Le monde est un papier à musique,

Tout est carré, orchestré par vos fichues baguettes de colonisateurs.

Sauf qu'un jour...

  Cette fille, portée par les vents,

Chuta du ciel, pour atterrir droit sur votre système.

  Cette fille était de mélodie, son rythme cardiaque se jouant des règles musicales

Imposées par vos mondes de porcelaine.

  Cette fille avait un violon d'Ingres, celui de répandre la fanfare.

Cette fille répandit, encore et encore, les graines improvisées qui fleurirent sous le ciel d'été.

  Encore et encore, elle propagea, rêva, joua...

Jusqu'à ce que les pages vierges d'imagination ne finissent par la rattraper.

Avant de l'avaler.