Spletzer et Alice : B
Alice : Bordel de merde... je suis toute démaquillée !
Spletzer : Pas facile de mettre de la crème quand elle s'évapore rien que par ta présence.
Alice : Pourquoi on doit encore se coltiner tout ce sang et ces braises sur nous ?
Spletzer : Camouflage. T'es vraiment coquette toi.
Alice : Garçon manqué.
Spletzer : . . .
Alice : . . .
Spletzer : Bref, on a Missinka à espionner, on fait comment.
Alice : Ben pas maintenant, elle fait des parties d'échecs avec Patate. En plus, ce qui est certain c'est qu'ils vont forcément diriger nos actions contre nos futurs adversaires, on est des pointes de la lance qui transperce les premières lignes.
Spletzer : Et do.... tu peux... genre... arrêter ton bip bip ?
Alice : Attend, j'ai un appel. Je pensais être super discrète mais... Ouais ? Fréro ? Quoi encore ? Hien ? Pff... démerde toi tout seul
Spletzer : C'est vraiment un bleu ton frère.
Alice : Parle pas de ça devant moi. J'ai du mal à admettre mais de temps en temps c'est le cas.
Spletzer : T'en as de la chance.
Alice : . . . Si tu le dis.
Missinka : La la la.... ho, coucou les rivales, tranquilles ?
Alice & Spletzer : Grr...
Missinka : Du calmes la vipère et la salamandre. Je me demande réellement pourquoi vous vous disputer tant ? En plus Patate douce m'a dit que c'était vraiment pire avant que j'arrive.
Alice : C'est personnel !
Spletzer : T'as rien à savoir !
Missinka : Niac niac niac... qui sait... je sais beaucoup de choses sur vous les filles, surtout toi Alice. Mais passons, j'ai décidée d'être très gentille hi hi hi. Patate douce m'a embrassée hier soir !
Spletzer : HEIIIIIIINNNNN ?????????
Alice : Impossible ! Lui le blasé ?
Missinka : Ouaip ! Trop cool ! Bon.... je vous laisse. Ah non.... j'ai une question, elle a commencé où votre rivalité ? A moins que Spletzer est la demi moitié d'Alice en terme de casse pipe mais à part ça je ne sais pas. Si seulement vous étiez moins bêtes.
Spletzer : Pas étonnant tu lui donne le surnom de Patate douce.
Missinka : Vous savez que c'est son prénom ? -_-
Alice : HAAAAA !! T'imites même sa tête !
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Spletzer : J'arrive pas à croire que Missinka nous a encore laissé de bredouille. Du coup, on parlait de quoi déjà ? Ah oui ton frère. C'est un bleu.
Alice : Parle pas de lui comme ça, je le respecte. C'était un bleu, mais par l'effort. Il a pu réussir... contrairement à nous qui même avec un talent, on arrive même pas à battre une personne malade comme Missinka.
Spletzer : Mais Missinka a forcément un truc.
Alice : Si tu le dis. M'enfin passons. Franchement, j'arrive même plus à savoir pourquoi on se dispute tout le temps.
Spletzer : J'arrive pas à te piffer c'est tout.
Alice : Pareil pour moi. Et il faut une véritable raison. Enfin un vrai truc quoi. Si on se bagarre juste parce qu'on a envie de se bagarrer...
Spletzer : Tu manges quoi ? Sucré ? Salé ?
Alice : Le SEL ! C'est la vie !
Spletzer : Ben voilà, tout s'explique madame qui veut toujours faire la différente.
Alice : Et alors ? Moi je ne suis pas tombée amoureuse de ma cible.
Spletzer : On en parle toujours de ça ?! T'es vraiment énervante.
Alice : Je sais, je suis chaude comme la braise, tant que tu t'approches pas de moi, tu ne brûle pas. Alors arrête de jouer avec le feu.
Spletzer : Pff... de toute façon, j'arrive à éviter le feu. Parlons d'autre chose.
Alice : Ouais et si on continuait de parler de pourquoi t'es envieuse de mon frère le bleu ?
Spletzer : J'avais un ami. Je le surnommais Rouge avec son couvre-chef, mais tu sais, le monde ne veut pas que ça aille dans ton sens, il a disparut sans laisser de trace. Depuis un moment je le recherche, j'ai entendu dire qu'il avait rejoins un groupe d'assassin. Mais.... pff... on devrait arrêter de parler de ça, ça me démoralise.
Alice : Tu le considérais comme un frère ?
Spletzer : Ouaip, Le rouge était assez bête mais surtout déterminé. Quand il avait faim, il prenait toujours une bonne pâte à la sauce bolo sans rien rajouter. Enfin... c'était le bon vieux temps. Et toi avec ton frère. Je crois que c'est un peu froid entre vous deux.
Alice : Légèrement, tu sais.... des fois on a envie de se sentir seul, les disputes familiales sont vraiment d'un autre niveau. Comparé à la notre, elle ne vaut rien à celle de la Malice que j'ai entretenue avec mon frère.
Spletzer : .... C'est pas pour dire ça, mais t'es du genre à vite te chauffer.
Alice : C'est vrai, je m'impose c'est tout. Mais mon frère, n'a pas de temps. On a été vraiment têtu. Et parfois il me manque quand je pense à lui.
Spletzer : C'est sûr qu'avec Missinka dans les parages, on veut juste que ça se termine. Je me sens vraiment emprisonné dans se groupe lorsqu'elle était là.
Alice : T'as pas faux. Missinka était une ennemie mortelle il y a à peine 60 jours. Elle était une esclave... et toi une assassin qui traquait ta cible qui voyageait avec Patate à cette époque.
Spletzer : Faut aussi rajouter que tu étais une agent secrète qui liquidait les types comme moi. Pff... pas étonnant qu'on se déteste.
Alice : Pas forcément, Spletzer, à force de s'affronter, t'es devenue quelqu'un de drôle avec qui je peux prendre mon temps pour "discuter" un peu...
Spletzer : Parler avec les poings, on aura tout vu. Pourtant, le temps est passé si vite, T'imagine, on s'est rencontré en à peine 2 ou 3 mois et on est devenues... rivales.
Alice : Ouaip, bon moi je vais te laisser, je vais me maquiller. Bye bye.
Spletzer : N'oublie pas ! On doit se venger de Missinka !
Alice : Alors ça compte sur moi !
Alice et Spletzer ont évolué leur relation au niveau B
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