#Basket 66 | Rio
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66 ☆ Rio
Un réveil dans ses bras...
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Un week-end à la mer !
Trois semaines plus tard...
Sans me vanter, je crois que j'ai eu une super idée pour ce week-end de quatre jours. J'en ai aussitôt parlé avec Marco, qui s'est montré aussi enthousiaste que moi. Il faut dire que je passe le plus clair de mon temps avec lui en dehors des cours et de celui que l'on s'accorde avec Zélie.
La rééducation s'écoule tellement bien que l'on est en avance sur le plan de la remise en forme établie par mon kiné personnel. Ça fait toute la différence d'avoir quelqu'un qui n'est là que pour vous aider à atteindre vos objectifs.
Marco a pris du grade, il n'est pas simplement mon kiné, il est aussi mon coach sportif et de vie.
De demeurer à la colocation lui permet d'aider les gars à adopter une meilleure hygiène de vie. Pour qu'ils fassent des exercices de musculation bien ciblés. Il leur donne aussi des conseils sur leur repas. Et je n'ai jamais vu autant de légumes et de fruits frais dans cette maison.
Ils se sont même mis à cuisiner sur cette fameuse plaque, qui n'avait jamais servi. Quant à moi, mes repas, en dehors de ceux de Lucie, je les prépare avec l'aide de Zélie quand j'arrive à passer une soirée avec mon Coquelicot.
Nous restons cependant prudents, même si les menaces de Paul et de Sienna ne peuvent plus nous atteindre, nous ne devons pas donner de munitions à d'autres personnes.
Heureusement, son frère, mes potes et Paloma, me permettent souvent de me planquer. Nous montons à plusieurs et ainsi je peux rester la nuit avant de rentrer au petit matin dans ma chambre universitaire.
Mais là, je n'ai pas eu besoin de me lever aux aurores. C'est la première fois, que l'on s'accorde une grasse matinée. Prendre le temps de me réveiller dans les bras de Zélie n'a pas de prix. Caresser ses courbes sensuelles, nues, non plus. Pas plus que de longer sa cuisse pour lui accorder cet instant pour sortir du sommeil avant de m'attaquer à l'arrondi de ses fesses.
Ma Déesse retourne lentement son corps sur le côté afin de se trouver face à moi. J'aide le drap à glisser pour le dévoiler entièrement. Je le connais par cœur et pourtant je n'ai de cesse d'en redessiner les contours.
— Tu as bien dormi ?
— Toujours quand je suis dans tes bras.
La pulpe de ses doigts se dépose sur ma joue pour la cajoler avant de glisser jusqu'à mon cou, que Zélie crochète pour attirer mon visage vers le sien. Son baiser est doux. Bien loin de la tension que je ressens dans son corps collé au mien. Il lui suffit d'un regard pour s'embraser à ce simple contact. Sa jambe passe au-dessus de la mienne, ce qui déclenche mon sourire.
— Tu es belle quand tu rougis, mon Coquelicot.
Mon compliment n'arrange rien à la carnation de sa peau tandis que ma main caresse sa cuisse sur sa longueur. Je la serre pour la maintenir dans la bonne position afin de découvrir son intimité, qu'elle offre à mes doigts impatients de retrouver son antre. Chaud, humide et accueillant.
Je butine ses lèvres pulpeuses, que je mordille, lèche tandis que mes phalanges crochètent son vagin. J'adore lire le plaisir qui grimpe dans ses iris bleus. Son souffle, qui s'accélère. Son trouble, qui devient perceptible. Zélie laisse échapper des gémissements qui s'accentuent lorsqu'elle glisse sa main entre nos deux corps.
Ma belle brune serpente, frôle mes abdominaux tandis que mon épiderme réagit à l'unisson des spasmes qui secouent ma queue au moment où elle s'en empare. Les sensations sont incomparables. Les picotements colonisent mes testicules et se répandent jusque dans le creux de mes reins, déclenchant une série de frissons qui ne passe pas inaperçue au regard amusé de ma Déesse.
— Je ne t'ai pas encore branlé, me souffle Zélie.
Elle se moque gentiment de mes réactions. Alors je vais m'amuser à tester un peu les siennes. Mon pouce trace un sillon entre ses lèvres jusqu'à ce qu'il rencontre son clitoris. Le premier contact la rend dingue, alors que mes doigts la pénètrent en rythme.
— Calme-toi si tu veux que je branle ton point sensible, je souris en copiant ses mots.
Je n'obtiens pas de réponse concrète, mais, lorsqu'elle croise mon regard, je la sens déterminée et joueuse.
La pulpe de son pouce récolte les gouttes de plaisir qui perlent de mon méat avant de l'étaler sur mon gland sensible. Elle suit mon frein et tout doucement elle descend puis remonte le long de ma queue.
— Plus vite, ma Déesse, je réclame entre deux râles.
— Savoure...
En effet, c'est divin, mais je ressens ce besoin viscéral de prendre plus de plaisir encore. Je délaisse son antre, ce qui occasionne une pluie de mots plus ou moins délicats de ma belle brune qui se trouvait proche de la jouissance.
