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Mars 2015, Pantin
OMNISCIENT
Juste après avoir déposer Sûria à son travaille, Ramy à pris la route pour le sien, au fond de lui, il avait hâte que cette journée ce termine pour pouvoir aller la chercher. En tant que coursier en assurance, Ramy avait des journées bien remplies, il n'avait jamais le temps de ce tourner les pousses ou de souffler, chaque journée avait son défi. Il à travailler extrêmement dur pour cette place et en aucun cas il ne devait échouée. Ramy à fait de ça maladie une force, pendant que certain se lamentent sur leur sort, lui il fait en sorte que chaque jours soit meilleurs pour lui ainsi que pour ses proches. Ainées d'une famille de 4 enfants, Ramy à deux frères: Zûhir, Elyas et une sœur Salwa.
Quelques heures seulement après son arriver dans son bureau, Ramy à été appeler par son patron, un de leur client à rencontré un problème avec une compagnie immobilière en Italie. Ramy à donc du prendre un vol d'urgence pour Rome, sans savoir qu'elle était en ce moment-même entre la vie et la mort.
[...]
Le médecin se dirige vers Shazia d'un pat lent, elle se lève immédiatement et se dirige vers lui suivit de Aya.
- Elle: Alors ? Elle va bien ?
- Lui: L'opération c'est assez bien passé, nous n'avons pas rencontrée de réels complications. Votre fille est plonger dans un coma assez profond, mais elle va se réveiller, ce n'est qu'une question de temps et tout dépend de la patiente.
- Shazia: Mais ?
- Lui: Sa tête à violemment heurter le sol, alors il ce peu qu'il y es des séquelles.
- Elle: Mais elle n'aura aucun problème mentale ?
- Lui: Il est trop tôt pour le savoir, elle va devoir utiliser un fauteuil roulant le temps que sa hanche se remette du choc.
- Elle: Elle pourra remarcher ?
- Lui: Avec de la rééducation et beaucoup d'effort, oui.
- Elle: [...]
- Lui: Ecouter madame, il va falloir beaucoup de temps et beaucoup de patience, mais votre fille est entre de bonnes main, elle se réveillera bientôt, encore une fois, ce n'est qu'une question de temps. Laisser lui le temps se remettre. Vous devriez rentrer chez vous, vous douchez manger un peu et vous reposez. Ce n'est pas en restant ici qu'elle se réveillera.
Sûria
J'entends les pleures de ma mère et le son de la voix de Yazel, je reconnais aussi certains membres de ma famille, puis le personnel soignant, parfois, tout est claire et j'entend absolument tout mais parfois c'est très difficile de comprendre, j'ai l'impression que sa fait une éternité que je suis ici, je n'ai plus la notion du temps. Quelques fois, j'ai l'impression d'être dans un rêve, la vie là-bas à l'air nettement mieux, sans soucis, sans aucun chagrin, aucun tristesse, aucun sentiment. Tout parait plus facile, je me suis même demandée si je n'était pas morte. Au fond de moi, j'aimerais tellement y rester, non, je n'ai pas fais partie de ses personnes qui disent avoir essayer d'ouvrir les yeux en vain.
Moi, j'ai préférer laisser le temps faire les choses, parfois j'était conscience et ensuite je plongeais dans une sorte de trou noir, le temps m'était compter, je le savais, je le sentais. A plusieurs reprises j'ai voulu laisser tomber et ne plus jamais me réveiller, mais je repensais à ma mère, Yazel, le reste de ma famille, toutes ses personnes qui tenaient à moi puis Ramy...
Puis des larmes et encore des larmes, je sentais ses lèvres se poser sur mon front elle me suppliait de ne pas l'abandonner à mon tour, elle avait déjà perdu mon père, elle ne voulait pas perdre quelqu'un à nouveau. Mais je me sens si bien ici, personne pour me rappeler que je ne parle pas, personne pour me rappeler que je suis grosse et laide, personne pour me rappeler que je finirais seule. Mais je me sens si seule, que se soit parmi eux ou dans ce nouveau monde.
OMNISCIENT
Assis dans sa chambre d'hôtel, Ramy saisit son téléphone puis composa le numéro de Younes, celui-ci ne répondit qu'au bout de la quatrième sonnerie.
- Ramy: Pire qu'une racli toi, qu'Est-ce tu foutais ?
- Yazel: Ramy
- Ramy: Ouais Yazel c'est moi, il est ou ton frère ?
- Yazel: Il est à l'hôpital.
- Ramy: A l'hôpital ? Pourquoi ?
- Yazel: T'es pas au courant ?
- Ramy: Au courant de quoi ?!
- Yazel: Sûria est à l'hôpital depuis 1 semaine. Il l'on plonger dans le coma.
- Ramy: Pourquoi ?
