Chapitre 5 : Amitié rime avec culpabilité

Je me rends rue Olier, dans le 15 ème arrondissement, là où Alya habite avec sa mère Marlena Césaire et ses frères et sœurs. Arrivée sur le toit de son immeuble, j'enroule mon yo-yo autour de la cheminée et descend, la tête en bas, jusqu'au cinquième étage, juste au niveau de la chambre de mon amie. Mon visage en face de sa fenêtre, je la regarde, affairée devant son ordinateur à faire des recherches, comme à son habitude.

Alya adore chercher des informations pour écrire, que ce soit une fiction de son imagination ou un devoir d'histoire. Elle adore rédiger, et a un style bien à elle, que j'admets être un peu spécial à lire. Ses écrits restent cependant qu'une qualité incroyable ; et je ne me lasserais pas de les admirer, étant moi-même très mal à l'aise avec le maniement des mots. Je lui demande toujours conseil pour corriger mes devoirs à la maison, ou un certain poème de Saint Valentin entre autre ; et je suis la première à lire ses chapitres qu'elle poste sur son blog. Bien évidemment, son principal sujet d'inspiration reste les deux super héros de Paris, Ladybug et Chat Noir, mais il lui arrive d'écrire sur d'autres sujets qui lui tiennent à cœur, comme des histoires d'amour ou d'aventure par exemple. Alya est incroyablement douée pour quelqu'un de son âge, et la collégienne a de fortes chances d'intégrer une grande école de journalisme à la fin du lycée si elle continue dans cette voie.

Je ne lui dis rien, me contentant de la regarder taper vitesse lumière sur son clavier d'ordinateur avec un certain amusement. Après un petit moment, n'y tenant plus, je frappe doucement contre la vitre transparente. Alya jette un coup d'œil à la fenêtre, et, m'apercevant, elle bondit de sa chaise comme une furie, le visage illuminé et rayonnant de joie. Je lui souris, toujours en « position Spider-man » comme j'aime l'appeler, et je lui fais un signe de la main. La jeune fille court m'ouvrir la fenêtre, et je me faufile souplement à l'intérieur de sa chambre, presque à moitié tapissée de posters à mon effigie.

« Ladybug ! Je ne t'attendais plus !

-Excuses-moi, j'ai mis du temps à me remettre du combat contre Litterator, j'en suis désolée. Ton ami Nin-

-Nino m'a appelé et m'a tout expliqué, me coupe Alya tout excitée. Merci de l'avoir protégé !

-Heu, pour être honnête, c'est Chat qui m'a renseigné sur lui. Je n'ai fait que combattre l'akuma...

-Justement ! Tu nous as tous protégés ce soir ! Tu as sauvé Paris, une fois de plus !

-Ça va, ça va, pas la peine de crier Alya, dis-je en levant les yeux au ciel. Je t'entends, tu sais... Et puis ce n'est pas la première fois non plus...

-Mais ça a dû être fantastique ! J'aurai adoré être là-bas...»

Je la regarde un instant, puis soupire bruyamment :

« Justement... En parlant de ça... J'aimerai que tu ne me suives plus sur les zones de combats.

-Mais, Ladybug je-

-Il n'y a pas de « Ladybug» qui tienne. Tu as été inconsciente de t'exposer ainsi, tu mets ta vie en danger inutilement, et tu nous fais courir le risque de nous blesser, Chat Noir et moi. J'ai eu de la chance aujourd'hui, mais imagine que, en voulant te sauver, Chat aurai été battu ? Aurai eu besoin de moi, et que moi, je serai en train de t'emporter au loin parce que tu as agis égoïstement ?»

