#Basket 54 | RIO
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54 ☆ RIO
Installation et remous !
☆☆☆☆
C'est carrément un truc de dingue, qui vient de se produire avec l'accueil des autres étudiants. Et pourtant ce n'est rien face à l'annonce de Joao et Sohan.
Ils sont ensemble et je dois dire que c'est une sacrée surprise. Pourtant d'après Caroll, c'est un peu grâce à moi. J'aurais été le premier à remarquer que ces deux-là étaient faits l'un pour l'autre. Mais comme tout ce qu'il s'est passé dans le courant du mois dernier, je ne m'en souviens pas.
— Bon les gars. C'est sympa, mais on ouvrira le champagne plus tard ! Annonce Joao en entrant dans la chambre de Sohan en effectuant un pas de danse très suggestif.
— Le message est clair ! Allez, viens, je te montre la tienne.
Joao a le sourire et la gaieté communicative. Si je n'avais pas mon plâtre et mes béquilles, j'aurais pu danser moi aussi en suivant Caroll dans le couloir. Il ouvre la porte et dépose mon sac sur une chaise. Le rangement a été fait et j'apprécie de ne pas retrouver des caleçons ou des chaussettes qui traînent par terre.
— Installe-toi, mais surtout repose-toi.
— Bien, maman, je lui réponds en me foutant de sa gueule.
Il me balance un coussin et je le prends en pleine tête sans avoir pu me protéger. La faute à mes mains occupées à tenir les béquilles. Un peu sonné, je fonce aussi vite que je le peux sur mon meilleur ami pour le plaquer avant de le propulser sur le lit.
— Tu as de beaux restes de ton année au rugby, mon cochon, se marre Caroll en se tenant les côtes.
— Toi, par contre, t'es vraiment trop con !
Je me laisse tomber sur le lit et prends immédiatement ma tête entre mes mains pour tenter de calmer les aiguilles qui se plantent dans mon crâne.
— Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
— J'ai mal... Putain ! Ça tape trop fort.
— Mec, désolé. J'ai zappé !
— Je m'en suis aperçu.
Je dois calmer ma respiration, qui s'est emballée d'un seul coup. Je dois la réguler. Je ferme les yeux et souffle à intervalles réguliers.
— Ça va aller ?
Je sens au son de sa voix qu'il s'en veut de son geste spontané et qu'il s'inquiète.
— Oui, je vais m'allonger et rester au calme.
— Repose-toi, mec. À ce soir.
— Il y a un entraînement ?
— À 18 h 00.
Il a dû capter l'étincelle dans mon regard, car il ajoute :
— N'y pense même pas, Rio.
— Je veux juste être dans les gradins.
— Tu viendras demain si tu te sens mieux.
— Tu es pire que ma mère. Elle, au moins, je peux l'amadouer.
— Pas moi.
— Je peux tenter une négociation.
— De quel genre ?
— Tu n'as que deux heures de cours si je me souviens bien. Puis une heure de battement avant l'entraînement.
— Jusque-là, tu as tout bon.
— Donc, tu vas tout de même revenir à la colocation. Moi, dans ce laps de temps, ça me laisse un moment pour me reposer. C'est un bon deal, non ?
Je le sens réfléchir et c'est déjà mieux qu'un nom catégorique.
— Ensuite, je paye le repas au Bistrot. Sonia doit se faire du souci. Et tu sais qu'avec sa maladie, ce n'est pas bon.
— Arrête de vouloir me faire culpabiliser. Je viendrais te chercher pour l'entraînement, mais d'ici là...
— Repos ! J'ai capté, Chef.
Pour lui montrer ma bonne foi, je me couche sur le lit et ferme les yeux. Je suis même prêt à faire semblant de ronfler pour le convaincre. Mais les trois autres déboulent dans la chambre.
— Vous foutez quoi, les mecs ? Demande Sohan.
— Caroll essaye de te brancher ? Un couple homo dans l'équipe, ça suffit ! Balance Joao tout content de sa blague.
— Tu te sens mieux ? S'intéresse, Bilal.
