LaPorteuseDeMort

"La Bretagne, ça vous gagne", dit un dicton très apprécié des bretons. Et Hugo le voit inopinément arriver dans son bureau parisien en la personne d'Aaron, venu lui proposer de collaborer sur la maquette musicale qu'il a laissée derrière lui en repartant.Encouragé par l'opportunité, Aaron est prêt à s'investir dans quelque chose qui le terrifiait depuis des années. Faire de la musique. Raconter au monde le récit de sa vie. Mais affronter ses vieux démons n'est pas sans danger. Sans s'en rendre compte, il va agiter de vieux squelettes, attiser de vieilles rancunes et voir resurgir de vieux ennemis. Aaron va devoir faire face à d'anciens fantômes bien décidés à lui mettre des batons dans les roues.Heureusement, réveiller le passé ne fait pas que rouvrir d'anciennes plaies, il ravive aussi d'anciennes émotions pourtant longtemps éteintes, d'anciens regrets pourtant longtemps enfouis. Et Aaron n'est pas seul dans son combat, il n'a jamais été seul.Et si c'était l'occasion de tout reprendre de zéro ?______________________________Suite de "Our Love Song - Track 1"…

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Gagnant du concours "Murmures Littéraires" 2019 - 2020_____________________________________________________On aurait dit à Hugo, des années auparavant, qu'il serait un jour banquier et irait éplucher la comptabilité de son idole d'adolescence, il n'aurait eu aucun mal à balayer l'idée et à la cataloguer comme la vaine fantaisie d'un auteur inepte.Pourtant, presque une décennie plus tard, c'est exactement où il se trouve, parachuté dans un train par son directeur de père pour effectuer le bilan comptable d'un petit studio d'enregistrement de province. Le patron du studio ? Aaron Davis, ancienne gloire de la musique, déchu suite à des problèmes de drogues et réfugié en Bretagne avec Franck, son surprotecteur ancien attaché de presse.Voilà les prémices de ce qui a tous les accents d'une mauvaise comédie romantique, n'est-ce pas ?N'est-ce pas... ?…

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Londres, 1215. Voulant vivre leur amour loin des interdits, un moine et une jeune fille ne verront rien du bonheur qu'ils s'étaient pourtant promis de trouver. Fuyant leur abbaye, c'est la mort qui leur ouvrira les bras, sous la pire forme qu'ils pouvaient imaginer.Un millénaire plus tard, usé par des décennies de conflits et de courses au profit, l'équilibre social du monde est complètement fracturé : les riches sont très riches et vivent dans les "Cités", et ont tout pouvoir sur les pauvres vivant dans les "Ceintures".Lilian Hamilton, héritière pourrie-gâtée, fait sa rentrée des classes à l'université. Apparaît l'énigmatique et parfaitement inconnu "John Constantine", aussi insolent que coureur de jupons.Une conquête de choix pour la capricieuse Lilian, qui va vite le regretter. Car elle va apprendre qu'il y a plus que l'argent, la technologie et l'étiquette, en ce bas monde. Constantine l'avait pourtant prévenue, et il sait de quoi il parle.Les "maudits", ça le connaît, il se bat souvent avec. En récitant le Requiem, s'il vous plaît.…

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Se reconvertir n'est pas évident. Surtout si, comme moi (et d'autres), on a passé toute sa vie dans un domaine qui n'a absolument rien à voir.Je suis fille de restaurateurs, j'ai passé toute ma carrière dans la vente, et je prétends me reconvertir comme... aide-soignante ! C'aurait pu être une blague, si ça n'avait pas été véridique.Mais c'est exactement ce qui va se passer.Tenir un journal n'est pas évident. Surtout si, comme moi (et d'autres), on n'a jamais tenu de journal de sa vie.J'ai un bac littéraire, j'écris des histoires fictives depuis des années, et je prétends tenir un journal qui consiste à raconter la véritable histoire de ma vie. Là encore, c'aurait pu être une blague.Mais c'est exactement ce que je vais essayer de faire.#380 dans la catégorie "Non Fiction" le 13/01/2018…

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J'ai retrouvé, dans de vieux papiers, quelques poésies que j'avais écrites du temps où j'étais sur Myspace. Myspace, vous vous rendez compte ? On peut dire que ça remonte à loin.Bref, je me suis dit que j'allais les dépoussiérer un peu, elles aussi.Je n'en ai pas beaucoup, pour l'instant, je n'en ai que quatre. Mais c'est mieux que rien. Je vais les mettre en ligne à raison d'une par semaine, et après, ma foi, ce sera au bon vouloir de mon inspiration, si je devais continuer l'exercice.______________________________J'ai baptisé le recueil "Carpe Diem" parce que, de toute évidence, j'ai un truc pour les titres en latin...#231 dans la catégorie "Poésie" le 23/12/2017…

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L'Organisme est une entreprise qui a toujours tourné très rond, merci bien. Et parmi ses ouvrières, les Insulines ont toujours été très disciplinées. Employées par le secteur Bêta du Pancréas, elles prennent en charge le moindre Glucide venu, permettant sa répartition et son utilité dans l'Organisme.Mais que se passe-t-il le jour où les actionnaires, le Système Immunitaire, décide de radier les Insulines ?_________________________________Ce texte est une vulgarisation scientifique du diabète insulinodépendant, que j'avais écrit dans le cadre d'un concours d'écriture il y a quelques années, et inspiré par le concept de la série animée "Il Était Une Fois La Vie". Souvenirs, souvenirs...C'est @Mayou82 et son "Journal D'une Patiente... Impatiente" qui m'a finalement poussée à le publier ici. *Clin d'œil à Mayou*…