- Quesque tu nous veux ? Dis-je.

L'homme me regarder effrayer.

- Je n'ai pas d'arme je m'appelle Arold et je suis venu vous proposer un endroit sur.

Max se leva et lui dit.

- Dernière fois que l'on nous à dit que un endroit était sans danger on a perdu un proche.

- Je vous comprend, mais là il es sur on as des barrières en métal de quatre mètre de haut avec des maisons, alimenter en électricité part des panneau solaire avec l'eau chaude.

- Et ben dit donc il nous en sort des connerie lui. Dit Max.

- Non c'est vrais regarder les photos.

Il me passa des photos, je les regarder et faisait passer les photos aux autre membre du groupe et le regarda. Je regarda Julie tenir ma fille et Léon mon fils Maya chercha un truc à leur donner à manger Arold posa sont sac a terre et fouilla dedans jusqu'à y sortir un bocal de compote et il me dit.

- Prener on en à plein encore.

- Je ne vais pas donner ça à mes gosses peut-être que tu as mis un truc dedans.

- Je le goûte si vous voulez ?

- Oui tu vas la goûter.

Il goûta la compote et me la donna, je lui disa d'avaler et je vérifia sa bouche, je passer le bocal à Maya qui donna à manger aux trois enfants et je dit.

- Vous êtes combien ?

- Comment ça ?

- Combien d'habitant.

- Une quarantaine gérer part une habitante.

- Je vois les habitants sont des survivants ?

- Non il était déjà là quand tout a commencer.

- Ok on vas se concertée et te donner nôtre décision juste après.

Après trente minutes de concertation, je revenait vers Arold qui était assis à parler avec Élodie.

- Bon on vas bien vouloir te suivre mais un faux pas et je t'allume.

- Ok juste ne leur faite pas de mal il tolère pas les armes.

- Avance conduis nous.

"Trente minutes plus tard"

On arriver devant une grille un garde était poster en surveillance, je descendait de la voiture Arold aussi et je dit.

- Ils tolère pas les armes hein !

Le garde me regarder et me viser.

- Vous êtes qui ?

Je le regarder il trembler, même pas capable de tenir une arme je lui dit.

- Pose ce jouer c'est Arold qui nous à ramener.

Le reste du groupe descendit des voiture Nico, Morgane et Maya me rejoignit et me dit.

- Je le sens pas cette endroit. Dit Morgane.

- Je sais mais on peut pas continuer a errer dehors. Dit Maya.

- Regarde Micka ça se voit qu'il a jamais tenu d'arme. Dit Nico.

- C'est un bleu encore on verra bien ce qu'il se passera à l'intérieur. Dis-je.

Une femme ouvrer la porte se présenta elle s'appeler Sophie elle avait la quarantaine, une blonde elle s'approcher de Max et dit.

- Bienvenue à Alexandrie.

Je la regarder d'un air sucpect et elle rajouta.

- Je ne veux pas d'arme dans ma ville et vous passerait un interrogatoire vidéo.

Mais elle c'était cru où la sorcière je regarder tout le monde déposer leur arme je gardais la mienne et me dit.

- Votre arme jeune homme.

- Non je te la donnerait pas cette arme est plus précieuse à mes yeux que ta ville.

- Je vois, garde la mais ne tire pas avec.

- Si vous ne faîte pas de faux pas, j'en ferait pas et oublier moi pour votre interrogatoire.

- Pas de soucis le rebelle.

Je partais vers le groupe avec ma fille dans les bras je la regarda et Arold nous fit visiter.

- Bon on vous à laisser trois les une à côté des autres vus que je pense vous voulait pas vous séparer aux quatre coins de la ville.

- Tu as bien penser. Dis-je.

On pris les trois maison. j'étais avec ma soeur mon frère la blonde et mes gosses.

"Le soir venu"

On se retrouver tous dans la première maison et on nous avait apporte des réserves de bouffe, du savon, du dentifrice tout le monde était content. Je sorti dehors partais fumer ma clope, je vit mon frère rouler une pelle à une femme. Maya me rejoignis s'alluma une clope et venait à côté de moi et me dit.

- Je savais pas que tu était voyeur sunshine.

- Je les regarde pas c'est plutôt cool si il construit quelque chose ensemble.

- Quesque j'aimerais que mon homme s'occupe de moi.

Je la serra dans mes bras l'embrassa langoureusement, et lui dit.

- Je peux bien le faire à sa place.

- Mais monsieur je suis marier.

Je l'embrassa à nouveau.

- Moi aussi je suis mariée à la plus belle femme du monde.

- Alors allons nous mettre chez nous.

Elle m'emmena chez nous. nous montons les marches de l'escalier et allons nous mettre dans la chambre elle parti dans la salle de bain et j'enlever mon jeans et mon tee-shirt et me mis sur le ventre je voyait la blonde sortir de la salle de bain en string avec un sourire en coins et elle me dit.

- Un massage sunshine ?

- Venant de la plus belle femme aux monde je dit pas non.

Elle se plaça sur moi et commença à faire son massage......

Mes mains passèrent doucement sur son dos et ses cicatrices, je commençais à avoir de plus en plus chaud ça faisait longtemps que on n'a pas pus en profiter un peu. Je passe mes jambes de l'autre côté de son dos pour être assise à coter de lui. Il se retourne en soufflant.

- Finis ?

Je me remet à califourchon sur lui, en bougeant mes hanches.

- C'est que le début mon chaton.

Je fonce sur ces lèvres avec envie c'est main passe dans ma nuque pour garder mes lèvres aux siennes. Nos langue font une danse endiablé, on se mange, se déguste les lèvres pendant un long moment. Mon minou tremper frotter contre sa bosse qui n'arrangeait pas les choses. Nos lèvres devenue rouge se détache, nos respiration sont saccadée. Mon bas ventre se tordait d'envie de me faire pénétrer, mon string me collait et dérangeait. Une de c'est mains glissa doucement sous mon string, l'autre me caressait mon cou, il traçait les ligne imaginaire sur ma poitrine, mon cou, mon ventre. Sa mains gauche s'activa dans mon string, c'est doigts me fouillait profondément se qui me faisait pousser des gémissements incontrôlable. Mon bassins bougais sous ses doigts qui explorer toujours plus loins. Il nous changea de positions en se mettant aux dessus de moi, sans me quitter des yeux, ses se mire de chaque côté de ma tête une glisse sur ma peau pour m'arracher mon string, puis dégrafer mon soutif et le lancer dans la chambre il enleva sont boxer, rapprocha son bassin pour que je sente son engin toucher l'entrée de mon minou. Il s'enfonça d'un coup se qui me fît criée de plaisir dans son oreille. Ses coups se fît de plus en plus violent et profond. Nous étions au bord de l'orgasme quand il s'arrêta j'étais encore dans le vague, je me suis rendu compte un peux tard qu'il me porta alors que son engin était encore en moi. Il me plaqua violemment aux mur, se qui me fît atrocement mal j'ai voulu lui criée après mais il m'en empêcher en m'embrassent à pleine bouche. Il recommença c'est coup de butoir, on ressemblait à des animaux en sueur, affamé de chair. Un orgasme gigantesque me pris, me fît crier de plus en plus fort. Mes parois se resserre ce qui provoca le sien. Je me sentis rempli, mes jambe tremblait et ma respiration était saccadée. Sunshine me porta doucement et me déposa avec délicatesse sur le lit en m'embrassant le coup. Morphée nous emporta rapidement.