— J'ai de nouveau mal à la tête, ce petit con m'a lancé un coussin en pleine face.
Les potes commencent à l'incendier et, moi, je me marre, s'il y a bien des choses qui ne changent pas, c'est leur façon d'agir. Ils sont mon repère depuis deux ans et à leur contact, je sais que je vais aller mieux.
Ils s'en tirent enfin, je savoure le calme retrouvé, mais, dormir en plein après-midi, ce n'est vraiment pas une habitude. Alors je récupère mon téléphone et cherche qui est cette Vénus, qui devrait m'aider à recouvrer la mémoire. Je clique sur des vidéos se trouvant sur YouTube et je suis tout de suite happé par le show que je suis en train de regarder.
Sur la musique de Beyoncé, cette femme avec un corps magnifique se dénude avec un style flamboyant. Ces mouvements sont élégants, électriques. Sa façon de se déshabiller avec sensualité me colle des frissons dans tous les membres. Et pas que ça...
Je regarde de quand date cette performance. Samedi soir... Donc je n'y ai pas assisté. D'après ce que m'en a dit Caroll, je ne rate aucun de ses shows depuis notre retour de vacances et j'aurais même participé à l'un d'eux. Je tente de retrouver s'il a été mis en ligne. Je veux me rendre compte de moi-même.
Après quelques secondes de recherches, je le trouve, c'était après notre retour de vacances. Juste au début de mon amnésie. La salle est plongée dans le noir quand elle se met à chanter et la chair de poule est de retour. Cette Vénus se déplace entre les tables et d'après les commentaires c'est totalement inédit. Après un court instant, elle remonte sur scène avec moi.
J'ai été ce putain de chanceux. Celui qu'elle a choisi dans cette salle bondée.
Je nous découvre au travers de mon écran...
Elle porte un masque, ce qui ne me permet pas de voir son visage. De ses yeux, je ne perçois que ses pupilles sombres. Ses cheveux rouges sont forcément faux. Encore un artifice pour cacher qui elle est...
Alors je me focalise sur son corps.
Assis sur une chaise, Vénus chante « Déshabillez-moi, déshabillez-moi » tout en tournant autour de moi avant de terminer sur mes cuisses. Putain, j'ai chaud. Et une trique d'enfer. Elle me demande de lui retirer son long gant noir puis l'autre. Ses doigts capturent mon menton pour plonger son regard dans le mien.
C'est intense et je ressens des picotements dans tous mes membres.
Je reste hypnotisé par le spectacle qu'elle m'offre. Car, je ne sais pas d'où ça vient, mais j'ai la certitude que c'est pour moi seul qu'elle chante. Qu'elle se met à nu tout en me demandant de participer. Je retire ses escarpins, ses bas, je caresse sa peau au passage et j'en souris comme le chanceux que je suis alors que je lui écarte son corset.
C'est à la fois intime et déroutant.
On dirait deux amants dans une chambre et non une danseuse et un client devant une centaine de personnes. Nous sommes dans une bulle. Les yeux dans les yeux... La sensation est inexplicable, j'ai l'impression de ressentir les frôlements sur ma peau. Nos gestes sont fluides. Pourtant elle ne me donne plus d'indications, elle me laisse faire.
Enfin, elle laisse faire Rio...
Car j'ai beau nous regarder, je ne me souviens pas de cette soirée.
C'est moi et pourtant j'ai l'impression qu'un étranger a volé mes traits. C'est déroutant. Frustrant. Et je suis à deux doigts de balancer le téléphone de rage face à ce nouveau trou noir. Mais sa voix est devenue plus grave, plus sensuelle encore avec ses paroles explicites et je me raccroche à ce que j'entends :
« Conduisez-vous en homme »
« Soyez l'homme, agissez ! »
Rio retire son soutien-gorge avec une aisance, que pourtant je reconnais. Elle est magnifique. Terriblement sexy...
