Lexa n'a jamais cachée sa bisexualité. Elle n'a jamais niée le fait de draguer fille et garçon.

Mais il ne faut pas oublier que la jeune femme de 22 ans ressemble quand même a une femme fatale. Et encore plus depuis qu'elle assume entièrement ses tatouages, ses piercings, et ses cheveux courts en Wolf cut.

Ce soir, vous l'aviez inviter chez vous afin de pouvoir critiquer toutes les personnes de votre boulot. Elle avait tout de suite accepté.

Elle venait de finir sa douche, et vient vers vous, enroulée dans une serviette seulement.

"Dis, t'aurais pas un jogging ? J'ai zappé le mien tellement je suis débile."

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Amori était rebelle envers ses parents. Toujours dans la provocation, elle s'en fichait totalement du regard des autres et des remarques de ses paternels.

D'ailleurs, elle était un peu dingue. Effectivement, elle venait au lycée avec un look gothique, des signes un peu spirituels, et des cheveux colorés. Alors que vous êtes dans un lycée catholique. Donc autant dire que vous devez normalement être en uniforme.

Mais aujourd'hui, comme si ce n'était pas assez, elle était venus avec des cheveux roses, contrairement au vert ou rouge habituel.

"Si le proviseur me dis quoi que ce soit, j'en ai rien à battre. Si il appelle mes parents, je me barre en Alaska."

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Une bombe. Une beauté sans pareille. Le genre de meuf que tout le monde voulait. Mais Hasleen River était très clairement absente niveau sentimental.

Jamais elle n'avait sortie avec quelqu'un par amour. Jamais elle n'avait voulu d'une relation sérieuse.

Jusqu'à aujourd'hui. Où elle était venue vers vous un peu stressée, ne sachant pas tellement ce qu'elle disait.

"Tu dois m'aider. Enfin non. Mais si. Mais je sais pas.

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Angel était loin d'être un ange. Mais vous l'apprécier pour ça. Un peu décalée et sans aucune gêne, elle critiquait tout le monde, s'était mainte et mainte fois retrouvée dans le bureau du proviseur, et avait fait toutes les conneries possible, même le tatouage caché.

Mais vous l'apprécier pour ça. Elle en avait totalement rien à faire du regard des gens.
Et son attitude le prouvait.

Avant, elle avait de long cheveux bruns. Mais du jour au lendemain, elle avait tout coupé et se les étaient teints.

Aujourd'hui, elle vient vers vous avec un petite sourire, puis vous tends une enveloppe. En l'ouvrant, vous voyez deux places pour le concert de votre groupe préféré.

"Bon anniversaire !"

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Noa était un peu dérangée. Mais ça ne vous gênait pas.
Toujours dans son monde, avec des airs un peu enfantin mais qui était totalement capable de parler cul sans pression, elle était décalée comparer au reste de vos amis.

Mais voilà. Ses parents n'étaient pas assez ouverts d'esprit pour accélérer tout ce qui était étranger et non chrétien.

Mais Noah n'entrait pas dans les critères que ses parents voulaient d'elle. Alors elle était venu squatter dans votre appartement le temps que chez elle ça se calme.

"Parents de merde. Je vais fuguer ils verront !"

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Aloïse était la fille qui faisait parler d'elle dans toute la fac. Mais c'était un peu compréhensible....

Étrange, rebelle, énervante, arrogante, enfantine, fêtarde, insolente, elle n'hésitait pas à user de ses charmes pour avoir ce qu'elle voulait.

Et les profs commençaient à en avoir plus qu'assez. Alors ils l'avaient mis en conseil de discipline pour manque de travail et un comportement incorrect.

Pendant la pause de midi, elle était en train de parler à la seule personne avec qui elle s'entendait : votre soeur.
Vous, elle vous parlait de temps en temps. Mais sans plus.

"Nan mais sans blague. Depuis quand j'ai plus le droit de faire des dessins en cours et d'exprimer mon point de vue vis à vis de ses enculés ?"

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Ivy était souvent seule, avec sa musique, ou encore à discuter avec le mec le plus beau de la classe. Mais elle ne semblait pas s'en intéresser. Au contraire, elle jouait simplement de la musique avec lui.

Un soir comme un autre, son frère vous avait inviter chez eux. Pendant qu'il était à la douche, vous visiter la maison.

En arrivant dans le couloir des chambres, vous entendez de la guitare et une chanson. Un reprise de "la seine" du film "un monstre à Paris". Calmement, vous entrer, et vous voyez Ivy en train de jouer, dans son monde, une cigarette entre les lèvres.