LeoMerel

UNE POÉSIE INCARNÉE :Un cœur de chair et de sang en image de fond ; le mien, le vôtre, le leur... et un titre à entendre d'autant de façons qu'ils pourraient s'écrire :Hauts ébats et heurts pourpres ;Hauts et bas, et heures pourpres ;Ose et bat, blessures sanglantes, ou temps de rage ;Aux ébats...Combien de messages s'enchevêtrent dans les variations de ces mots/sons ? Amours, passions, déceptions, spleen, tristesses, drames... Jouent chacun leur musique propre. _______Ce recueil des humanités se déploie en sept parties ou livres. Les 4 premiers sont en vers ; les 2 derniers en prose. Il ira de soi que chaque œuvre s'entend à voix hautes.L'OUVERTURE : les 4 saisons.Le LIVRE I est composé de poèmes d'amours, de passions, de désirs charnels, que ce soit de leur naissance, de leur apogée ou de leur fin. Ces poèmes en rimes ont chacun leur rhyme propre. Le lecteur avisé lira en filigrane, sous la surfaces du paysage des mots, un chant , un rythme et la musique d'une histoire en symphonie d'émotions. Le LIVRE II est subdivisé en 6 chapitres ayant chacun son thème dont les poèmes déclinent un aspect de son thème et une humeur ou un paysage imaginaire...Le LIVRE III effeuille des tragédies d'une grande violence. Viol, suicide, mise en danger psychique... Elles sont elles aussi écrites en vers.Les textes en prose du LIVRE IV sont écrits pour dégager une émotion, un instant fort, parfois allègre, parfois brutal. Le livre V est plus lyrique.Le LIVRE VI décrit, en 6 instants, l'histoire de la soumission volontaire d'une personne qui désire être esclave et se vit comme tel, dans un attachement absolu à celui qu'il a choisi comme Maître. Passion folle, ou délire dangereux ? Ce livre en dira sa vérité. Remerciements…

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Au travers des portraits des membres de sa familles, le narrateur remonte, comme une enquête, l'histoire de sa famille, et en particulier, celle qui fut versés aux non-dits et au secret. Mais il faudra attendre les ascendants pour comprendre le flux des drames qui se sont succédés. Notre héritage n'est pas celui qu'on nous lègue en pleine lumière. Il est surtout dans ce qu'on ignore. Voici donc, comme un puzzle, comment se construit nos plaies d'aujourd'hui, transmises de générations en générations. Le livre ne suit pas un ordre chronologique, mais celui de rencontres dont seulement, chacune à sa mesure et petit à petit vient completer le tableau d'ensemble. Comme une enquête policière ce sont seulement les derniers chapitres qui viennent donner les clefs de toute l'histoire.…

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Retour aux sources de mon écriture, dépouillées des carcans formels du genre.…

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Quand la nuit s'éternise et s'enivre jusqu'au matin, que reste-t-il à faire que de s'abandonner à quelques poèmes ?Rêver ! Rêver la tête toute émue des chants de ces merveilles, le cœur dans les nuages ou bien les étoiles lointaines, de bijoux, de voyages féeriques, et se laisser caresser des douces rosées de l'éveil.…

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Les quatre saisons de Léo. Poèmes…

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Portraits en vers de ceux que j'aime, et de quelques autres qui m'ont fait souffrir.…

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Histoires courtes de furries (animaux anthropomorphes)…

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Le sens des sens où "Ceux qui touchent" s'entend dans toute la variété de l'expression. Cela parle de sensation, aussi bien que d'émotion. Ceux qui touchent sont les doigts, comme les livres de ce recueil. Ils sont aussi les autres. Ils sont nos sentiments et nos états d'âme. « Ceux qui touchent » est un recueil de cinq livres qui déclinent cinq manières d'exprimer : monologues, expression concrète et abstraite, formes poétiques, expression courte (haïku revisité), et pièce narrative. Chacune est associée à un doigt de la main.L'ensemble des textes de ce recueil s'attache à jouer sur l'homonymie, la polysémie et la plurivocité des mots et de la langue, dégageant ainsi plusieurs niveaux de lecture. Les textes sont rarement en vers classiques. Ils s'attachent davantage à un rythme qui leur est propre, où les accélérations et ralentissements tiennent la place de leur mouvement musical. Ce recueil est une invitation au voyage au cœur des états d'âme, des sens et de la langue.…

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Furry, thérianthrope, galipote, garous.... autant de mots pour décrire des humains qui se métamorphosent en animal ou qui sont hybride entre les deux. Je suis un thérianthrope félin, et voici mon histoire.…

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J'ai commencé à écrire tôt de la poésie ; 9 ans, pour dire juste. J'ai perdu les cahiers de mes tout premiers textes. Je viens de retrouver ceux de mes 11 à 16 ans. Ce sont tous des poèmes en prose, très inégaux, mais, l'un d'eux me valut d'être invité à être publié par le directeur des affaires culturelles alors que j'avais 15 ans. Je n'ai pas cru à cette invitation car je ne croyais pas en moi. Mais, puisque le temps est passé, pourquoi ne pas les publier aujourd'hui, même si cela fait déjà 37 ans ?…

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Il y a deux catégories de personnes : Celle de ceux qui sont malade de la tête, et celle de ceux qui ne le savent pas encore. Trop provocateur ? Alors disons :Il y a trois catégories de fous. Il y a ceux qui sont diagnostiqués, ceux qui s'inventent leur diagnostic, et ceux qui feraient bien de consulter urgemment, parce que généralement, c'est parmi ceux là qu'il y a le plus de fous toxiques pour les autres, mais qui ne se soignent pas. Eux, ce sont les gens « normaux » !Trop décapant ?C'est pourtant ce que me dit mon expérience... quant à moi, je fais partie du premier groupe ; celui des fous avec un diagnostic. C'est à dire de celui que les plus malveillants du troisième groupe vont s'évertuer à stigmatiser, alors même que cette malveillance est le symptôme de leur maladie mentale, la plus cruelle de toutes ! Mais je m'égare. J'avais un petit compte à régler. C'est fait !Ah, vous voulez mon diagnostic, peut-être ? Bipolaire de type 2 à comorbidités associées de trouble anxieux généralisé et de trouble panique. Pour les symptômes les plus récurants et handicapants, il va vous falloir ouvrir un dictionnaire médical : anhédonie, aboulie, clinophilie, attaques de panique, syndrome d'évitement, raptus suicidaire... tout ça par intermittence, bien heureusement pour moi ; sinon, je ne serais plus de ce monde... Résumé : je suis fou et conscient de l'être. Quel regard porter sur le monde et sur soi avec ça ? Parfois en avoir honte, mais ce n'est pas la stratégie la plus curative. Repérer la folie des autres, en être ému, parfois devoir s'en protéger, parfois en être victime. Mais surtout, être indulgent avec soi-même, se décentrer, accepter ses émotions pour les relativiser, mais aussi sublimer, avoir du recul, et rire de soi fusse jusqu'à l'humour le plus noir. Ce livre se compose de billets d'humeurs, indépendants les uns des autres, partageant avec vous, des rires aux larmes, ma perception du monde et de…