Je ressens une envie irrésistible, celle de l'embrasser. Je capture ma lèvre avec mes dents et je me demande si Rio osera lui en voler un avant la fin du show. Putain, ça devient torride. Vénus vient d'arracher les boutons de sa chemise avec tout autant de fougue, elle la lui retire. Rio est là, torse nu, souriant.
Oh, oui, mec, tu peux sourire.
Vénus se saisit d'un grand éventail et Rio s'empresse de la cacher des clients. Et je suis sûr qu'il va en profiter pour passer à l'action, mais la vidéo s'arrête au moment où le noir recouvre la scène.
Mon index longe mes lèvres et une sensation bizarre me parcourt, mais je n'arrive pas à me l'expliquer. Je ferme les yeux pour tenter de comprendre ce ressenti étrange, je me caresse pour soulager mon érection avant de glisser dans les bras de Vénus.
À mon réveil, je me sens poisseux et j'ai envie de prendre une douche. Mais arrivé dans la salle de bains, je me demande comment je vais pouvoir la faire sans tremper mon plâtre. Ça serait peut-être plus simple que je prenne un bain en laissant la jambe à l'extérieur du bac.
Je glisse dans l'eau chaude et lâche un gémissement de plaisir tant ça fait du bien. Ma jambe pend à l'extérieur de la baignoire et je sens une douleur apparaître sous le pli de mon genou. Je récupère une serviette de bain que je roule comme un saucisson pour la placer sous l'articulation en souffrance.
Je me sens bien et j'arrive même à me détendre. La seule chose que je n'avais pas prévue, c'est comment j'allais faire pour en sortir. Je me tords dans tous les sens pour trouver une solution, mais rien n'y fait, je retombe inlassablement dans la cuve humide et savonneuse. Il ne me reste qu'une seule chose à faire, attendre que Caroll revienne à la colocation.
Dès que j'entends la porte de la maison s'ouvrir, je hurle pour qu'il vienne m'aider.
— Qu'est-ce que tu as ? Il s'alarme en déboulant dans la pièce remplie de condensation.
— Je n'arrive pas à sortir du bain tout seul.
— Tu es vraiment trop con ! Et si je n'étais pas repassé ?
— Mais tu devais revenir pour me chercher. Toi aussi tu perds la mémoire ?
— Bien sûr que non, tu m'as fait peur, du con !
— Arrête de râler et viens me sortir de là.
Forcément avec son aide, c'est plus simple et en moins de temps qu'il le faut, je suis extirpé de cette cage humide.
— Tu n'aurais pas pu prendre une douche ?
— Je faisais comment avec mon plâtre ?
— En le protégeant avec un sac-poubelle.
— Pas con, j'essayerai la prochaine fois !
— Tu la prendras surtout quand l'un de nous est présent. À quoi ça sert que tu vives ici si l'on ne peut pas t'aider ?
— Ok ! Chef !
À cloche-pied, je retourne dans la chambre et me dépêche de m'habiller. Je passe un jogging, je n'ai pas d'autres choix à cause du plâtre.
— Ça y est, tu es prêt ?
Je termine de me coiffer quand il entre. Du moins, je tente de dompter ma crinière bouclée et indisciplinée.
— Mais oui, tu es beau ! Il me balance pour se foutre de ma gueule.
— Je dois soigner mon apparence, voyons !
On se marre et je le suis jusqu'au rez-de-chaussée. Je commence à bien choper le coup pour descendre les escaliers sur un seul pied en me tenant à la rambarde.
Je profite du trajet en voiture pour lui parler de ma découverte de Vénus et de ce que j'ai ressenti en me voyant sur la vidéo aux côtés de cette magnifique femme. L'éclat sur son visage est lumineux et il a l'air fier de moi.
— Pourquoi souris-tu comme un con ?
— Parce que tu progresses.
— Je ne me souviens toujours pas...
— Tu es en train de nourrir ta mémoire. C'est bien, crois-moi.
— Si tu le dis.
Muni de mes béquilles, je me déplace sur le campus, quand on croise Bilal, qui part dans le sens inverse, suivi de Sohan et Joao.
— Vous allez où les mecs ? On a un entraînement ! Leur rappelle Caroll.
