C h p t - 4
Point de vue Shoto
J'étais en train de m'éloigner de la scène dans un déhanché dangereusement 'hot' pour l'heure tardive qu'il était, quand tout à coup je sentais une présence me suivre.
Je regardai l'heure indiqué sur mon téléphone.
2h12.
C'est déjà l'heure de prendre mon petit-déjeuner, omelette, haricots blanc, galette de pommes de terre en fait, pas l'heure de me faire embrouiller pour la énième fois de la soirée.
- Je sais que tu sais que je te suis. Dit l'homme (ou la femme à voix d'homme) qui confirma mes doutes inexistants.
- Je sais que tu sais que je sais que tu me suis. Répondis-je sans ciller, puis même si j'avais cillé il n'aurait pas vu parce que je suis dos à lui.
- Je sais tout ça.
Mdr, il triche là on est d'accord ?
- Pourquoi tu me suis ? J'ai l'air d'être un GPS humain ? Demandai-je.
- Je te le dirai au moment propice.
- Ah badakor. Mais moi je bouge pas d'ici tant que tu m'as pas dis pourquoi.
Il est fou lui, il croit que je vais le laisser me suivre jusque chez moi alors que je n'ai pas passé le balais, lol nope, la honte.
- Et si je te menace ?
- Si tu me menaces, je ne bougerai pas d'ici mais je ferai sûrement pipi dans mon slip. Donc évites stp. Rétorquai-je de façon badass.
- Et si je menace ta famille ?
- Le cimetière c'est pas par là.
- Toutes mes condoléances. Bref, dépêche toi d'avancer ou je te bute. Consola l'inconnu.
- Merci. On a dit pas de menace !
- C'est pas une menace mais un ultimatum.
Il courut en vitesse Ferrari dans ma direction, je tentais de m'enfuir en vitesse Fiat 500 mais mskn ce ne fut pas suffisant, rip.
Je vais peut-être me faire tuer dès le chapitre 4 mais l'important c'est de participer.
- Tu vas m'amener jusqu'à chez toi, que tu le veuilles ou non.
Il commença à fouiller dans mes poches où reposaient des pièces de centimes sales.
- Tu cherches quoi ? Si tu cherches ma virginité sale violeur, c'est pas un GPS qu'il te faut mais un portail temporel pour retourner en 2012 lol. Dis-je.
- MDR, t'es un p'tit rigolo toi. Je cherche ton adresse imbécile.
Il sorti de je-ne-sais-où ma carte d'identité.
- Oh je l'avais perdu. Merci. Remerciai-je en lui arrachant des mains ma précieuse carte.
Pas que voilà mais voilà genre euh... ok j'ai paniqué parce que je suis trop laid sur ma photo.
Je me relevai en quatrième vitesse mais vas-y lui il est en automatique je pense parce qu'il est super vif et il m'a déjà rejoint.
(On constate que l'auteur a la haine que l'auto école soit fermée parce qu'il lui restait que 1h30 à faire).
- Dis-moi t'es qui puis recule de 13 pas, fais demi tour et avance sans t'arrêter jusqu'au milieu de la route. Puis attends. Ordonnais-je.
- Pourquoi tu parles comme si t'étais en position de force ?
- Parce qu'il faut y croire pour le voir.
- C'est l'inverse.
- Ça c'est ce que tu crois.
Je crois je l'ai grave énervé parce qu'il sortit un canif de nulle part et me pénétra.
Il me pénètre la peau avec sa lame pour les coquins qui ont cru autre chose.
- Argh!!! Hurlai-je espérant alerter les habitants de... la forêt ?
Mdr, depuis quand on est dans une forêt. Déjà elle vient d'où cette forêt ? Personne ne me retrouvera sauf bambi du coup.
Déstabilisé par ma blessure, je me retrouvais au sol, le dos appuyé contre un mur.
Un mur dans la forêt oklm. Ah non en fait on n'est pas dans la forêt c'est une fresque grave réaliste d'arbre qui m'a trompé.
