Storia de amor
capítulo veinte.
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Un día después.

Seul, Lucas était seul dorénavant. En rentrant à l'appartement il avait vu tout ce sang, il avait fondu en larmes. Il avait nettoyé et était partit se coucher le cœur lourd, l'âme meurtrie. Comment Adèle avait pu partir. Il se souvint d'il y a deux jours ou ils faisaient l'amour dans ce même lit. Il se souvint de son rire, de son sourire. Le cadre en face du lit possédait une photo du jeune homme prenant par la taille la jeune femme. Ils s'embrassaient, ils semblaient heureux sur la photo. Ils l'étaient ce jour là. Lucas l'avait emmené aux Maldives, bien sûr qu'ils étaient heureux. Il tâta ses poches et en sortit un écrin de velour rouge. Les larmes aux yeux il en sortit une belle bague en argent. Ses yeux la fixaient. Les larmes se mirent à couler, ses sanglots dechirèrent le silence, ses spasmes le secouaient, il tremblait, pleurait, hurlait, criait, sa voix se brisait mais son cœur l'était encore plus. La sonnette retentit mais Lucas n'avait pas la volonté d'aller ouvrir. Adèle était morte. Disparue. Elle l'avait abandonné lâchement et il lui en voulait, il la détestait à cet instant précis. La sonnette retentissait encore et encore. La porte claqua et dans l'esprit du défenseur il espérait voir Adèle passait le pas de la porte, montait et le rejoindre dans le lit lui dire que tout ceci n'était pas réel, que ce n'était qu'un simple cauchemar. Mais la déception fut grande quand Lucas vit son compatriote Antoine entrait dans sa chambre. Ses pleurs ne s'étaient pas arrêtés, ses sanglots non plus et ses spasmes encore moins. Il était dans un état pitoyable, désolant. Antoine s'approcha et offrit une étreinte réconfortante à son coéquipier. Lucas se laissait encore plus aller dans les bras de son ami. Ses pleurs redoublèrent encore et encore. Ses cris étaient insupportables.

_Lucas, calme toi je t'en supplie.

_Elle m'a abandonné. Je la hais.

Et ses sanglots recommencèrent, les larmes coulaient, de plus en plus. Lucas était dévasté. Et Antoine ne savait plus géré le jeune homme, il sombrait totalement dans la panique. L'attaquant décida donc d'appelait le frère de son ami, ne trouvant pas d'autre moyen pour le calmer. Théo arriva une bonne demi heure après. Il entra dans même frapper et pris directement son frère dans ses bras. Il fit un signe de tête à Antoine en guise de bonjour. Le joueur du real balançait son frère, calant sa tête contre son torse. Le plus grand n'arrivait toujours pas à se calmer. Il était vraiment dévasté.

_Pourquoi j'ai l'impression que je suis mort avec elle ?

*
C'est le dernier chapitre, samedi viendra l'épilogue 😭

corrigé.