Une femme vint me chercher pour partir, mes jambesulait plus tenir mon corps, je tremblais, j'avais peur... Elle m'emmena chez moi pour préparer mes affaires. ma mère ouvrit la porte et éclata en sanglot en me prenant dans ses bras. A peine quelques minutes plus tard ma soeur entras en fracas dans l'appartement les larmes aux yeux. Elle m'enlaça en chuchotant:

« Ne prend rien d'important, j'ai un plan.»

Elle se délivra alors de mes bras. mes pensées étaient focalisées sur ce que préparait Asami. Après avoir donné mes affaires à cette femme je passai ma journée à penser, a ce que ma sœur voulait faire et si j'y allait... Le soir je me mis dans mon lit et impossible de dormir, j'avais beau essayer toutes les positions ça ne marchait pas. J'arrêtais de bouger et la tristesse m'envahis. Je veux être LIBRE ! Mais dans ce monde c'est impossible. les larmes commencèrent à monter mais la porte de ma chambre s'ouvrit doucement dans mon dos. C'était ma mère, elle me fixa un instant, s'assit sur la chaise de mon bureau et me fixa à nouveau. Elle se mit alors à pleurer, je l'entendais... Ce fut ma sœur qui la sortit de ma chambre. Assagi me réveilla à 7h le lendemain je ne voulais pas mais elle me dit :

« Grouille si tu veux pas y aller !»

Je ne compris pas tout de suite mais je me rappelai qu'elle avait un plan pour que j'évite cet enfer. Je fis vite mes affaires, je mis un sweat à capuche pour me cacher. A 7h30 on partit et elle me révéla enfin son plan :

« Je t'emmène à la limite des villes, tu devra rester discrète, te fondre dans la masse... Trouve papa et les garçons !

-Merci grande sœur...

Je la prit dans mes bras, je ne voulais pas la lâcher et elle me dit la voix tremblante :

-Je te protégerais quoi qu'il arrive d'accord ?»

Arriva le moment où il fallait se détacher. Elle me regarda avec plein de haine envers l'humanité et partie faire diversion :

« HOLALA ! Je suis une fille qui s'approche de la ville des hommes ! N'y a-t-il pas de policiers ?!»

Elle me regarde fière et partie en courant.Il me fallut quelques secondes pour reprendre mes esprits je devais partir, Asami... Maman... Vous me manquez déjà...