— On sait ! Mais Bilal a rendez-vous avec sa meuf ! Nous renseigne, Sohan. Vous devriez venir voir ce canon.
— Ta gueule, le blondinet ! Le fait taire, Bilal.
Nous voilà en train de suivre Bilal, qui retourne sur le parking d'un pas soutenu. Heureusement que je suis sportif, parce que, me taper des allers-retours avec les béquilles, c'est physique. Je me cale contre un muret et appuie ma jambe semi-pliée sur le manche de la béquille pour ne pas poser le plâtre au sol.
— Elle ressemble à quoi, sa nana ?
— Tu vas voir, Rio, c'est une femme explosive.
— Une femme ?
— Ben ouais, elle a trente piges. Il l'a chopée au karaoké. Tu te souviens, je t'ai filé des...
Sohan arrête de parler et je soupçonne Caroll de lui faire des signes derrière mon dos. Je pivote vers mon meilleur pote pour lui demander des explications quand une bagnole débarque sur le parking. Bilal avance rapidement vers la voiture et Caroll, Joao et moi, nous sommes dans l'attente de découvrir cette nana.
— Alors ? Je vous l'ai bien dit, qu'elle est canon ! Clame Sohan.
Avec Joao, ils se mettent à siffler au moment où notre pote lui roule une pelle. La rousse plantureuse n'est pas en reste et enroule sa nuque de ses bras et ses reins d'une de ses jambes. C'est chaud entre eux et ils n'ont pas l'air de se soucier de nous. Ni de la nana qui sort de la bagnole côté passager.
— Il y a un truc qui cloche ? Je demande à Caroll, que je trouve tendu en regardant le spectacle que nous offre Bilal.
— Ce n'est rien...
Son attitude est bizarre et ce n'est pas sa mâchoire crispée qui va me dire le contraire. Mais je le connais assez pour savoir qu'il ne me dira rien en présence des autres. Alors je change de sujet.
— C'est notre nouvelle prof, non ?
— Oui, c'est Madame Maynard.
Je fixe mes iris sur elle.
Je l'avais bien reconnue grâce aux photos que m'a montrées Caroll tout à l'heure. Elle est encore plus belle en vrai. Je croise son regard et l'affaire de quelques secondes, elle en fait autant. Mais bien trop vite à mon goût, elle se dérobe en le baissant.
Après quelques secondes, elle s'avance vers nous et je reste obnubilé par sa démarche ondulante. Cette prof ne ressemble en rien à ce que l'on a droit d'habitude, on dirait plus un mannequin sorti d'un bouquin de mode. Et bien loin l'idée de m'en plaindre. C'est clair qu'avec elle, les heures de cours doivent passer plus vite.
— Madame Maynard ! Regardez qui est de retour parmi nous, l'informe Sohan, en sautillant d'un pied sur l'autre.
Il lui sourit, fier de lui. Et elle le lui rend poliment.
— Monsieur Carter.
— Madame Maynard, je suis ravi de faire votre connaissance.
J'ai beau la fixer, je n'arrive pas à me souvenir d'elle. Pourtant, une telle beauté, je suis sûr que je n'aurais pas pu l'oublier.
— Vous reprenez les cours bientôt ?
— La semaine prochaine. Le Doyen m'a accordé quelques jours de repos.
— Vous allez accumuler encore plus de retard, c'est dommage. Avez-vous récupéré vos fiches ?
— Mes fiches ?
Elle ouvre sa sacoche et me tend des bristols noircis d'encre.
— Je vous en ai préparé des nouvelles.
Elle s'avance vers moi et son parfum emplit mon espace alors qu'elle se tient proche de moi. Je ferme les paupières justes une seconde. Je me sens bien, comme entouré par une bulle bienveillante.
Quand je reprends ma respiration et ouvre les yeux sur son visage. Madame Maynard est en train de me fixer. Elle me tend les fiches et je ne peux m'empêcher de frôler ses doigts en les récupérant. J'éprouve le besoin de tester sa réaction. C'est irrationnel. Tout comme moi, ma prof ressent cette électricité quand nos peaux entrent en contact.
