Chapitre 24
Bonjour, bonjour (ou bonsoir), je vous laisse lire mon nouveau chapitre, bonne lecture.
J:- Nous allons maintenant accueillir l'avocat de monsieur Hanagaki, Maître Tanaka. Qu'avez vous à dire pour la défense de votre client ?
Av(Avocat):- Pour commencer, je pense que des marques sur le corps d'un garçon ce n'est pas une preuve suffisante. Il a très bien pu être harcelé au collège, c'est très courant à notre époque. Ensuite il accuse mon client d'avoir brûler une maison et ne donne pas de preuves. Avons-nous seulement des témoins quant au disfonctionnement de la gazinière et cela même après la réparation de mon client ?
J:- Monsieur Hanagaki, avez-vous des éléments à apportez contre les dires de Maître Tanaka ?
T:- Bien sur. Déjà, si les marques sur mon corps ne suffisent pas, celles sur le corps de ma mère seront-elles utiles ? Ensuite, deux personnes présentes dans cette salle peuvent affirmer le disfonctionnement de cette gazinière.
J:- Bien, nous allons donc demandez à une de ces personnes de bien vouloir s'avancer.
Sans que rien d'autre ne soit dit, Yuki se lève et demande à Akane, qui c'était elle aussi levée, de se rassoir.
Yu:- La gazinière que monsieur Hanagaki était sensé réparer était la mienne. Je confirme la présence d'un disfonctionnement mais le problème n'aurait pas pu faire exploser le bouteille de gaz, il s'agissait simplement d'un tuyau trop serré que je n'étais pas capable d'enlever pour changer ma bonbonne vide. Il s'est donc dévoué et il a voulu également m'aider à mettre la nouvelle. Je ne pu refuser mais plus tard se jour là, ma gazinière explosa et ma fille, qui par miracle s'était éloigné, ainsi que mon fils et même moi fûmes touché par l'explosion. Ma fille a bien failli mourir et nous en gardons tous les trois de nombreuses cicatrices.
J:- Serait-il possible de les voir ? Ainsi que celles de madame Hanagaki.
Yu:- Bien sur, cependant, mon fils n'est pas présent.
Ma mère s'avança, accompagnée d'Akane et elles ainsi que Yuki montrèrent leurs cicatrices.
J:- Bien, si plus personne n'ajoute quelque chose, nous allons délibérer, et le jugement sera rendu plus tard dans la journée.
Nous sommes donc sorti, sachant que plusieurs autres accusés doivent aujourd'hui passer devant le juge avant le rendu du jugement. Cependant nous ne pouvons sortir de l'enceinte de l'établissement avec Mikey, ma mère est donc parti avec Yuki chercher de quoi manger en attendant et Akane, Mikey et moi sommes restés attendre dans la cour devant le tribunal. au moment où les silhouettes de ma mère et de son meilleur ami disparaissent derrière le mur, je n'y tiens plus et fond en larmes dans les bras de Mikey.
M:- Takemichou, ça va ?
T:- Je... J'ai peur... Et si mon père gagne le procès ? Et... Et si tu dois allé en prison ?
M:- Tout ça n'arrivera pas, tu le sais, on a bien assez de preuves pour gagner et je ne partirais pas. Et si ton père échappe à la prison, je serais là pour te protéger, et je ne serais pas seul. Akane sera là...
Il se tourne vers ma soeur.
A:- Bien sûr que je serais là, et mon frère aussi quand nous aurons réussi à le remettre dans le droit chemin.
M:- Ken-chin et Emma aussi, ils n'auront pas le choix quand on les aura aidé à se mettre ensemble, tout comme Baji, Kazutora, Chifuyu, Hina, Yuzuha, Mitsuya, Hakkai et tous les autres ! Nous serrons toujours là parce que nous savons que tu ferais pareil pour nous. Je t'aime Takemichi, et tout les autres du Toman aussi, même si d'une façon différente, en tout cas ils ont intérêt !
Je rigole et embrasse ce garçon que me rend si heureux. Mes larmes ont cessé de couler et Mikey essuie le sillon qu'elles ont tracé.
A:- Et moi ? J'ai pas droit à un câlin ?
Je me lève et saute dans ces bras qui me réconfortait quand j'étais un petit garçon à part qui était rejeté de tous.
A:- Je t'aime petit frère.
Après ça nos parents reviennent avec beaucoup trop de nourriture, mais au même moment la famille de Mikey arrive, on mange donc tous ensemble le kebab qu'ils nous ont ramené et nous avons discuté en attendant le moment fatidique.
?:- Monsieur Sano ? Le jugement va être rendu.
Un officier s'était approché de nous et appelait Mikey. Mon stress qui était redescendu remonta en flèche et mes jambes commencèrent à trembler. Je vois le sol se rapprocher dangereusement de moi et je pense que mon nez vas y passer, mais Mikey me rattrape et me dit des mots doux pour me réconforter.
Je me sens tout de suite mieux, nous pouvons donc rentrer dans cet horrible endroit, celui où sont rendu les pires nouvelles et où sont détruits tellement de vies en une seule phrase, cet endroit qui peut signifier un allé simple pour la case prison sans pour autant que ce soit juste, cet endroit encore, censé être le plus impartial et le plus juste, qui pourtant peut être si facilement corrompu avec de simples petits bouts de papier, et tout cela, c'est ce qu'on appel justice.
