vers ma chambre et on a commencé à jouer. Au bout d'un moment, je n'en pouvais plus et j'ai ouvert la fenêtre, c'est pile ce moment que choisi Chifuyu pour crier.
C:- TAKEMICHOU ! TON MEC IL EST TROP FORT !
Je crois entendre la sonnette mais le cris de Chifuyu me fais douter.
T:- C'est pas de ma faute.
Mikey rigole et je m'assoie sur lui pour le gêner.
M:- Tu choisi ton camp Takemichou, tu risque de le regretter !
De nouveau, je crois entendre la sonnerie de la porte retentir, mais quand je veux me lever, Mikey me retient et me fait des chatouilles. Je suis en train de rire aux éclats en le suppliant d'arrêter quand quelqu'un casse quasiment ma porte en frappant dessus. On se lève tout les trois en sursaut.
C:- C'est qui ?
T:- J'en sais rien, allons voir.
Les coups reprennent un peu plus fort.
T:- C'est bon j'arrive !
En ouvrant la porte, ce que je vois est plus qu'inattendu.
T:- Baji ? Kazutora ?
B:- Salut Takemichou.
M:- Tiens, vous faites quoi là ?
K:- Bah tu vois, c'est pas tes affaires.
M:- Respecte-moi crétin !
T:- Arrêtez de vous battre !
Je pense qu'ils sont là pour Chifuyu.
B:- Dit-moi Takemichou, il est où Chifuyu ?
T:- Qu'est-ce qui te fait dire que je sais ?
K:- Il est chez toi alors maintenant dit nous où il est.
M:- Et pourquoi on te le dirais ?
T:- Mais calmez-vous !
On dirait une descente de police dans les films.
T:- Je sais vraiment pas où il est, je pense qu'il s'est caché en vous voyant. Mais allez y entrez, je vais essayer de le trouver.
Les trois hauts placés du Toman vont dans le salon pendant que je vais dans ma chambre pour commencer à chercher Chifuyu.
T:- Chifuyu, je sais que tu es ici.
J'ouvre la porte de mon placard et me baisse pour passer sous mon étagère et atteindre la petite porte menant à ma cachette préféré où je vais quand j'ai envie d'être seul, le problème est que Chifuyu adore fouiller, et il n'a pas eu grand mal à trouver mon havre de paix, mais je ne l'ai pas empêcher d'y aller, il y a même de la place pour deux. Ce qui est parfait étant donner que ce dont il a le plus besoin là maintenant, c'est d'un énorme câlin de réconfort.
T:- Eh Chifuyu, pourquoi tu pleures ?
J'ai réussi à rentrer dans le petit espace avec lui et je le prend dans mes bras.
C:- Je... j'ai peur Takemichi...
T:- Il ne faut pas, si ils sont venu jusque ici, c'est qu'il y a une raison.
C:- Mais je veux pas qu'ils me rejettent !
T:- Tu sais Chifuyu, même si ils te rejettent, moi je serai toujours là !
C:- Merci Takemichou...
T:- Allez viens, on va rejoindre mon petit copain et les futurs tiens.
Chifuyu rigole comme si ce que je dis n'a aucun sens. Il ne me crois pas quand je dis que les deux garçons se trouvant dans mon salon ne vont pas lui briser les coeur. Nous descendons finalement l'escalier pour rejoindre les trois garçons en train de discuté de je ne sais quoi.
B:- Je pense qu'il va plus être un boulet qu'autre chose.
M:- Je ne pense pas qu'il va être un boulet, mais je n'ai pas du tout envie qu'il se blesse.
Je ne suis pas curieux, je ne veux pas entendre la suite, c'est leurs affaires pas les miennes, alors je rentre dans la pièce en tirant Chifuyu pour qu'il ne se sauve pas de nouveau. Encore un petit problème, Chifuyu lui, est très curieux. Il n'a plus l'air aussi triste qu'avant.
C:- Vous parliez de quoi ?
En réalité, je pense qu'il appréhende toujours autant, mais sa curiosité prend quand même le dessus.
M:- Du fait que je veux protéger Takemichou, et que je ne veux pas qu'il vienne à la bagarre de samedi.
T:- Mais... Je veux venir !
M:- Non.
B:- Parlez-en entre vous et nous on va prendre Chifuyu, et vous laissez.
Chifuyu a un mouvement de recul, non mais franchement, c'est sensé être moi le faible ! Finalement, il accepte de partir avec ses deux kidnappeur.
T:- Attend Chifuyu, je dois te dire un truc.
C:- Heu d'accord...
Il me suit un peu plus loin.
T:- Tu sais Chifuyu, on est ami, tu est même mon meilleur ami. On peut tout se dire, il n'y a pas de secret entre nous. Vendredi, toi chez moi, dormir et surtout parler, pas le choix.
C:- Ok bon j'y vais, je te raconterai soit vendredi, soit ce soir si mon pauvre petit coeur est complètement brisé.
Il dit ça en rigolant mais je vois bien qu'il a peur.
T:- Bon bah à vendredi mon pote !
Je retourne vers mon amoureux et il me regarde très sérieusement.
M:- Je ne veux pas que tu te battes.
T:- Mais je ne suis plus aussi fragile qu'avant, en plus je veux y aller, pour mon frère.
M:- Oui, mais si tu te blesses, je ne me le pardonnerais jamais.
T:- Je te promet de faire attention, et puis Akane sera là. Et tu n'as pas le choix, si je ne suis pas là, jamais tu ne pourra sauver Sei.
M:- D'accord, mais ne va pas au milieu des combats et fait bien attention, surtout ne t'approche pas des gens forts.
T:- D'accord, je te le promet. Merci !
Je lui offre mon plus beau sourire et il m'embrasse amoureusement. Il m'allonge sur le canapé et on s'embrasse avec passion, il passe ses mains sous mon tee-shirt et caresse mon torse. Des frissons me parcourt et la sensation est exquise, ses baisers et ses caresses me font perdre la tête. Je passe ma main dans ses cheveux et de légers bruits s'échappe de nos lèvres toujours scellées. Mais nous n'allons pas plus loin, nos câlins nous suffisent.
Nous restons ainsi au moins une demi heure, à nous câliner et nous embrasser tendrement. Nous n'avons pas la moindre idée de l'heure, mais peu nous importe. Nous nous aimons, nous nous le montrons, c'est suffisant, juste nous deux et tout notre amour.
T:- Je t'aime Manjiro.
M:- Moi aussi mon amour.
Il me prend tendrement dans ses bras, et je pose ma tête dans son cou, son odeur est délicieuse. La porte s'ouvre de nouveau.
Je vous avouerai que si ma porte s'ouvrait autant de fois dans une journée alors que je suis seul chez moi, j'aurais vraiment très envie de la casser. J'espère que vous avez appréciez. D'habitude, j'écrit le paragraphe de fin avec une semaine où plus d'avance, du coup je les changes avant de publier, mais là j'ai plus du tout de chapitres d'avances alors il faut que je me dépêche un peu, d'autant plus que je ne pourrais pas écrire pendant deux semaines à partir de mardi. Bon, je vous laisse et vous dit à dimanche j'espère.
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