La jeune fille garde le silence et perd son sourire enjoué. Ça me fait de la peine pour elle, cependant je continue mon discours :

« Désolée de te le dire ainsi, mais ce n'est pas la première fois que tu me désobéis, Alya. Lorsque tu ne respectes pas ce que je te dis la première fois, tu te mets en danger, et pire encore tu mets en danger les autres. Tu aurais pu te prendre un shuriken ce soir, ou te faire enlever pas un autre akuma, ou que sais-je encore. Chat Noir a eu du mal à tenir seul face à Litterator, et il avait des cicatrices au visage parce qu'il devait faire attention à plein de choses en même temps. Moi, j'ai eu peur pour toi, et pendant le combat, dans un coin de ma tête, je priais pour que tu ne reviennes pas sur la place. Tu détournes notre attention et ça peut avoir des conséquences monstrueuses et d'une ampleur dont tu n'imagines même pas la taille. Je suis là pour défendre Paris avec Chat, pas pour devenir une nouvelle star entourée de paparazzi à chaque fois qu'elle sort dans la rue ! Est-ce que tu te rends compte de tout...

Je m'interromps, car j'aperçois un éclat argenté perler dans le coin de ses grands yeux ambrés. Cet éclat se transforme en larme et dévale la douce pente de sa joue, pour aller s'écraser sur le plancher sombre de sa chambre. Une deuxième larme entame le même chemin, et elle ferme les yeux, avec une mine triste qui me fend le cœur.

Émue à mon tour je m'approche d'elle et lui prend la main. Brusquement, elle se dégage vivement, me tournant le dos. Je sens qu'elle est blessée, et je reconnais que j'y suis allée un peu trop fort, mais je ne peux pas la laisser ainsi. Je reprends donc :

« Alya, je-

-Non. Tu as raison, me coupe-t-elle encore une fois, la voix tremblante. Je n'aurai jamais dû faire ça. J'aurai dû t'écouter. Je-je ne mérite pas que tu sois là pour me consoler. Ni toi, ni même ma meilleure amie Marinette. Je-Je ne mérite r-rien... J-je n-ne s-suis qu'un i-incapable... Je-... »

Ses mots sortent avec difficultés, s'étranglant dans sa gorge. Les larmes coulaient de plus en plus. Elle tremblait, et sa mine d'habitude si joviale et souriante n'était plus, remplacée par un visage bouleversé, rougi par ses sanglots, défiguré par le chagrin. N'y tenant plus, je la saisis par les épaules, et la serre contre ma poitrine, moi aussi à deux doigts de pleurer. Elle reste sans bouger, sûrement surprise, puis, avec lenteur, place ses mains fébriles sur mes omoplates. Elle se calme assez rapidement, mais nous restons enlacée un moment, chacune savourant l'instant de notre côté.

Au bout de ce qui me semble être un éternité, je la repousse gentiment pour lui faire face. Hormis ses yeux rougis et son nez qui coule, elle semble aller mieux. Un peu rassurée, je lui adresse un sourire encourageant. Ses lèvres s'étirent elles aussi en un maigre rictus, bien pâle comparé à ceux qu'elle me lance d'habitude. Cependant, je considère que ça pourrais être pire que ça, et ça me rassure beaucoup.

Je jette un coup d'œil à l'horloge placé au-dessus de son bureau. Je vais devoir y aller si je ne veux pas que mes parents s'inquiètent de mon absence. Je place une main sur son épaule :

« Alya ? Je vais devoir partir. Ça va aller ?

-O-Oui, je vais beaucoup mieux. Et je suis encore désolée, je n'aurai pas dû agir comme ça, je m'en excuse.

-C'est déjà oublié, ne t'inquiètes pas. Allez, je te laisse alors...

-Attends !"

Je lui lance un regard étonné et pressé. Si je tarde de trop, ça va faire du grabuge à la maison !

« Je veux juste te demander... Pourquoi être restée après que tu m'as sermonnée ? Tu auras très bien pu t'enfuir en me laissant pleurer dans mon coin... Alors pourquoi ?

-Je... Je n'en sais rien. Tu semblais avoir besoin de moi, alors je suis restée. Je ne vois pas d'autres explications.»

Alya m'adresse un sourire radieux, qui me réchauffe le cœur. Ouf, je l'ai échappé belle !

