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Nouveau chap! C'est la que tout va bouger.

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Si on me demandait si mon contexte de vie était à présent à peu près meilleur que celui d'avant, je répondrait sans aucun doute oui.

Parce que j'étais heureux entre ces trois pièces qu'étaient l'appartement de ma sur, du salon de tatouage où j'accompagnai cette dernière et du stade où je courrais tard le soir pour ne pas être remarqué.

Ça changeait de cette vis de vagabond, où je dormais dehors face au froid et aux dangers, que nous volions pour manger et que nous fuyions le gouvernement.

Mais alors pourquoi faisais je toujours ces crises d'angoisses?

Chaque semaine, au moins une fois, des convulsions me prenaient, j'avais froid, chaud, peur. Mais je ne pleurais pas.

Souvent Annge était la pour me soutenir de ses bras réconfortant. Mais quand je me retrouvais seul, cette crise devenait encore plus douloureuse.

Et en plus d'avoir tous ces changements dans mon corp, j'avais des visions, des hallucinations. Elles me ramenaient dans le passé.

Des coups que portait mon père sur ma sur alors qu'elle me cachait dans un placard. Des journées de froid où nous n'avions pas d'endroit pour nous réchauffer.

Les pires moments de ma vie revenaient à la surface.

Mais malgré ça, je réussissais à rester droit, pour ma sur, pour ne plus l'inquiéter. Si ça n'avait été que ça, j'aurais pus continuer d'avancer comme si de rien était pendant longtemps.

Mais là, depuis deux semaines, mes hallucinations de mon passé se transformait en sorte de prémonitions. Elles ne s'avéraient pas forcément véridiques mais deux d'entres elles revenaient souvent dans ma tête.

Celle d'être séparer de ma sur, longtemps.
Et celle d'un garçon, d'à peu près mon âge. Mais je ne voyais pas son visage.

J'en soufrais tout autant, j'en avais parlé à Annge et elle faisait tout pour être le plus possible à mes côtés. Alors je venais pratiquement tout les jours avec elle au salon, j'y faisais mes cours et Yoongi m'aidait beaucoup.

Je me pressais de finir mes leçons pour pouvoir admirer les travaux minutieux de ma sur et de Hyung. J'enviais les dessins parcourant leur peau.

Les années s'écoulèrent, nous étions en 2013. J'allais bientôt avoir 17 ans et ma sur en avait déjà 22.
Et comme elle me l'avait dit, j'avais fait une pousser de croissance qui me fit atteindre les un mètre 88 précisément. J'étais très grand, je la dépassais de presque vingt centimètres.

J'avais toujours mes cheveux anormalement ondulés. Annge me disait souvent que j'étais très beau, mais je me trouvais laid avec cette cicatrise barrant mon il.

Cette plait me rappelait tout les jours l'acte d'une violence sans nom que l'on m'avait infligé. Nous condamnant moi et ma sur.

Et en plus de cette trace tachant mon visage, je trouvais mes cuisses grosses, on me répétait souvent que c'était parce que je courais beaucoup mais même avec ces arguments je ne m'acceptais pas.

Mon niveau en piano s'était nettement amélioré, de ce côté j'avouais que j'avais un certain... talent? Je chantais pour accompagné la mélodie de l'instrument. J'avais même appris à joué sur synthétiseur, parfois je composais et écrivais des paroles.

Et pour l'anniversaire de mes 17 ans, Noona m'avait proposé que l'on se fasse un restaurant que tout les deux. J'avais accepté et nous nous sommes rendu dans un petit bistrot pas trop cher.

Nous parlions en français pour ne pas que les gens entende notre discution autour.

Après ce bon repas elle m'avait dit:

« - J'ai un cadeau pour toi! »

Elle sortit un papier blanc plié en quatre. Je le déplia et y découvrit un immense dessin. Je le trouvais extrêmement beau, il était fin.

Je leva les yeux pour lui lancer un regard qui voulais dire « tu m'expliques? ».

« C'est ton cadeau d'anniversaire! »

J'avais répondu perplexe:

« - Oh! C'est gentil il est très beau je vais l'accrocher dans la chambre!