Aussitôt, mon regard plonge plus profondément dans le sien.
Je suis surpris par cette réaction de mon épiderme. Par celle de mon corps, qui suffoque, et de mon cœur qui s'emballe. C'est quoi, ce bordel ? J'ai un mouvement de recul et, dans ses deux aigues-marines, j'y lis de l'inquiétude et même une question muette, il me semble.
Mes potes nous observent et je me demande ce qu'ils attendent en nous portant autant d'attentions.
Pensent-ils que la mémoire va revenir après cet électrochoc ? J'aimerais tellement que ça soit si simple, mais rien ne se réveille.
Par contre, les bouffées de chaleur que je ressens dans mon corps, elles, elles sont bien réelles ainsi que mon palpitant, qui tape fort contre mes côtes.
Je focalise mon attention sur les fiches pour tenter de retrouver mon self-control. Cette femme si belle et énigmatique ne m'aide pas. Ces iris deviennent si intenses que je me demande ce qu'elle cherche en capturant ainsi mon regard.
Elle tente de faire quoi ? De réveiller mes souvenirs en me fixant de la sorte ?
Comment peut-elle croire qu'elle a ce pouvoir sur moi ?
— Zélie ! Je te cherchais !
— J'arrive ! Jonas.
Ce dernier se dirige vers nous en petite foulée. Un smile accroché aux lèvres, il se place aussitôt aux côtés de la prof.
— Salut, les basketteurs. Rio ! Heureux de te revoir. Tu viens passer l'audition ?
— Pour ?
— Le spectacle de fin d'année. Je cherche encore des musiciens et Zélie va s'occuper de la chorale.
— Je veux bien pousser la chansonnette, se propose Joao.
— Vous êtes libre, maintenant ? Lui demande la belle brune qui a repris des couleurs.
— Non, Madame, on a un entraînement. Mais je peux passer après si vous êtes encore là, précise le Brésilien.
— Ça marche, Monsieur De Lima. Quelqu'un d'autre souhaite auditionner ?
Je sens son regard se poser sur moi en dernier. Je ne me défile pas, ce n'est pas mon genre. Elle a envie de me jauger ? J'ai du temps devant moi. Alors, pourquoi ne pas y participer pour obtenir plus de moments avec elle ?
— Je veux bien passer l'audition, je réponds avec défi.
Son sourire lumineux égaye son visage jusqu'à faire étinceler ses iris bleus. Elle est sublime... Terriblement belle... Et captivante...
Je dois persévérer. Quelque chose m'intrigue dans sa façon d'agir. Dans ma manière de réagir aussi. À son contact, mes sens sont aux aguets. Un truc se réveille en moi sans que j'arrive à me l'expliquer.
Madame Maynard... Zélie...
Je la regarde partir, impossible de détacher mon attention de cette silhouette élancée. Pourtant mes yeux dévient et sont attirés par le sac qu'elle tient à la main, auquel elle a attaché un foulard...
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➥ Rio négocie avec Caroll pour se rendre à l'entraînement. A-t-il raison de vouloir y aller ?
➥ Rio a cherché sur internet qui était Venus et il a découvert le show auquel il a participé. Amnésique ou pas, il réagit toujours de la même façon envers Vénus, non ?
➥ Rio croise Zélie pour la première fois depuis qu'il a perdu la mémoire. On peut dire que le contact est électrique entre eux ?
➥ Rio va passer les auditions de musique avec Jonas et celle de la chorale avec Zélie pour intégrer le spectacle. Fait-il bien ?
➥ Rio n'arrive pas à se l'expliquer, mais un truc le trouble dans le comportement de Zélie. Que ressentit-il d'après vous ?
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📍 Mardi, on pourra lire le chapitre de ZÉLIE :
🎭 Pourquoi faut-il que Rio soit là ?
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🥰 Bonne journée, mes ZÉLIO LOVE, gros bisous 💋
🏀 Kty.Edcall.Autrice 📚
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