Chapitre 18
Salut, j'espère que vous allez bien ! Avant de commencer, je voudrais vous remercier pour les 1,6 k de vue, sinon je vous laisse lire, bonne lecture.
P.T.:- Dit-moi Takemichi, le vrai prénom de Mikey, ce n'est pas Manjiro tout de même ?
Oh non... Je fais quoi ? Je peux pas lui mentir, il connaît déjà la réponse. Je vais lui dire la vérité, je ne sais même pas ce que dit le message.
T:- Heu... Si... Pourquoi ?
P.T.:- Je le savais... Je le savais... Je n'aurait jamais du te laisser t'amuser avec eux, ils ont une mauvaise influence. Ce n'est pas grave, finis de faire la vaisselle.
J'ai peur, je suis tétanisé, je vais refaire une crise, je me sens mal...
Heureusement, ma mère sait comment me calmer et fait de doux petits cercles dans mon dos. Je vais directement mieux et reprend les assiettes que j'étais en train de ranger.
P.T.:- Tu viendras me voir après.
T:- D'accord.
Je respire comme je peux mais je manque de faire tomber une assiette. Je me reprend et pose tout sur le plan de travaille.
M.T.:- Ne t'inquiète pas mon chéri, je vais m'en occuper.
Ne t'inquiète pas... facile à dire, je suis mort d'inquiétude. Je rejoins en tremblant la chambre de mon père, où il m'attend.
P.T.:- Alors comme ça, mon fils -quoique, je n'en suis plus si sur- est gay ?
Il est trop calme, j'ai peur, je suis terroriser même.
❗❗Homophobie, violence❗❗
P.T.:- TU N'EST PAS MON FILS ! C'EST IMPOSSIBLE ! MON FILS N'EST PAS UNE TAPETTE ! TU VAS BRISER LE COEUR DE CETTE PAUVRE HINATA ! IL NE ME RESTE PLUS QU'A FAIRE DE NOUVEAUX ENFANTS ! PAS DES RATES CETTE FOIS ! JE SAVAIS QUE JE DEVAIS T'ELOIGNER DE CES GENS, ILS ONT UNE MAUVAISE INFLUENCE ! TU N'ETAIS PAS UN RATE COMME CA AVANT !
J'ai du mal à respirer, ma vue se brouille, encore. Soudain, je sens un grande douleur sur ma joue. Par réflexe, je met ma main sur la base de la douleur et en me concentrant, je vois la main de mon père s'éloigner.
P.T.:- Arrête de pleurer, espèce de tapette. Il n'y a vraiment que les gens comme toi pour pleurer pour si peu.
Cette fois c'est dans mon ventre qu'une vague de douleur arrive. Je suis plié en deux et je tombe à genoux.
P.T.:- Pédale.
Dans mon dos.
P.T.:- Tu est vraiment inutile.
Son pied arrive directement dans mon estomac.
P.T.:- Même pas fichu d'être normal.
Les coups arrivent de partout, je ne les compte plus, ils ne veulent plus s'arrêter. Je n'entends plus rien, mes yeux remplis de larmes ne discernent que le pied qui s'éloigne, ma respiration se fait de plus en plus irrégulière et saccadé, j'ai mal, beaucoup plus qu'avec Kiyomasa et sa bande. Soudain tout redevient clair.
M.T.:- ARRÊÊÊÊÊÊÊÊÊTE !
Ma mère, ma sauveuse, mon étoile dans le brouillard.
P.T.:- TOI, MÊME PAS FICHU DE ME FAIRE UN GAMIN NORMAL !!!
T:- NON ARRÊTE ! NE LA TOUCHE PAS !
C'est sorti tout seul, je n'ai pas pu m'empêcher de protéger ma mère. Mon père se tourne vers moi et j'ai très peur, vraiment très peur, tellement peur que ma tête commence à tourner et que le monde autour de moi disparait à nouveau.
M.T.:- ARRÊTE, JE TE PROMET DE FAIRE CE QUE TU VEUX MAIS S'IL TE PLAÎT ARRÊTE !
Le monde réapparait encore grâce à elle, et encore une fois, je me dois de la protéger. L'adrénaline monte en moi et je frappe mon père au visage avant de prendre ma mère et de sortir de la maison.
M.T.:- Pourquoi tu as fait ça Takemichi ? Tu n'aurais pas dû frapper ton père !