Y'a même une mémé qui me fixe de sa fenêtre en faisant du tricot en mode la mort est une distraction.
- Madame aidez-moi... suppliai-je.
Elle ferma ses rideaux comme on change de chaîne.
Bah merci, plus jamais je laisserai ma place dans le bus même si je prends pas le bus.
- Tu parles beaucoup dis-moi, mais ça se défend comme une merde. Commenta mon agresseur.
- Je suis journaliste, pas tortue-ninja. Me justifiai-je.
Normalement je sais me défendre un minimum parce que je suis pas non plus un branleur du dimanche, genre je fais du sport.
Mais là je suis un peu surpris, fatigué et vas-y ça m'est jamais arrivé ce genre d'agression visée et planifiée.
Je suis un peu dans le mal là.
- Et c'est ce qui te coûtera la vie ce soir.
Je puisai dans mes dernières forces pour me relever avant de me prendre un coup de pied dans le bide.
Il m'aggripa par le col et me cracha au visage (bjr le corona).
- Petite merde. Pitoyable.
Sur ces moches il m'arrache ma carte d'identité de mes mains.
- Regarde pas ma tête stp c'était y'a 10 ans. Murmurai-je.
Mdr notez mes priorités.
- Bon j'ai une maison à cambrioler. J'te laisse crever ici si ça te dérange pas, et même si ça te dérange.
- Je t'en prie, fais comme chez toi, lol. Répondis je.
Fâché par mon insolence qui lui a titillé son orgueil il m'assomme d'un coup de pied et qui mit mon cerveau en mode off et je perdis connaissance.
Je me réveillais dans la rue sous un sac poubelle, genre personne me respecte je trouve.
Je me relevai péniblement à cause de ma blessure. Je me rendis chez moi qui était l'appartement juste à 10m de moi et la porte était grande ouverte, sans surprise.
Tout était en bordel mais ça c'est normal. Genre c'est tout le temps le bordel chez moi. Je suis jamais chez moi, je suis un homme actif j'ai pas votre temps. J'ai laissé ma voiture dans le parking du grocery shop parce que c'est pas loin et que y'a pas de parking dans la rue sombre en bas de chez moi.
Il fallait vite que je désinfecte ma plaie avant de devoir me faire amputer du ventre. Lol.
Bref heureusement que j'avais un ciccobello quand j'étais petit dcp j'ai pu développer des compétences en médecine.
Le seul petit problème c'est que dans ma trousse à pharmacie y'a des bandages emballés et préservés dans leur emballage mais périmés depuis 2009 et des paquets de doliprane.
Genre je sens ça va finir la fanfiction sans mon ventre écoutez.
J'avais soudainement une forte migraine de la mort qui tue (d'ailleurs ça se trouve c'était la mort elle-même et donc on dira une mort de la migraine qui tue) alors je me rendis dans ma chambre.
Bon ok mon appartement il a 2 pièces, les chiottes/douches et la cuisine/chambre/salon, donc j'y suis déjà mais pour moi là je suis dans le salon.
Donc je m'étale de tout mon long dans mon lit, à plat ventre, la tête plongée dans mes draps.
Mais au bout de 5min j'arrivais plus à respirer donc je tournai la tête vers le côté droit et mon regard s'ancra dans des yeux d'une profondeur extrême.
- Omg. Lâchais je surpris.
- Oh.. Répondit le roux au regard aiguisé, d'une voix ennuyée.
- Je peux savoir ce que tu fais ici ? Osais-je.
Je le tutoie en mode c'est mon meilleur pote alors que ça se trouve c'est lui qui m'a poignardé.
Je suis pas hyper rancunier, à noter.
- Je travaille.
Mais qu'est-ce que j'ai bien pu faire d'aussi terrible pour me retrouver dans une situation pareille ? Qu'est-ce qu'il fout chez moi ? Serait-il celui qui m'a agressé hier ? Et si oui, pourquoi il est toujours là alors qu'il est 6h du matin et que mon lieu de vie fait 5m2 et donc qu'il a eu le temps de faire 27 tours en détails.
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