- Mais non idiot! » Elle ria.

Elle retira son gant de sa main droite et me la montra. Le dessin représenté sur la feuille était tatouée sur la main de ma sur. J'avais écarquillé les yeux, mais je n'avais toujours pas compris.

« - Ça fais quelques années que je te vois admirer les tatouages au salon comme des peinture au musée du Louvre. Donc je te propose de faire le même tatouage que moi. Un tatouage de frère et sur de sang.

- J-je,... c'est vrai?! Tu veux vraiment bien me le faire!

- Bien sûr mon cur. »

J'avais sauté de joie et l'avais embrassé sur la joue en la serrant dans mes bras. Ça faisait longtemps que je n'avais pas souris autant, c'était rare à vrai dire.

« -Attend j'ai un cadeau de la part de Yoongi pour toi! »

Elle sortit un autre papier et le regarda. J'avais une petite idée de ce que c'était mais je n'étais pas sur.

Je le déplia et lu.

« I fly on the back of an Angel »

Ce qui veut dire en français: « Je vole sur le dos d'un ange ».

« -J'avais discuté de ce tatouage là avec Hyung. Commençais je. Et j'ai toujours voulu le faire.

- Je sais il m'en a aussi parlé,... Mais tu ne crois pas que ça fait beaucoup d'un coup?

- Non, j'en ai rien à foutre.

- Jeongguk! Je ne t'ai pas appris à parler comme ça!

- Pardon Noona mais tu sais au moins ce qu'elle signifie?

- Non, Yoon m'a dit que tu me l'expliquerais. Je souris à l'entente de ses mots, il lisait dans mes pensés ce beau frère!

- L'ange c'est toi, c'est toi l'ange qui m'a porté sur ton dos quand on était à la rue, c'est toi mon soutient physique et psychologique. C'est grâce à toi si je suis encore là aujourd'hui. Et puis Angel c'est un jeu de mot avec ton nom.»

Ma sur avait fondu en larme et pour la deuxième foi de la soirée je la pris dans mes bras.

« -Merci, merci de m'aimer.

- Je t'aime mon cur. » De fins sanglot passait la barrière de ses lèvres.

Le lendemain, ma sur m'avait emmené au salon pour me tatouer. Yoongi avait pris trois heures de pose spécialement pour rester avec nous deux. C'est lui qui avait donné l'idée à Noona pour mon cadeau, il était sûr que ça me plairait.

Je m'étais assis sur un fauteuil en cuire noir et avait poser ma main sur un accoudoir fait exprès. Annge m'avait prévenu que cela risquait de faire très mal lorsqu'elle passerait l'aiguille sur l'os.

Mais à aucun moment je n'avais bronché, grimacé ou lâché une plainte. J'étais resté muet. Après tous ce que j'avais traversé, ça n'allait pas être une aiguille qui allait me faire peur.

« - Tu es un guerrier, t'es bien le petit frère de Annge toi. » Avait sortit un des employés avec une mine scotché sur le visage.

J'avais des étoiles dans les yeux pendant tout le long, voir le dessin se former petit à petit m'excitait comme un gamin.

Et lorsque tout fut terminer, environs trois heures plus tard, j'étais émerveillé du résultat.

PREMIÈRE IMAGE DU MÉDIA POUR LE TATOUAGE (En vrai c'est pas ouf mais imaginer le avec plus de finition et de détail parce que je l'ai fait à deux heure du mat donc...)

Pour ne pas perdre de temps elle avait directement enchaîné avec le deuxième. Celui ci fut plus rapide, elle écrivait la phrase en grandes lettres italiques. Mais le dernier mot, angel, était écrit lettre par lettre sur chaque phalanges de ma main gauche en majuscule et gras.

J'étais très heureux du résultat, ce tatouage m'était très cher.

Yoongi nous proposa de nous prendre tous les deux en photo avec nos deux uvres en commun.
J'étais heureux, ce moment m'avait réchauffé le cur.