Pour gagner son procès, il suffirai à mon père de sortir quelques unes des grosses coupures qu'il gardent dans le plafond du greniers, il en a tellement que ça ne vas pas le déranger. Quant à nous, la seule façon que l'on a de gagner le procès c'est d'espérer que tout ce que l'on a dit soit cru et que la justice sois juste pour une fois.
Lorsque nous rentrons dans la grande salle beaucoup trop lumineuse pour les nouvelles et les vérités si sombres qui y sont énoncée, je vois directement mon père et vais m'assoir le plus loin possible de lui.
J:- Nous avons délibéré, et nous en avons conclu que les charges pesant sur monsieur Sano ne serait pas retenu.
Je lance un regard à mon père et sa tête me montre bien que ce dont j'avais peur est arrivé, il a sorti ses gros billets, mais apparemment pas assez.
J:- Celles pesant sur monsieur Hanagaki ne serons pas retenu non plus, nous n'avons pas assez de preuves.
Je... Non, je n'y crois pas... Mon père ne peux pas rien avoir... Il... Il ne peut pas revenir à la maison... Il va encore nous faire du mal...
J:- Cependant, il ne pourra plus s'approcher à moins de 50 mètres de Takemichi Hanagaki, Yoko Hanagaki, toute la famille Inui et Manjiro Sano.
Mon coeur se calme d'un coup. Il ne pourra plus me faire de mal.
J:- La maison et tout les biens reviennent à madame Hanagaki. Madame, vous pouvez dès maintenant divorcer avec votre mari et tout les frais seront pris par votre assurance. Voulez-vous cela ?
Yo:- Oui.
J:- Il me suffira votre signature.
Ma mère signe le papier.
Yo:- Désolé d'abuser de votre temps, mais serait-il possible pour mon fils de prendre mon nom ?
J:- Evidemment, il me faudra votre signature et la sienne.
Sans aucune hésitation, je signe le papier, et ma mère aussi.
J:- Très bien, Ito Yoko et Ito Takemichi, vous pouvez disposez, tout comme toutes les personnes présentes ici pour cette affaire qui est dorénavant close.
Nous sommes ensuite rentré chez nous, et Mikey est venu chez moi.
Yo:- Mon chéri, j'ai été très chamboulé par cette journée, je vais allé dormir chez Yuki, ça ne te dérange pas ?
T:- Bien sur que non !
Elle sors de la maison puis se ravise et viens me faire un énorme câlin et me chuchote quelque chose à l'oreille. Je sens me visage s'enflammer.
T:- Mais n'importe quoi ! Bon allez vas y ! Je t'aime maman !
Elle souris et m'embrasse la joue.
Yo:- Moi aussi je t'aime, mais n'oublie quand même pas ce que je viens de te dire !
Je la pousse à l'extérieur et claque la porte sur elle. Non mais je vous jure ces mères !
T:- Alors Mikey, tu veux faire quoi ?
M:- Je sais pas, on pourrait regarder un film ?
T:- Bonne idée, on peut le regarder sur mon ordi, dans mon lit.
M:- Génial !
On monte donc dans ma chambre et je lance l'ordinateur.
T:- Choisi le film, je vais chercher quelque chose.
Il commence à faire défiler la page pour voir ce que l'on pourrait regarder et je descend chercher des glaces, je connais sa préférer, Ben et Jerry's gout cookie dough, moi j'ai plutôt opter pour une menthe chocolat.
En remontant, je passe devant la chambre de ma mère et ce qu'elle ma chuchoter me revient à l'esprit. J'hésite et je retourne la situation dans tous les sens avant de me dire que dans tout les cas, en avoir ne fera de mal à personne, et le cas inverse pourrait avoir des conséquences, alors je pousse la porte de la chambre de ma mère et m'avance doucement.
Vous êtes ici à la fin de mon chapitre, je tiens à préciser que c'est ma vison de la justice dont parle Takemichi à un moment, donc merci de ne pas critiquer et je m'excuse d'avoir écrit ouvertement mon opinion. Je sais très bien que pour le procès, ça ne se passe pas comme ça dans la vrai vie, et que divorcer est long et cher mais j'avais besoin que ça se passe comme ça dans mon histoire. Moins sérieux mais tout aussi sérieusement, je ne partage pas du tout les gout de glace de Takemichi, la glace menthe chocolat est vraiment la pire ayant été inventé (par contre Mikey mon bébé, les cookies dough c'est vraiment trop bon !). C'est tout ce que j'avais à dire alors je vous revois la prochaine fois. Ah si aussi, vous voulez une preuve de mon intelligence superieure et de mon QI incomparable ? L'autre fois je sais plus pourquoi, je faisais de la luge d'été, et j'ai pensé à Wakasa genre logique tout va bien dans ma tête, et là je me suis dit "Attend, le surnom de Wakasa, c'est Waka non ? Tsamina mina, eh, eh, Waka waka, eh, eh, Tsamina mina zangalewa, This time for Africa." Vraiment je m'épuise... Bref bonne fin de semaine.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top