« Allez, au revoir Alya, et prends soin de toi... »

Je passe mes deux pieds au-dessus de la rambarde de sécurité en fonte noir, et j'actionne mon yo-yo pour m'envoler dans le ciel nocturne de la capitale, tapissé d'étoiles. Une bonne chose de faite !

J'arrive et me détransforme sur mon balcon, au 12 Rue de Gottlieb, là où se trouve la boulangerie de mes parents et notre appartement. Après avoir laissé Tikki à côté de mon bocal de cookies sur mon bureau, je descends dans la cuisine. Maman s'apprêtais à mettre la table, et Papa faisait cuire du blanc de poulet avec de la sauce blanche, sa célèbre « Sauce Papa ». Nous mangeâmes dans la bonne humeur, en discutant de tout et de rien en suivant les informations du journal de vingt heures. Comme tous les soirs. Comme une famille normale. Et ça me suffit amplement.

Je remonte en haut, dans ma chambre pastel, et m'attelle à mes devoirs, négligés jusqu'alors. Ils ne me prennent pas énormément de temps, vu que le remplaçant n'a pas donné de devoir, et que Mlle Mendeleïev était absente aujourd'hui. Épuisée, je me mets en pyjama, me brosse les dents, défis mes couettes et brosse mes cheveux ; puis m'installe dans mon lit. Quelle journée ! J'ai enchaîné une journée de cours, une bataille d'akuma, la soirée chez mon amie et mes devoirs. Moi qui me plaignais d'ennuis hier soir, me voilà servie. Je ne tiendrai pas si demain il y a une nouvelle victime du Papillon, mais au fond, j'aime être Ladybug, travailler avec Chat pour protéger ma ville.

D'ailleurs, en parlant de Chat, je songe à notre combat ensemble. J'espère que ces cicatrices sont parties, tout comme les miennes. Mon super pouvoir final est décidément miraculeux, mais j'ai toujours peur d'oublier quelque chose dans mes combats, que ça en devient maladif. Je pense néanmoins qu'il va bien, et tant mieux pour ce petit chaton de gouttière.

J'arrête mon regard sur un poster d'Adrien, punaisé sur mon mur. Pourtant, c'est le visage de mon partenaire félin qui me revient en tête. Sa coupe de cheveux d'aujourd'hui m'avait tout de suite interpellé, et sérieusement troublée, lui qui d'habitude les a toujours en bataille. Les mêmes mèches, la même couleur, presque la même longueur... Exactement la même coupe de cheveux que mon camarade de classe. Ça m'a vivement interpellé. Et si... Non. Adrien, Chat Noir ? Assurément pas. Chat n'a pas la même vision des choses que le mannequin blond. Ça ne m'étonnerait pas s'il était dans le besoin avec sa famille, car il fait toujours preuve de désintéressement et d'altruisme envers les citoyens parisiens. Il n'hésite pas à protéger les habitants, à se jeter à travers les projectiles, de faire barrière de son corps afin de laisser au gens la possibilité de s'enfuir sans dommage. Adrien est gentil, mais je ne le pense pas capable d'une telle chose. Aucune personne que je connaisse ne serait capable de ça. Chat doit être un adolescent unique en son genre, avec ses jeux de mots parfois douteux et ses gags à répétition. Bien qu'agaçant à certains moments, il est attachant, et je ne sais pas ce que je ferai sans lui. J'aimerai bien le connaitre sans son masque, je suis sûre qu'on pourrait être ami tous les deux.

Mais enfin, qu'est-ce que je raconte ? On ne doit pas se voir sans masque. On doit garder nos identité secrètes, afin d'éviter les grabuges. Imaginons que Chat soit quelqu'un que je n'aime vraiment pas, comme... Kim par exemple. Bon, ce n'est pas que je n'aime pas Kim, mais on n'est pas vraiment pote disons. Il est toujours à la botte de Chloé, et même s'il me fait rire de temps à autre, il est un peu arrogant, imbu de lui-même... Et si c'était lui, mon partenaire de combat ? Oh là là, l'horreur totale !