Deux jours étaient passés depuis, tout était plutôt calme. J'étais avec ma sur dans le petit salon de notre appartement et nous regardions une émission assez nul sur l'écran d'une vieille télévision. J'étais blotti contre elle et elle me caressait les cheveux. Il devait être 18h.

Mais soudain un vacarme se fit entendre au pied de l'immeuble. Curieux, nous nous approchions d'une fenêtre pour en voir la raison. Et nos visages se déconfirent lorsque nous vîmes trois voitures de police garées juste en face. Des hommes étaient en train de barrer le passage d'entrer.

Nous n'étions tout les deux pas vraiment sûr que se soit nous qu'ils cherchaient, mais notre instinct de survie refis surface. Ils nous suffirent d'un regard pour que l'on se précipite vers nos deux gros sacs à bandoulières pour y remplir toutes nos affaires.

En moins de cinq minutes, nos sacs étaient posés sur nos épaules et nous sortions de l'appartement en courant. Nous dévalâmes les escaliers en panique, je manqua de tomber une dizaine de fois.

Mais à peine sortit du bâtiment, que nous nous fîmes encerclés par au moins cinq policiers. Je remarqua dans la foulé que beaucoup d'autres voitures si étaient garées, une foule encerclait les bandes de limite d'accès. Il y avait même les médias.

Je pris la main de Annge et la tira vers la droite pour s'échapper. Mais les forces de l'ordres étaient partout. Et pour la première fois depuis longtemps, j'avais reconnu que nous ne pourrions cette fois si pas fuir.

On était mort, retrouvé, démasqué, attrapé, prisonnier.

Deux hommes essayèrent de nous séparer de force l'un de l'autre, mais nos mains étaient comme attaché.

Je me rappelle de ce jour comme si c'était hier.

Ma main entourait fermement la sienne, nous nous débattions comme des animaux pour qu'ils nous lâchent.

Sans faire exprès, Annge donna un coup de pied assez violent dans le ventre d'un policier et soudain deux hommes braquèrent leurs armes sur nous. Sans doute pour que l'on se calme.

Mais ma sur en avait rien à faire, elle réussit à s'extirper de l'emprise de la police et se plaça devant moi.

« - ÉCARTEZ VOUS DE MON FRÈRE! LAISSEZ LE! IL EST TROP JEUNE! BAISSEZ VOS ARMES! »

Un silence se fit, j'étais perdu. C'était la première fois que nous nous faisions attraper. Mais les policiers revenaient à la charge.

Il nous séparèrent mais nos deux mains étaient toujours enlacées, il tirèrent d'une violence inouïe.

« - ANNGE!

- ARRÊTEZ! LÂCHEZ NOUS! »

Je regarda nos deux mains et vis les deux tatouages semblables que nous avions fait il n'y a même pas trois jours.

« - AHHHHHH!!! »

J'avais criée tellement fort, mes hallucinations devenaient réalité.

« - Annge Savage. Jeon Jeongguk. Vous êtes prié de vous rendre. »

Je regarda les yeux de ma sur.

« - Noona qu'est ce qu'on fait... Noona. Je veux pas te lâcher Noona...»

Ma voix tremblait.

« - On se retrouvera, je te le jure.

- Noona je veux pas aller avec eux! Je veux pas aller autre part! Je veux pas que t'ailles en prison! Non NOONA! J'aurais jamais du naître ! C'est de ma faute je suis désolé!

- Tu n'es pas une erreur Jeongguk, tu es mon petit frère, tu es la personne à qui je tiens le plus en ce monde. » Elle avait dit ça d'une voix trop douce pour le contexte, elle arrivait à rester calme. Tous ça à pour que je me calme moi même.

Nos mains s'étaient détachées mais la mienne restait toujours en direction de ma grande sur.

« - Je t'aime Jeongguk.

- Je veux pas! Non! Attend moi je veux pas être seul, je vais faire comment moi! »

Mais ils l'avaient déjà emmené dans une des voitures. Pourquoi j'étais retiré d'elle? Pourquoi! Qu'est ce que l'on a fait à part survivre.