— Chevauche-moi.
Les iris de Zélie se mettent à briller et c'est tout juste si j'ai le temps de dérouler un préservatif avant qu'elle s'assoit sur mon bassin. Elle fait glisser son intimité trempée sur ma queue équipée pour s'accorder un nouveau plaisir et lubrifier la capote.
Mes mains épousent ses fesses, mes doigts les capturent, les pressent comme deux oranges bien juteuses avant de soulever son bassin.
— Empale-toi, ma Déesse.
— Si je veux ! Laisse-moi faire.
Ses prunelles ardentes rayonnent sur la promesse de ce plaisir à venir.
Zélie embrasse la peau de mon torse, s'amuse à faire durcir mes tétons. C'est dingue, nouveau et j'en redemande. Sentir ma pointe disparaître dans sa cavité humide pour mieux l'aspirer, le suçoter. L'enserrer entre ses dents pour le picorer fait crépiter en moi un feu bien allumé déjà.
— Zélie...
— Oui, mon beau. Tu es tellement sensible, si...
La pointe de sa langue tourne et vire autour de cet appendice jusque-là vierge d'attentions. Cette femme me chavire, m'électrise. Je place mes mains dans son dos et l'incite à remonter vers mes lèvres, que je dévore avec un appétit surexcité par ses caresses. J'ondule des hanches pour reprendre contact avec les nymphes de Vénus. Elle y répond en se laissant glisser sur mon membre. Zélie s'apporte du plaisir en caressant son clitoris, qui ne va pas tarder à exploser.
— Que fais-tu ?
Je la vois redresser son buste, décaler ses jambes pour se trouver assise à côté de moi. Je suis désarçonné et ne comprends pas pourquoi elle met fin à un moment aussi chaud et intense. Où veut-elle en venir ?
— Ma Déesse ?
— Chut !
Son index se place sur ma bouche tandis que son large sourire me rassure.
— J'ai toujours eu envie de faire ça...
Je la regarde enjamber mon corps à nouveau, mais dans l'autre sens. Je ne me trouve plus face à sa poitrine, à son visage, à ses lèvres, mais bien à ses fesses, à son dos. Zélie se pose sur mon bassin. Ses mains prennent appui sur mes cuisses pour se stabiliser alors que sa tête se tourne vers moi pour découvrir ma réaction.
— Tu es surprenante !
— Vénus l'a toujours été...
Je n'ai pas le temps de le lui confirmer, que son bassin se soulève pour avaler ma queue et la faire disparaître en elle. Nous lâchons un gémissement guttural commun face à cette pénétration profonde. Nouvelle. Et terriblement sensuelle. Regarder ses fesses onduler devant mes yeux alors qu'elle coulisse sur mon membre, que je peux voir entrer et sortir de son antre me rend fou. C'est tellement jouissif.
Mes mains ont pris possession de son cul si bandant et l'aident à garder le rythme. Je résiste depuis quelques secondes à l'envie de me balader vers cette zone si tentante. Mes pouces en prennent la direction. Ils effleurent son œillet et je ne quitte pas du regard son corps, son profil pour y déceler une quelconque réticence, peur ou refus.
— Je peux ?
— Oui, souffle-t-elle sans hésitation.
En attente de plus d'attention, Zélie a arrêté ses va-et-vient. Une claque part sur sa fesse. Sa tête se tourne instantanément et je croise son regard intense tandis que ses muscles se crispent.
— Détends-toi...
— Tu en as de bonnes, toi.
Je gifle son autre fesse et sa réaction ne se fait pas attendre. Pendant qu'elle râle après ce qu'elle appelle une attaque déloyale. Je pousse un peu plus la caresse sur son trou, ce qui a pour effet de la faire taire instantanément et de remplacer ses doléances par des gémissements.
Ses mains posées de part et d'autre de mes jambes, elle tente de stabiliser son corps. Tandis que les contractions qu'elle ressent au creux de son intimité massent ma queue bien nichée dans son antre.
— Reprends tes va-et-vient.
Je l'incite à bouger pour renouer avec notre plaisir pendant que j'accentue ma progression. Sa chevauchée adopte un tout autre rythme en se calant au mien.
Pourtant, je dois prendre mon temps. Y aller en douceur pour ne pas lui provoquer de douleurs. Avancer petit à petit, alors que je la vois prendre de plus en plus de plaisir. Ses gémissements s'intensifient, sa respiration s'accélère ainsi que les frissons qui parcourent son corps tout entier. Son orgasme est proche et c'est ce même moment que j'attends pour approfondir ma poussée.
Le combo est gagnant.
Zélie ne retient pas son plaisir et s'abandonne aux vagues qui la submergent. Son buste part en avant et se plaque sur mes jambes. J'en profite pour me retirer. Je positionne ma queue sur son autre entrée et pousse légèrement tant qu'elle ressent les bienfaits de sa jouissance.