Je soupire, lassée de mes stupides réflexions et fatiguée de ma journée. En regardant le cadran de mon réveil, je m'aperçois qu'il n'est pas loin de onze heures du soir, comme l'indiquent les chiffres lumineux rouges. Ça ne me mènera nulle part, si je commence à suspecter tout le monde qui fait des blagues d'être Chat Noir. Kim n'est même pas blond, en plus. Je suis simplement à bout de nerf, tellement que je me mets à penser n'importe quoi. J'ai besoin de repos, si je veux garder les yeux ouvert demain en maths. Tikki, sur son coussin rose et duveteux, dors déjà. Je décide de faire de même, éteins ma lampe de chevet et sombre dans le sommeil ; où Morphée m'attend à bras ouvert...

___.oOo.___

En sortant de la douche, je me regardais dans la glace de ma salle de bain. Après avoir effacé une partie de la buée sur le miroir avec une serviette, je m'examine avec attention. Les petites entailles d'aujourd'hui sont parties, ne laissant aucune trace, grâce aux prodigieux pouvoirs de Ladybug.  

Ce sont mes cheveux dorés qui attirent cependant mon attention. Il est vrai que je pourrais faire penser à Chat, lorsque j'ai les cheveux en bataille. Je me saisis d'un peigne, et le passe dans mes boucles pour les démêler. Avec ma traditionnelle mèche sur le côté, je ressemble maintenant davantage aux affiches qui sont placardées dans toute la ville pour le nouveau parfum élaboré par la firme très étendue de mon père, la marque Agreste.

Ladybug m'a paru bien perturbée par ma coupe de cheveux. M'aurait-elle reconnu ? Non. Ce n'est pas possible, j'ai bien rattrapé le coup, même si ce n'était vraiment pas malin de ma part. J'avais vu dans la rue au moins une vingtaine de garçon arborer fièrement ma coiffure, donc ma Lady n'aurais pas pu me reconnaître. En tant que model, c'est normal que j'inspire les gens pour se coiffer ou s'habiller, c'est mon boulot. Ou plutôt mon devoir, vu que mon père ne me rémunère pas pour les séances photos. Lorsque je serai adulte, il pourra toujours rêver pour ses séances s'il ne me paye pas. Cependant, je ne suis pas en état actuellement de négocier avec mon tyran de père et je n'en ai pas non plus l'envie de le faire. S'il n'y a que ça pour lui faire plaisir, je m'y plie volontiers. Je ferai tout pour avoir un semblant de famille, mais je vois de moins en moins mon père depuis que maman est partie. Il s'enferme dans son travail, laissant à Nathalie, ma gouvernante en quelle que sorte le soin de s'occuper de moi. La voilà, la triste réalité du quotidien du célèbre mannequin Adrien Agreste. Heureusement que mon groupe d'ami est là, sinon, je ne sais pas ce que je ferais.

Plagg, comme toujours, viens de s'assoupir, le ventre plein de camembert. Je ne le réveille pas, il a bien mérité un somme après le combat d'aujourd'hui. Je m'assois sur mon lit, torse nu avec une serviette blanche autour du cou. Quelle journée !

Je songe justement à notre bataille du jour, où j'ai dû assurer les arrières de ma coéquipière coccinelle. Elle avait sauvé Alya, mon amie, parce qu'elle furetait, comme à son habitude, en première ligne de la place où nous étions. Elle ne changera jamais celle-là, mais ça ne m'empêche pas d'aller faire un tour sur le Ladyblog. Ce soir, elle avait posté la vidéo qu'elle avait réalisée le jour même, où on voit Ladybug et Chat Noir combattre Litterator, puis le moment où la Super Coccinelle l'avait emmenée loin de la zone d'action. Ça m'a fait sourire de la voir comme ça, même si elle a pris des risques inconsidérés et que j'ai dû gérer la situation seul pendant que ma partenaire la sauvait.

J'aurai peut-être dû sauver Nino comme Ladybug avait sauvé Alya. Je me sens encore un peu coupable, mais je me promets que si, par malheur, cette situation se reproduirait, j'irai le chercher et m'assurer personnellement de sa sécurité. Coûte que coûte...

