Chapitre 8 : Accès de violence

J sortie de son bureau, elle quitta même la capital et même le pays pour aller au siège de l'organisation. Arrivée la bas, elle ne faisait pas de vague sauf quant elle rencontra Circé.

"-Alors les pilules ?" J, sans répondre, lui jeta une toute petite lame de scalpel, qu'elle cachait dans sa manche, dans l'oeil gauche.

Circé hurla, J sais très bien que le pouvoir de télékinésie de Circé vient de ses incroyable yeux orange. J fit sortir de sa manche une autre lame du même genre qu'elle garda dans sa main.

"-Moi elle me réussissent bien...hihi...toi par contre pas tellement...hihihihi..."

Tout ceux qui étaient dans l'entré du château riaient, après tout, ils sont tous de puissant super-méchants. Circé saignait tellement de l'oeil qu'elle finit par perdre connaissance, une marre de sang se forma sur le tapis du palais. J marcha dedans en riant, elle monta les escaliers du grand halle, elle savait où elle allait. Elle monta jusqu'au dernier étage et entra dans la salle au fond du couloir, celle avec les immenses portes en bois massif. Un homme était assis au bureau, en train de lire. Une femme était penchée au dessus de lui, elle lisait également les documents, ils avaient tous les deux les cheveux vert herbe et la peau grise. Un garçon d'environ huit ans jouait sur un des canapés perpendiculaire au bureau, il avait les cheveux noir et la peau beige clair. J défonça les portes d'un grand de pied. Elle entra dans le bureau, les deux adultes levèrent la tête comme si c'était habituel, le jeune garçon se précipita vers J.

"-Grande soeur !" alors que garçon voulait faire un câlin à J, elle le frappa du revers de sa main, il tomba au sol, les deux adultes regardaient J, choqués par sa réaction.

"-Tu es tombée sur la tête ? Comment ose-tu frapper mon fils !" l'homme se leva, prit l'arme que sa femme venait de prendre dans le tiroir du haut.

"-Laisse une chance de s'expliquer à ta fille.

-Hihihihihihi...

-J ? Aurais-tu pris la molécule que Grete t'a apporté ?

-Hihihihi...

-Répond !

-Hihi...pourquoi ?

-Je suis ton père ! J'ordonne, tu obéis !

-Héhé...j'ai pas de père..." il commença à tirer. J esquiva toute les balles comme si de rien n'était.

"-J'ai d'ordre à recevoir de personne..." en un clin d'oeil, elle se retrouva devant l'homme, elle lui arracha l'arme et le poussa au sol.

"-J tu as perdu la tête ?

-Ferme là Janette !" elle attrapa la femme par le cou et l'envoya valser de l'autre côté de la pièce.

"-Hahahahahahahahaha..." J leva les yeux au ciel en soupirant avant de retournée à son sourire fou.

"-Grande soeur...tu es malade ?" J grogna avant de tirer sur sa mère. Janette mourut ainsi, une balle en plaine tête, un sourire satisfait sur le visage.

"-C'est bien ma fille ! Tu as enfin tuer ta mère, même si il aurait fallu attendre que ton frère soit plus...

-Ta gueule du con ! J'ai une dent contre toi ! Hahaha...tu peux m'expliquer...haha...pourquoi tu as osé m'appeler...ha...ha...J ?" son père sourit comme Janette.

"-Je peux enfin le dire, je suis fière de toi...tu mérite enfin d'être une Joker ! Finis la triste et sérieuse Joe, bonjour la meurtrière et criminelle J !" J lui trancha la gorge avec la lame qu'elle avait gardé dans sa main.

"-Enfin tu ferme ta gueule. Bon...hihihi...à toi "petit frère"...hihihihi...

-J...j'ai jamais voulue être comme vous...je suis pas aussi fort, pas aussi intelligent, je fais pas le poids face à toi...je suis le raté de la famille, tue moi, je m'en fout." J soupira.

"-Dégage, tiens prend." elle prit le téléphone qui était dans la poche de son père. Elle supprima tout les numéros, messages et photos qu'il contenait, essentiellement des photos de cadavres et de femmes nue. Elle avait perdu son sourire quant elle lui lança le téléphone.

"-Y'a mon numéro.

-J arrête de prendre ces trucs...t'es la seul sur qui je peux compter..." elle retrouva le sourire.

-Hahahahahahaha...la seul sur qui...écoute sale morveux je...sais pas pourquoi je dis ça...ou pourquoi je fais ça...hihihi...mais si je te revois...je te bute ! Maintenant casse toi de mon château...je te...je t'appellerais..." elle jeta aussi une liasse de billets de 100.

"-A plus Jack.

-Merci." il prit ses jambes à son cou sans demander son reste.

Une fois seul, J éclata de rire, un rire sinistre qui terrorisait tout ceux qui l'entendaient.


À suivre...

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top