capítulo trece.
Storia de amor
capítulo trece.
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Una semana y tres días antes.
Lucas entra dans l'appartement avec Théo, les deux frères discutaient de tout et de rien, de la pluie et du beau temps. Adèle les rejoint, embrassa Lucas et fit une étreinte à Théo. La jeune femme était souriante, elle était ravie de revoir le frère de son amant. Le jeune joueur du real Madrid était un pilier de sa vie. Elle avait passé toute son enfance avec Lucas et son frère. Tout les trois étaient inséparables, de vraies petites terreurs d'ailleurs. Adèle et les deux frères se mirent à parler de leur enfance. Ils sourirent à l'entente de certains souvenirs.
_Moi je me souviens quand Ad' a arraché la perruque à la vielle du deuxième étage. Vous vous souvenez ?
_Mon dieu Théo, pas besoin d'en parler.
Les trois rirent franchement, l'ambiance était joviale, conviviale.
_Et quand Lucas à pleurer parce qu'il n'arrivait pas à faire son lacet en sixième. C'était hilarant.
_T'es sérieuse toi ?
_Oops ?
Lucas mit une petite tape derrière la tête de sa belle. La jeune femme prit une mine faussement choquée. Elle mit sa main sur son cœur et fit semblant de pleurer.
_Enfin Théo n'était pas mal non plus. Quand t'as voulu draguer Loriane en première. Le vent que tu t'es prit. Ça restera grâce dans l'histoire.
_Elle avait dit quoi "Je veux pas de toi, t'es pas assez riche" Elle doit s'en mordre les doigts maintenant.
_Quelle michto.
Les trois se remirent à rire, un plat de lasagne avait prit place sur la table, Théo et son frère mirent la table et Adèle servit les assiettes. Ils mangèrent dans un calme absolu, mais reposant. Les trois étaient heureux, vraiment, ils avaient une complicité à en faire jalouser plus d'un.
Les deux amoureux firent la bise à Théo. Il se retrouvèrent seuls une fois que ce dernier fut partit. Lucas se jetta sur les lèvres d'Adèle. La jeune femme prolongea langoureusement le baiser. Le défenseur passa ses mains sur ses cuisses et d'un mouvement souple, sa douce accrochait ses jambes autour de sa taille. Les deux s'embrassaient avec bien plus d'ardeur dorénavant. Lucas déposa Adèle sur le sofa, il lui retira rapidement son petit pull en cachemire violet et ce dernier atterrit sur la table basse. La jeune femme retira vivement le tee-shirt de son amant, les deux se jetèrent sur les lèvres de l'autre d'un même mouvement. Leurs langues dansaient un ballet endiablé. La tension grimpait à vue d'œil.
Et il s'unirent, amour, passion, désir, tentation tout se mélangeait pour le plus grand plaisir des deux protagonistes de cette histoire qu'ils croyaient sans fin.
corrigé.
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