Je soupire, épuisée par cette éprouvante journée, et va me mettre en pyjama. Ce n'est pas toujours facile d'associer la vie de Chat Noir à celle d'Adrien, mais je m'y fais tout doucement. Et jamais je ne renoncerai à ces pouvoirs merveilleux. Etre Chat m'octroie quelques rares moments de liberté pure, jamais je ne laisserai échapper pareille occasion. Je mène maintenant une vie trépidante au côté de Ladybug, et j'espère que ça va continuer un moment.

Je n'ai pas arrêté de penser depuis que je suis renté chez moi. Il faut que je me calme, sinon jamais je ne dormirais. Cependant, il faut absolumentque je me repose suffisamment, pour être attentif demain en cours, et éviter une nouvelle engueulade avec Vincent, mon photographe, et mon père au sujet de mes cernes. Je m'étends sur mon lit, prêt à m'endormir. Je songe à ma Lady, cette fille si parfaite, avec des cheveux couleur de nuit, ses yeux d'un bleu pur, son costume qui lui sied comme un gant... Je m'endors, tout en rêvant d'une certaine coccinelle parisienne, Ladybug...

Le lendemain, je me rend en cours avec le Gorille qui me dépose devant le collège. Je rejoins Nino, Alya et Marinette, assis sur un banc.

«Hey, salut mon pote, lance mon ami, rajustant son éternelle casquette orange

-Salut Nino. Coucou les filles !

-Salut, Adrien ! Comment va-tu ?, me demande Marinette en me souriant largement.

-Bien et toi Mari ?

-C-Ça va... Merci...»

Alya se contente d'un signe de la main, le visage vissé sur son portable, mais elle me sourit elle aussi.

«Alors, Nino, tu t'apprêtais à nous dire quelque chose..., relance Mari, se tournant vers notre ami.

-Oui, justement, à propos d'hier... J'étais resté au collège, alors que Litterator était toujours là..

-Non... Sérieusement ?, s'exclame la jeune fille, surprise. Tu as dû avoir peur...

-Ouais, je n'en menais pas large, crois-moi, affirma Nino. Je me suis enfermé dans un casier, et j'ai appelé Adrien. Je lui ai expliqué la situation, et conseillé de rentrer chez lui. Puis j'ai essayé de joindre Alya mais mon stupide phone n'avait plus de batterie.

-Je ne te racontes pas comment j'ai flippé grave, commente Alya en fusillant du regard l'intéressé, qui soudain avait l'air mal à l'aise.

-Oui, Bon... J'y peux rien moi..., dit il en rosissant. En tout cas, j'ai attendu longtemps dans mon casier, et je commençais à avoir la trouille. J'étais coincé, ne me demandez pas comment, mais j'ai réussi à m'enfermer dedans. la porte s'était enfoncée. Heureusement qu'Adrien était là, hein, pas vrai, mon pote ?

-Oui, ça c'est sûr...

-Mais... Tu n'étais pas avec Adrien ?, demanda Marinette d'un air intrigué.

-Ben non, je lui avais dit de rester chez lui, et il est revenu lorsqu'il n'y avait plus de danger pour me libérer.

-Mais comment savais-tu qu'il était coincé ?», m'interrogea Mari

Je ne sais pas pourquoi, elle semblais douter de ce que raconte Nino. Bizarre... Mais là, panique à bord ! Je ne le savais pas, j'ai juste utilisé ma super ouïe et j'avais entendu Nino taper dans son casier. Mais je ne peux pas raconter ça ! Que vais-je bien pouvoir dire ?

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Et voilà, un nouveau chapitre ! Un peu plus court peut-être, et plus porté sur les relations Alya/Marinette et Adrien/Ladybug. Dites moi si ça vous plaît !

N'hésitez pas à me contacter pour donner votre avis ou me signaler des fautes, j'en ai sûrement oublié dans le tas... Et en tout cas merci d'avoir lu jusqu'ici, vous êtes des amours !

Kiss et prenez soin de vous, mes petits akumas 😉💘🐞

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