Je veux vivre librement moi Noona. Librement avec toi.

Je sentis quelque chose de froid sur mes poignets, ils me firent passer les menottes pour que j'arrête de me débattre.

L'un des homme mit sa main sur ma nuque pour que je me baisse et rentre dans la voiture. À peine assis sur le siège, qu'une crise d'angoisse me prit violemment. Je tremble à n'en plus pouvoir, ma tête tournait, mes yeux devinrent vitreux, mais je ne pleurais pas.

À ce moment-là, je pense m'être évanouie. Car je ne me souviens plus de rien.

Je me réveille, assis sur une chaise, mes mains ne sont plus menottées. Je devine directement être au commissariat.

Un homme que je devine être un policier entre dans la pièce et s'assoit en face de moi.

« - Bonjour Jeon Jeongguk, je suis l'inspecteur Kim Jun Hyuk. »

Je le regardais de mes yeux les plus noir possible, j'avais la rage, je voulais tous détruire. Mais mon état était trop faible pour que je puisse lui foutre ne serait-ce qu'une droite.

« - Alors tous d'abord, vous allez me dire qui vous êtes pour que je puisse vous faire une carte d'identité. C'est la loi, vous êtes mineur et il vous faut des papiers. »

Je ne répondais pas, mes yeux étaient vides. On venait de m'enlever ma sur et de tous le reste. Pour moi, juste hocher la tête serait se soumettre alors je n'en dis rien.

Il prit mon silence pour un oui et commença:

« - Nationalité? Coréen?

- Français. Ma mère est française.

- Vous parlez français au moins?

(En français)

- Je parle français depuis tous petit, ma sur m'a appris. Je parle cette langue aussi bien que le coréen.

- D'accord... J'ai rien compris on verra ça avec l'équipe plus tard. Mais je pense que ça ne va pas être possible puisque vous n'avez jamais posé un pied là bas. Je souffla, mécontent, sachant pertinemment que j'étais dans le droit de posséder cette nationalité. Les noms et prénom c'est bon... à si il me faut deux autres noms. »

Je réfléchi, il faut que je me trouve deux autres prénoms? Euh...

« - Ji Won...

- Et?

- Yoon gi. »

Ça m'était venu sur le coup, c'était deux hommes qui m'avaient beaucoup aidé dans la vie de tout les jours.

« - Sexe?

- Homme.

- Taille?

- 1 mètre 88. »

Il leva les yeux surpris et se leva après avoir demander un mètre à un collègue. Cette situation aurait pu m'amuser mais je n'avais pas la tête à ça.

Il me demanda de me lever et de me coller contre le mur et il me mesura, son visage se décomposa. Je faisais une tête de plus que lui.

Il fit ce qu'il y avait à faire et se rassit sur sa chaise, je fis de même.

« - Un-un mètre 88... Couleur des yeux?

- Vert. »

C'est sourcil se haussèrent et il me regarda dans les yeux impressionnés.

« - Ils sont très clair...

- Je suis français. »

Il n'en dit rien.

« - Date de naissance?

- Premier septembre mille neuf cent quatre-vingt dix-sept.

- Lieu de naissance?

- Dans un camion. »

Il était encore décontenancé, il me fit un sourire réconfortant. Plus réconfortant pour lui que pour moi, j'en avais rien à faire je voulais voir ma sur.

« - Je veux dire... la ville.

- Busan.

- Très bien alors, nous avons fini. Il me reste juste à t'expliquer le reste. Tu vas aller en famille d'accueil puisque tu es encore mineur. Nous avons déjà contacté une famille elle viendra te chercher dans peu de temps. Je fronça les sourcils à ses dires.

- Je ne veux pas.

- Mais Tu n'as pas le choix.

- Je veux voir ma sur.

- Pas maintenant.

- C'est ma seule famille! Elle peut devenir ma tutrice!

- Non! Son ton était devenu bien plus froid. Annge Savage va être jugée pour meurtre et vole, elle va sans doute être renvoyée en France. Vous devrez attendre d'avoir la majorité avant de pouvoir la revoir.

