Chapitre 6 :
-Vous êtes sûr ? Demanda mon amant suspicieux
- Oui, répondit le médecin incertain de ce que voulait insinuer Kaleb
Pour couper court à la certaine future dispute entre les deux, je me levais pour ensuite tendre la tasse de thé à l'homme en blanc.
- Tu as entendu Kaleb . Je n'ai rien alors détend toi, n'agresse pas ce pauvre docteur, dis je en souriant à mon amant, alors que mes doigts effleurer ceux du médecin lorsqu'il prit sa tasse.
Un silence à couper au couteau s'installait, mais un sourire étirer mes lèvres, je m'assis sur le canapé, mon amant a côté de moi, une de ses mains sur ma cuisse et le docteur en face sur un fauteuil.
-Docteur, sans vouloir paraître indiscret comment vous appeler vous ? Vous êtes mon médecin personnel après tout maintenant dit je, tout sourire.
- ...Tom, je m'appelle Tom
- Enchanté... Tom alors
(ELLIPSE DE QUELQUES HEURES)
Tom était partis, mon amant l'avait raccompagné à la porte puis était partis fulminer dans un coin de la propriété. La grande horloge du salon sonnait midi pile et je fermer les yeux pour rester encore un peu dans mes pensées avant que Kaleb ne me rappelle à l'ordre pour que je me remette à écrire. Mais la redescente de mon nuage arriva plus vite que je ne l'aurais imaginé, j'ouvrais brusquement les yeux en me redressant sur le canapé alors que Kaleb avait jeter un t-shirt sur moi.
- Habilles-toi, on dirait une traînée me lança-t-il d'un ton blessant
Je ne soulevais pas sa remarque et je me contentais de remettre mon haut avant de me lever pour suivre mon amant dans la cuisine. Nous mangeame sans un mot, je le regardais entre deux bouchers, sachant très bien qu'il attendait la moindre excuse pour exploser et étant d'une humeur généreuse, j'allais lui fournir avec plaisir.
- Tom... C'est un homme gentil et un excellent médecin apparemment, tu as bien choisi, dis-je l'air de rien
Il ne fallut pas un mot de plus, pour qu'il envoie valser tout le contenu de la table à terre, me faisant sursauter alors que je regrettais déjà mes paroles, il m'attrapait par le bras pour me pousser contre le mur de la cuisine, un air meurtrier orner son visage. Ses mains de chaque côté de ma tête, me surplombant de sa hauteur comme pour m'empêcher de fuir.
- la ferme
- je... je suis désolé.
- Tu es une traînée Alex, va falloir que je m'y fasse apparemment dit-il d'un ton mordant alors que je n'osais pas répondre.
À ce moment-là j'eus presque envié de pleurer, comment pouvait t'il dire ça ? il savait très bien l'amour que je lui porter, alors dire cela, me faisait l'effet d'un poignard dans le cœur . Comment osez-il dire ça ? Mais pour une fois la fureur remplaça la tristesse, dans ma tête.
- Je ne suis pas une traînée ! Arrête de dire ça ! C'est faux, C'EST FAUX !
Je le poussais, mais le voyant revenir à la charge en me balançant que je devrais arrêter de me voiler la face, je lui donnais un coup de poing dans la mâchoire. Je n'avais jamais était quelqu'un de violent, je le détestais de me pousser à l'être autant que lui. Il tourna subitement la tête sous le choc et j'en profitai pour le repousser brusquement une nouvelle fois, le faisant tituba en arrière en se tenant la joue. J'était autant choquer que lui de mon geste, et je regrettais tout de suite.
- Kaleb... Je suis désolé, laisse-moi voir, dis-je doucement
Je m'approchai de lui, posant une main sur sa joue, alors qu'il relève la tête, un peu de sang au coin des lèvres. J'écartai doucement sa main de sa joue, regardant les dégâts. Me mordant la lèvre sous le remords. Je n'euteu pas le temps d'ouvrir la bouche pour m'excuser une fois de plus. Qu'un coup dans le ventre, me fit plier en deux. Je me laissai alors glisser par terre à genoux, n'arrivant plus à respirer. Mon souffle n'était toujours pas revenu quand il posa son pied sur mon épaule, me faisant m'allonger par terre sur le dos. Je gémis faiblement, mes lèvres pincées, quand l'air entra enfin dans mes poumons. J'ouvris les yeux que je ne me souviens pas d'avoir fermé, pour regarder mon amant. Quand il capta mon regard, son visage se tordit encore plus dans une expression de pure haine.
- fils de pute...tu vas me le payer !
J'ouvris grands mes yeux avant de rapidement les refermer en voyant son pied se diriger vers moi. Une horrible brûlure suivit sur mon visage et je criai. Tout un côté de mon visage était rappé par la semelle de sa chaussure et pulsait au rythme de mon cœur, alors que je sentais de petites gouttes de liquide rouges couler sur de ma joue jusqu'au sol.
- La ferme !
Un autre coup suivit, dans mon estomac cette fois-ci, me coupant une fois de plus le souffle, stoppant donc aussi mes plaintes. Mais il ne s'arrêta pas là. Je me roulai en boule, mes bras croisés contre mon ventre, voulant me protéger un maximum de ses coups. Mes bras, à force d'être frappés, commençaient à s'engourdir et à me faire mal ; je recommençai à gémir douloureusement. Je ne sais pas si c'était son pied qui visait mal ou si c'était volontaire, mais plusieurs fois celui-ci alla frapper mes côtes de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'un horrible bruit de craquements se fit entendre, me faisant hurler. Je sentis tout à coup un poids sur mon ventre et ouvris les yeux pour apercevoir Kaleb à califourchon sur moi, toujours pas l'air de vouloir s'arrêter.
Il semblait encore furieux, me criant d'arrêter de pleurer et de me taire, couvrant presque mes hurlements. Mais je n'y arrivais pas, c'était impossible, j'avais beaucoup trop mal. Puis tout à coup je sentis une douleur à l'arrière de ma tête et réalisai qu'il avait agrippé mes épaules et me soulevait pour frapper ma tête contre le sol, ce qui ne m'aidait pas à la fermer. Quoique, ses gestes n'arrivassent qu'à m'engourdir un peu plus et j'avais presque arrêté de crier. Mes yeux étaient perdus dans le vague, fixant plus ou moins le plafond. Ma vision se tachait de points noirs, grandissant au fur et à mesure des coups. Et un, deux, trois, huit, dix, quinze fois. Je ne savais plus combien de fois ma tête cognait le sol, mais quand j'arrêtai enfin d'y penser, tout devint noir...
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tadaaaam oui c'est une scène plutôt violente je sais, sortez les mouchoirs xD mais dite vous que ce n'est que le début car vous avez une auteur sadique ! à samedi prochain du coup keur keur sur vous
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