À mon Havre
Caresser de la main tes murs effrités
Par le poids des années.
Enlacer du regard tes couloirs colorés
Nés de nouveau et d'ancien, te voilà ainsi bariolée.
Ô, mon école, que deviendrais-je sans toi ?
Sans la certitude qu'ici, je trouverais toujours un toit ?
Pour me protéger de la vie, partager un solo,
Ou seulement me cacher de ces trombes d'eau...?
Ô, mon école, aux milles sons,
Ô, mon école, ma seconde maison...
Ô, mon école, mon havre, ma merveille,
Partout, en rêve, je sais que tu veilles.
Partout, en musique, tu m'ouvre tes bras...
Je ne te remercierai jamais assez... Pour ça.
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