- Quoi!

- Calmez-vous jeune homme! Vous pourriez la voir une dernière fois demain après tous contact sera coupé. »

J'étais fous de rage, de quelle droit on m'enlevait à ma sur?! Je me leva brusquement près à dégommer ça petite tête de policier.

Mais il appuya sur un bouton et deux hommes entrèrent dans la salle. Ils m'attachèrent de leur menottes à la table pour me maintenir.

L'inspecteur repris la parole.

« - Vous allez être envoyé dès ce soir dans une famille d'accueil. Le lendemain matin vous pourrez voir une dernière fois votre sur et les jours suivants, vous passerez des testes pour votre scolarité. »

Ma tête était baisser, ma respiration était frénétique, je tremblais de rage. Les deux hommes me détachèrent et me conduisirent dans une autre salle pour que je récupère mon sac.

On m'expliqua qu'une famille allait arriver pour m'emmener dans « ma nouvelle maison ». Je n'en avait rien à faire.

On me dirigea vers la sortie du commissariat car je devais rejoindre la famille à l'entrée.

Une femme et un homme ayant environs la trentaine était posté devant moi. La femme parla.

« - Bonjour, je suis Choi Isul et voici mon mari Choi Chin Gi. Nous allons t'accueillir chez nous pour un bon bout de temps alors tu pourras nous tutoyer. »

Cette femme inspirait la confiance, elle me faisait un peut penser à Soosoo. Mais l'homme à ses côtés,... je savais déjà que je n'allais pas m'entendre avec lui.

Il avait un regard dur, comme mon père.

« - Nous pouvons t'appeler Jeongguk? Me demanda t'elle.

- Oui. J'étais neutre, perdu et triste.

Mais je ne pleurais pas.

- Allons-y, Ha Neul va attendre dans la voiture. C'était la premier fois que je l'entendais parler celui là. Mais qui était HaNeul?

- C'est notre fille, elle a cinq ans. Mais elle ne parle pas beaucoup. Dit d'une voix douce Isul.

- Pour ça, vous allez bien vous entendre. Dit sarcastiquement ChinGi. »

Je fronça les sourcils, il avait un problème lui?
La trentenaire m'envoya un regard désolé auquel je ne répondis pas.

Nous nous dirigeâmes vers la sortie et trois policiers nous encerclèrent. Je ne compris pas pourquoi sur le coup mais quand mes yeux se posèrent sur l'extérieur, il ne me fallut pas mille ans pour percuter.

Une masse noir de journaliste et de curieux encerclaient toute l'entrée. Il y avait même la télé étrangère. Mais pourquoi l'histoire de ma sur et moi intéressait tant le monde?

Quand le policier ouvrit la grande porte en verre, on nous comprima. Mais il fallait avancer.

« - Monsieur Jeon Jeongguk, pourquoi avez-vous fuit votre domicile si jeune?! Un journaliste me tendit un micro afin que je réponde.

- Monsieur Jeon, est ce vrai que vous aviez été battu étant enfant?!

- Comment aviez-vous survécu pendant toutes ces années?!

- Avez-vous aidé Annge Savage à assassiner votre père. Mais yeux s'écarquillèrent.

- Stop! Laissez passer, laissez passer! » Cria un policier. Le monde nous bousculait, les caméras étaient rivées sur nous, les journalistes me criaient dans les oreilles des questions atroces.

Et lorsque nous rejoignîmes la voiture de cette nouvelle famille, je pus enfin respirer correctement.

Alors c'était pour ça qu'Annge voulait rester caché?

Nous nous sommes sans doute trop emballé au fur et à mesure du temps. Nous aurions dû rester plus discret...

Mais qui nous avait dénoncé?

Un client du salon de tatouage.

Un voisin?

Un passant?

Dans tous les cas, j'étais fait prisonnier.

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J'espère que ça vous a plus. Je suis pas très doué dans tous ce qui est procédure dans la justice. J'ai essayé de me renseigner le plus possible pour que le contenu paraisse assez réelle.

Merciiii!

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