— Hum...
Mes mains caressent ses fesses, le bas de son dos pendant que Zélie reprend ses esprits.
— Redresse-toi doucement. C'est à toi de décider de mon avancée.
Zélie m'écoute tout en faisant attention à son ressenti. Elle progresse à son rythme, alors que j'ondule lentement du bassin. Je l'aide à trouver sa cadence quand je vois qu'elle commence à fatiguer. Les muscles de ses cuisses se tétanisent à force de se retenir pour garder le contrôle et ne pas trop se redresser.
— Tu veux bien que je prenne le relais ?
— Oui, je fatigue...
Aussitôt son buste par vers l'avant. De mes mains posées sur ses hanches je l'incite à se décaler afin de me placer à genoux. Je colle mon buste à son dos et la respire au creux de son cou. Mes mains caressent ses bras, ses côtés. Ma bouche picore sa nuque, ses épaules. Zélie apprécie ce moment de tendresse, mais n'en oublie pas pour autant notre plaisir.
— Laisse-moi me tourner.
Je me redresse et ne perds rien de sa manœuvre. Son corps est une œuvre d'art. Ses courbes ont été dessinées pour la luxure. Ma Vénus...
Une fois sur le dos, Zélie me tend les bras pour m'inciter à revenir entre ses cuisses largement ouvertes pour m'accueillir. À genoux, face à cette beauté, je reste quelque seconde à me repaître du spectacle qu'elle m'offre.
J'agrippe ses chevilles, les embrasse chacune à leur tour avant de les placer sur mes épaules. Je récupère un coussin et le dispose sous ses hanches pour soulever son bassin et faciliter mon entrée en elle. Je câline ses fesses et les presse entre mes doigts.
— Tu te sens prête ?
— Oui...
Ma main se saisit de ma queue, que je lubrifie au creux de son intimité. Les râles de plaisir sortent de sa gorge sans retenue. Mes allers-retours descendent toujours plus vers son trou, qui palpite à chaque début d'intrusion.
— Caresse-toi.
Mes mots au creux de son oreille la font frissonner. Alors je l'encourage.
— C'est ça... Continue, ma Déesse.
Mon retour dans son fondement s'effectue tout en douceur et en accord avec ce qu'elle ressent et accepte. Ses halètements sont de plus en plus audibles ainsi que le plaisir que cette nouvelle position nous accorde. Zélie se lâche et m'incite même à bouger plus vite en accompagnant mes mouvements de bassins pour nous mener vers une jouissance commune.
L'osmose parfaite de nos deux corps.
Je me couche à côté de cette femme magnifique, qui vient aussitôt se nicher entre mes bras ouverts pour l'accueillir. Sa tête se pose sur mon torse tandis que je tente de réguler les pulsations intenses de mon palpitant.
— Il bat fort...
Sa main caresse mon pec, ses doigts s'amusent avec mon téton dressé et c'est épuisés que nous sombrons dans le sommeil.
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— Tu es prête ?
— Oui, je viens de boucler ma valise. Et toi ?
— Mon sac est terminé.
Mon sourire ne quitte pas mon visage. Nous allons passer quatre jours à la mer avec mes potes. Un sas de décompression, à deux cents kilomètres de l'université, où nous n'aurons pas besoin de nous cacher de peur d'être reconnus.
Ça va nous faire du bien. Devoir se planquer tout le temps, ce n'est pas simple. La frustration est souvent présente, car nous ne pouvons pas nous retrouver autant que l'on voudrait.
On frappe à la porte et c'est Marco ainsi que Caroll et Joao qui viennent nous chercher. Nous sommes obligés de nous déplacer en groupe pour éviter que l'on ne me remarque quand j'arrive ou quitte l'appartement de Zélie.
Heureusement que mes potes sont d'accord pour faire diversion.
— On y va, les moches ?
— Passe devant, Joao ! On te suit, s'amuse Marco.
— Tu as de la chance que Sohan soit resté en bas, sinon tu aurais eu droit à une crise de jalousie.
— Il faut bien que je te fasse râler !
Ces deux-là sont chiens et chats. Marco adore le chambrer et Joao tombe chaque fois dans le panneau.
Après avoir salué le reste de la clique, nous montons dans nos bagnoles.
Direction, la mer !
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➥ Marco est devenu le kiné et le coach de vie des cinq basketteurs. Ça ne peut que leur faire du bien de manger plus équilibré, non ?
➥ Une grasse matinée comme ils en ont connu peu. Il fallait marquer le coup apparemment ! J'imagine qu'ils s'en souviendront de ce beau moment d'échange, de partage et de découverte. Qu'en pensez-vous ?
➥ Un séjour qui promet avec cette bande de potes à laquelle Marco à l'air de s'être bien intégré, non ?
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📍 Mardi, on retrouvera le chapitre de ZÉLIE :
✨ En totale détente...
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🥰 Bonne journée mes ZÉLIO LOVE, gros bisous 💋
🏀 Kty.Edcall.Autrice 📚
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