- Yazel: Elle c'est fait renverser par un mec bourrer en sortant du travaille.
Le jeune homme à prit beaucoup de temps à comprendre, il l'avait déposé le matin même, elle allait parfaitement bien , et on lui apprend une semaine plus tard qu'elle avait eu un accident. Il lui avait pourtant recommander de ne pas aller travailler, elle était beaucoup trop fatiguer, mais elle ne l'a pas écouter. Puis il se souvient de la dernière phrase qu'il lui à dit avant de la laisser partir.
" - Fait attention à toi "
- Lui: Comment ça se fait que je suis au courant que maintenant ?
- Yazel: Je pensais que Younes te l'avait dit.
Ramy commençait à douter de la sincérité de son ami, hier, dans une conversation au téléphone, il lui à parler de Sûria et des sentiments qu'il avait pour elle, mais en aucun cas Younes n'avait mentionner l'accident et l'hospitalisation de celle-ci.
Mais, Pourquoi ?
Sûria
Je sens mes yeux se décoller petit à petit, j'ouvre mon œil droit suivit de mon œil gauche, une migraine intense me paralyse complètement, puis une vive douleur à la hanche, je sens des mains se poser sur mon visage puis la lumière de ce qui semble êtres une lampe jongler entres mes deux yeux, puis des voix se font entendre, je reconnais celle de ma mère ainsi que de mon oncle Rachid, je refermes à nouveau les yeux quelques secondes, mais cette fois-ci, je ne parvint pas à les ouvrirent.
[...]
- Elle: C'est moi ma puce, c'est maman.
Je tournes la tête de gauche à droite je suis toujours dans cette pièce froide et blanche, ma mère me regarde avec un large sourire dessiner sur les lèvres et les larmes aux coins des yeux. Elle m'embrasse le front, les joues, les yeux, ainsi que le nez, j'essaye de me détacher mais je suis bien trop faible.
- Elle: Tu nous à fait tellement peur.
- [...]
- Elle: Yazel et Younes sont aller te chercher de quoi manger, repose toi.
J'avais l'impression que sa faisait une éternité que j'étais ici, alors que ça ne faisait que deux semaines, les médecins devaient me faire des test, et fixer les dates pour la rééducation et ensuite je pourrais rentrer chez moi. Ma mère était là, mais je me demandais ou était Aya, j'aurais bien aimer la voir à mon réveil.
- Aya n'est pas là ?
- Yemma: Elle avait des choses à faire, elle viendra plus tard, tien ! regarde ils sont là.
La porte d'entré s'ouvre, Younes et Yazel entre dans la chambre, celle-ci me saute dessus et m'embrasse de partout.
- Elle: Tu m'as fait peur !
- Elle: J'ai un tas de truc à te raconter, mais on verra ça après.
Me dit-elle d'un sourire malicieux.
Younes lui restait en retrait, il ne parlait pas beaucoup et se contentais de me faire des sourires discret par moment, les visites se sont enchaînées durant la journée, ma mère à du rentrer ce reposer, elle était fatiguer et ne dormait plus depuis longtemps, après m'avoir longuement embrasser et m'avoir fait toutes sortes de recommandations elle à quitter la pièce accompagner d'Aya et Younes.
[...]
Cela faisait 2 semaine que j'étais là, en 2 semaine, Aya n'est passer qu'une seule fois et c'étais lorsque je dormais, selon Yazel elle ne serait pas rester longtemps car Nour l'a appeler pour une urgence, j'étais déçu, mais je n'ai rien fait, à quoi bon essayer, nos lien sont rompues depuis très longtemps. C'était ma dernière soirée ici, et si il y à bien une chose qui m'a fait mal, c'était le fait de ne pas l'avoir vu. A chaque fois que la porte de ma chambre s'ouvrait, j'espérait que se soit lui, mais il ,n'est jamais venue, c'étais ma dernière nuit à l'hôpital et je ne l'avais pas vu une seule fois. A présent j'en était sûr, je vivais un amour à sens unique... Ramy n'en avait que faire de moi.
[...]
Je dormais tranquillement lorsque la porte s'ouvrit je pensais que c'était une infirmière qui venait vérifier que tout allait bien alors je n'ai pas réagit, quelques secondes plus tard, je sens un parfum familier trotter dans l'air, puis une personne s'asseoir près de moi sur le lit, j'ouvre les yeux et lorsque mon regard rencontra le sien, je n'ai pas pu m'empêcher de sourire bêtement. Il était tellement beau, il avait les cheveux mouiller, en me rapprochant de lui j'ai pu sentir l'odeur de son gel douche, il venait de se laver, habiller d'un jean et d'un pul, avec sa traditionnelle montre attacher autour de son poignet. Il me regardait intensément en m'en faire chauffer les joues.
- Lui: Désolée j'ai pas pu venir avant.
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©Thugyh
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