Tout le monde croit que seules les filles peuvent faire du striptease ou vendre leur corps. Faux. Je suis un garçon et je suis stripteaser. Je couche très rarement avec des garçons. Je suis gay. Mon patron me demande de le faire que si le demandeur a une grosse somme d'argent.

Je n'ai plus de famille. Je vis seul dans un studio au centre de New-York et je travaille donc au bar de striptease en bas de la rue. Le quartier est très mal fréquenté mais quand tu es là depuis cinq ans, tu n'as plus peur de marché seul.

Justement je suis entrain de marcher pour aller au boulot. Là-bas, le patron m'accueil à bras ouverts. Je suis très apprécié puisque je suis un des seuls garçon du bar.

"Louis ! Aujourd'hui, tu fais le bar et tu passeras entre les tables. Je t'appellerai quand ce sera ton tour. Maintenant, vas te changer." Il me frappe les fesses avant que je rentre dans les vestiaires derrière le bar. Je roule des yeux.

Dans les vestiaires, je mis mon boxer Calvin Klein et c'est tout. Il fait assez chaud dans le bar pour se promener comme ça. Je commence mon travaille au bar. Des heures passent avant que ce soit mon tour de me promener entre les hommes pour récolter de l'argent.

Ce métier me dégoûte mais je suis obligé pour payer mon studio et mes études de droit. J'aime pas me montrer comme ça. J'aime pas quand les hommes passent leurs mains sur mes fesses ou même mon entre-jambe pour laisser un billet entre l'élastique de mon boxer. Mais par contre j'aime quand c'est des beaux garçons...

"Je ne savais pas que ça existait les stripteaseur.." Je me retourne pour voir un brun assit à une table avec deux autres amis.

Il est pas mal.

"Ben maintenant tu sais." Remarquais-je.
"Donne lui un show, c'est son anniversaire !" Me demanda son ami blond.
"Je ne suis pas gay !" Retorqua le brun.

Je rigole en m'approchant de lui. Je tira sa chaise. Il ne fait rien. Il me regarde de bas en haut avec la bouche légèrement ouverte. Je souris face à cette réaction. Je passe par derrière et laisse mes mains passer sur son torse. Il a chaud, moi aussi.

"Joyeux anniversaire." Je chuchote dans son oreille avant de la lécher.

Il mort violemment sa lèvre. Je passe devant et m'assis sur ses genoux. Ses amis commencent à crier et rigoler. Ils sont soules. Le brun a bu de l'alcool mais je ne pense pas qu'il soit soule comme eux. Je colle nos bassins ensemble et lui, instinctivement, il pose ses mains sur mes hanches. Je me penche vers des lèvres mais je dévie en embrassant sa mâchoire. Un soupire de plaisir s'échappe entre ses lèvres. Je souris, fière de moi.

"T'es pas gay ?" Il hoche négativement la tête.

Je laisse un autre baiser en dessous de son oreille. Je sens sa respiration s'accélèrer. Je passe mes mains en dessous de son t-shirt et je caresse ses abdominaux. Il est bien foutu en plus. J'ai envie de voir ça. Je lui retire son t-shirt et ses amis explosent. Quelques personnes se retournent vers nous mais reportent vite leur attention sur ma collègue sur scène. Je caresse ses pectoraux maintenant. Je lui lèche tout le cou et je sens doucement ses mains passer en dessous de mon boxer. Normalement, je devrais arrêter là mais il commence à réagir. Maintenant, je frotte mon bassin contre le sien quand je sens doucement sa bosse appuyer contre mes fesses.

"Tu es gay mec." Je souris avant de me lever.

Il grogne tandis que ses amis sont morts de rire. Le brun me rattrape et je retombe sur ses genoux. Nos lèvres s'effleurent. Je ferme les yeux, adorant les sensations que me procurent cet incroyable inconnu.

"Il y'a des chambres au fond." Je chuchote.

Je me lève et prends sa main. Il se lève en prévenant ses amis de ne pas l'attendre. Je le tire au fond de la salle où trois chambres s'y trouvent pour notre boulot. J'ouvre la dernière. Le brun la referme, prend mon bras et me plaque dessus.

"Je suis Harry." Me dit-il.
"Louis." Et il presse ses lèvres sur les miennes.

Sans me rendre compte, sa langue est déjà dans ma bouche entrain de jouer avec la mienne. Il pose ses mains sur mes hanches. Il colle son bassin contre le mien me plaquant sauvagement contre le mur. Il presse ses grandes mains sur mes hanches nues et je gémis. Il colle maintenant son torse nu, chaud contre le mien. Il dévie ses lèvres dans mon cou. Ses lèvres. Il le lèche, dépose des baisers humides puis une marque violette.

Aucunes personnes avec qui je couche peut me faire des suçons mais lui, j'en ai envie.

Il remonte ses baisers vers mon lobe d'oreille et me sursurre des phrases qui m'excitent de plus en plus...