T:- Je devais te protéger !
je ne sais pas d'où me viens ce courage. On entend la porte d'entrer s'ouvrir et je prend le bras de ma mère et on cours, jusqu'à n'en plus pouvoir. Lorsque nous sommes épuisés, on s'arrête et on s'assoit contre le mur d'une maison, mais l'adrénaline redescendu et la douleur des coups revenues, je m'évanoui.
❗❗Fin❗❗
Je me réveil à l'hôpital, ma mère est en train de me regarder presqu'en pleurant et quand j'ouvres les yeux elle me saute dessus et m'embrasse partout sur le visage.
T:- Maman, ça fait mal...
M.T.:- Pardon mon coeur mais tu dors depuis hier et j'ai vraiment eu peur ! Il est 15h Bon j'appelle l'infirmier pour qu'il s'occupe de toi et je vais me chercher un truc à manger.
C'est ce qu'elle fait et peu de temps après qu'elle soit sorti, un infirmier arrive. Il me demande si ça va et les questions de bases mais il ne me parle pas plus que ça, je suis encore un peu perdu. Son visage me dit vaguement quelque chose, comme un souvenir très lointain.
Un médecin entre dans la salle.
Dr(Docteur):- Bonjour monsieur Hanagaki, vos blessures semble superficielles mais nous allons tout de même vous faire passer une radio pour être sur. Monsieur Inui va finir de désinfecté vos plaies externe et nous allons voir si c'est plus grave qu'il n'y paraît.
T:- D... D'accord...
Dr:- Très bien, alors à tout à l'heure monsieur Hanagaki.
Le médecin ressort. Je réfléchis, Inui... Je n'arrive pas à me rappeler d'où je connais ce nom, pourtant j'ai une excellente mémoire.
Mr.I.(Monsieur Inui):- C'est bon Takemichi, tu es bien réveillé ? Je peut te poser une vraie question maintenant ?
T:- Heu... Ou... Oui...
Mr.I.:- Tu te souviens de moi ?
T:- Je crois, mais je ne sais plus trop...
Mr.I.:- Tu vas finir par me vexer ! Le père de Seishu ! Tu me considérais presque comme ton père avant ! Mais bon, le ce1, ça date. Et puis j'ai bien changé, je me rase maintenant, et j'ai pris des rides.
T:- Le père de... Seishu... YUKI ?!
Je lui saute dans les bras, mais me recule directement, mes blessures me brule.
T:- Désolé, je n'étais vraiment pas bien réveillé ! Tu vas bien ? Et Seishu ?
C'est vrai que lui aussi avait déménagé à Tokyo...
Yu(Yuki).:- Oui, super bien.
C'est super, Seishu était comme mon grand frère presque depuis que je suis né et jusqu'en ce1. Il a 1an de plus que moi et puisque dans notre petite école, il n'y a qu'une classe pour les maternelles, une pour les CP,CE1 et une dernière pour les CE2,CM1,CM2, une seule cantine pour tout le monde et une seule cour, je pouvais toujours être avec lui. Il ne m'éloignais jamais, il me traitais vraiment comme un petit frère et je l'aimais beaucoup. Malheureusement, à la fin de son ce2, il a déménagé. C'est pour cela que je me sentais si seul quand Hinata est arrivé. Tout les étés avec Kaku et Sei, on faisait les 400 coups, c'était trop bien. Mais la vie nous a séparé et maintenant que j'ai revu Kaku, j'ai de l'espoir de pouvoir revoir Sei, et comme pour confirmer ma pensé, son père reprend.
Yu:- Ce serait super que vous puissiez vous revoir !
T:- Oui, ce serait vraiment bien !
Nous étions tellement proches avec Sei que son père était comme mon deuxième père. Aillant perdu sa mère, Seishu a réussi à comblé un minimum le vide qu'il ressentait grâce à ma mère. Mon père par contre, ne l'a jamais vu comme un frère pour moi, en grande partie parce qu'il préfère les garçons aux filles, même si il ne l'a jamais dit ouvertement, en tout cas pas quand il était à Kyoto.
Yu:- C'est bon mon grand, j'ai fini. Je vais appelé le médecin.
C'est la fin du chapitre, j'espère que les troisièmes vous avez bien passé votre brevet et je vous souhaite de l'avoir. Pour les terminales je m'y connais pas du tout donc si c'est fini je vous souhaite aussi d'avoir votre bac et si c'est pas fini je vous souhaite bonne chance pour la suite. A bientôt.
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