linkaito68

Après tant d'efforts, moi, Gueld, suis enfin devenu ministre du quartier d'Avaricia. Nous sommes la seule ville restante sur terre, nos murailles nous ayant protéger pendant la guerre qui a décimé l'humanité. Cette guerre a été causé par la manifestation de pouvoirs étranges chez certaines personnes. Ces pouvoirs se sont répandus sur terre et survivent encore aujourd'hui. La ville est divisé en sorte que chaque quartier contienne des gens ayant les mêmes intérêts: Ira, les colériques, Luxuria, les obsédés sexuels, Gula, les gloutons, Acedia, les paresseux, Invidia, les envieux, Superbia, les orgueilleux et finalement mon quartier, Avaricia, ceux qui aiment l'argent. Le Gouverneur, celui qui règne sur notre communauté, restreint nos pouvoirs avec des objets magiques. Je dois à tout prix les récupérer, devenir le plus puissant, renverser le gouverneur et devenir le maître de la ville. Une rébellion gronde, je dois à tout prix l'empêcher d'intervenir dans mes plans.Point de vue des rebelles: @soupirdetoilePoint de vue de l'innocente (neutre) :@MathouDeRubis…

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Je m'appelle Jason, j'ai 23 ans et je viens de sortir de l'université en informatique. J'ai eu beaucoup de chance, car en sortant de l'université, je me suis fait embauché par une entreprise internationale comme programmeur informatique. Je peux donc travailler à la maison, ce qui m'a poussé à quitter le nid familial et à chercher une maison. En regardant sur internet, j'ai trouvé une énorme maison, presque un manoir même, à un prix ridiculement bas. C'est vrai qu'elle est dans un coin perdu que je ne connaissait même pas avant, mais cette solitude est parfaite pour mon travail, pas de bruit de circulation, pas d'enfants surexcités pour me réveiller à six heure du matin, pas de voisins envahissants s'invitant tout le temps chez moi. Je me demande quand même pourquoi l'agent immobilier semblait si ravi que je l'achète...…

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C'était une journée d'école normale, tout se passait comme cela s'est toujours passé. jusqu'à ce qu'ils arrivent. Ils étaient des dizaines armées jusqu'aux dents. Ils ont forcé chaque entrée. Nous n'avions aucune issue. La cloche d'alarme sonna et la directrice nous informa rapidement par l'intercom de la situation avant qu'ils ne l'attrapent. Ils ont pris le contrôle de l'école. Les secours sont arrivés, mais ne peuvent rien faire sans causer une tuerie. Ils ont annoncé par l'intercom qu'ils réclamaient 100 millions de dollars. À chaque minute, l'un de nous recevra une balle dans la jambe. Si d'ici 24h ils n'ont pas reçu l'argent, ils feront exploser l'école et le quartier environnant. Puisque les secours sont impuissants, c'est à nous, les élèves, de se défendre. Il n'y a qu'une seule règle: ne pas se faire attraper.…