Mais c'est son anniversaire donc c'est moi qui doit lui donner du plaisir, pas lui.

Je le pousse sur un énorme lit. Il rigole mais il perd vite son sourire quand je sors des menottes de l'armoire. Je sors aussi la boîte de préservatif et le lubrifiant. Je les pose sur le côté. Je me mets à califourchon sur lui. Je penche ma bouche vers son oreille.

"Je vais te faire vivre ta meilleure partie de jambe en l'air que tu as jamais eu." Chuchotais-je avant de mordiller son lobe.

Il gémit en se cambrant. Je lui prends ses mains et je les menotte aux barreaux. Je penche encore en appuyant bien ma bosse contre son ventre. Sa bouche s'entrouvre.

"Je vais te baiser sec et brutalement. Je veux que tu te souviennes de cette soirée pendant une semaine tellement que tu auras mal au cul."
"Putain." Chuchote-t-il à lui même.

Je souris, amusé et je l'embrasse avant de m'attaquer à son cou. Je descends mes baisers jusqu'à l'élastique de son boxer. Je retire son pantalon et le jette au hasard dans la pièce. J'embrasse sa bosse à travers les tissus. Il serre les dents en tirant des mains menottées. Je lui caresse sensuellement les hanches puis passe ma main sur son boxer.

"Tu es si dur Harry." Chuchotais-je dans son oreille en caressant son érection du bouts des doigts.

Il laissa échapper un petit gémissements. Je lui retire son boxer puis je le regarde de bas en haut. Ce mec est bandant putain! Je lui embrasse les mollets, entre les cuisses, ses hanches, son v-line, laisse un suçon en bas de son ventre et enfin, je lèche son gland rosé. Il retient son souffle. Je passe ma langue le long de son membre d'une lenteur extrême. Du bout de la langue, je lèche son sperme pré-jaculatoire.

"Fuck" murmure Harry en se cambrant.

J'enfonce son membre dans ma bouche, le prenant par surprise. Il gémit fortement. Je commence mes vas et viens. Il gémit plusieurs fois mon nom en tirant sur les menottes. Sans me prévenir, il vient dans ma bouche.

"Désolé" me dit Harry.

Je lui lance un sourire pour lui assurer que ça me fait rien. Je prends ses hanches entre mes mains et le retourne, faisant attention qu'il n'est pas mal à cause des menottes.

"Non je veux te voir" dit-il en relevant la tête.

"Et moi je veux regarder ce cul que je vais démonter."

Je caresse ses jolies fesses de bébé. Ça peau est tellement douce. Je me relève et enlève vite les vêtements qui m'empêchent d'être nu. J'oblige Harry à ouvrir sa bouche puis j'insère deux doigts dedans. Il suce mes doigts puis enroule sa langue autour tout en me regardant avec désir. Je glousse en retirant mes doigts de sa bouche. Il grimace légèrement en sentant que je pénètre mon doigt en lui. Quand il est habitué à mon premier doigt, j'enfonce un deuxième. Il mord l'oreiller pour retenir ses gros mots. Je bouge un peu mes doigts puis les retire. La respiration d'Harry est saccadée.

"On va à ton aise." Chuchotais-je dans son oreille après avoir mis la protection.

Il hoche la tête timidement. Je me positionne au dessus de ses fesses. Je joue un peu avec lui jusqu'à ce qu'il me supplie que je le baise. Je rentre une lui dans une lenteur extrême. Il a mal. Je mets mes deux poings à chaque côté de sa tête pour pas l'écraser. Je vois ses joues rouges écrasées contre l'oreiller, son visage déformé de douleur.

"Ça va ?" M'inquiétais-je.

Au bout de quelques minutes, il hoche la tête, signe que je peux y aller. Mes vas et viens sont lents et doux. Il commence à gémir. Je fais maintenant des coups secs, touchant presque à chaque fois le point sensible d'Harry. Je le regarde, transpirant, la tête collée sur le matelas, gémissant mon nom.

"H-harry, putain" gémissais-je.

Je griffe tout son dos quand j'atteins mon apogée. Harry me suit. Je m'écroule à côté de lui. Je lui retire ses menottes puis me lève. J'enfile mon boxer.

"Tu vas où ?"

Je voix Harry se relever en frottant ses mains.

"Je dois continuer mon travail."

Il baisse la tête vers son pantalon.

"L'argent est dedans." M'informe-t-il. "Prends le."

Je retire une enveloppe.

"Deux-mille dollars ?!" Criais-je. "C'est trop !"

"Prends les, c'est pas demain que je vais devenir pauvre." Il hausse les épaules et il se lève du lit. "Ouf, j'ai mal au cul."

"Je te l'avais dit."

Il enfile son boxer en gloussant puis il vient m'embrasser les épaules nues.

"Merci." Chuchote-t-il contre mes lèvres.

On s'embrasse une dernière fois avant que je reprenne mon travail.