Sexual desire
-Qui êtes-vous ?, prononce t-elle.
Sur ses mots, le téléphone coupe brusquement. Je le rends gentillement à la personne à qui je l'ai emprunté tout en baissant le canon de sa tempe. Je le remercie de vive voix avant de récupérer les derniers ustensiles utiles à ma petite occupations. L'agitation de la foule s'accentue lorsqu'ils s'aperçoivent de mon arme. Tous courent dans tous les sens possible, se piétinant les uns les autres tels de vulgaires tapis synthétiques. Cette situation m'amuse quelque peu.
-Alors ?, demande-je à mon larbin.
-Elle se rend à Broadmoor Madame. Pourtant, elle a récupérer tous ses effets personnels.
Que diable cherche t-elle ? Ah, je crois savoir.
-Donne moi les clés de la porte dérobée et tes clés de voiture.
-Mais... Je...
-Tu ne veux pas ?, articule-je.
-Si pardon.
Je grimpe dans sa voiture et démarre aux chapeaux de roues. Inutile de préciser mon insolence au sujet du code de la route. De toutes façon, les règles sont faîtes pour être briser.
Je profite de l'absence momentané des voitures pour accélérer un peu plus. Le petit chemin menant à l'hôpital me rappelle des souvenirs. Des souvenirs médiocres, sans intérêt. Si je pouvais les effacer, je n'hésiterais pas. À quoi bon se souvenir de choses sans importance ? À rien, je comprends certains fous qui disent que les souvenirs sont une prison personnelle.
Je laisse la voiture derrière un tas d'arbres et me glisse discrètement jusqu'à la porte. J'y insère la clé et rentre dans le bâtiment. Quelle joie de retrouver son chez soi ! Très vite, je me rends compte que la sécurité a été renforcé et que de nombreuses caméras sont disposées de partout. Il me faut à tout prix un passage sans l'une d'entre elle, les pirater serait deux fois plus long vu mon matériel présent.
Des pas résonnent le long du couloir, je me faufile le long du mur et regarde rapidement qui arrive. Une infirmière, quoi de mieux comme déguisement. J'attends sagement qu'elle arrive à moi mais cette idiote tourne à gauche avant. Merde !
Je me saisis du jeu de clés et les laisse tomber sur le sol. Le vacarme mélangé à l'écho devrait permettre à cette infirmière de rectifier son erreur. Rien. Je recommence avec les deux jeux. Toujours rien. Il va falloir utilisé les grand moyen. Je deverouille mon téléphone et va sur YouTube, je tape dans la barre de recherche le son que je veux et active ma mini enceinte avant d'activer la vidéo. Le bruit infernal de la bouche d'incendie retentit dans tous les couloirs environnants.
La jeune femme sort paniqué et accoure vers moi. Dès qu'elle me reconnaît, son corps s'immobilise. Je n'ai plus qu'un pantin devant moi, prêt à se délaisser de ses vêtements.
-S'il vous plaît, ne me faîtes rien, pleurniche t-elle.
-J'ai juste besoin de vos vêtements, veuillez-vous déshabiller, ordonne-je.
C'est les yeux remplis de larmes qu'elle s'exécuta ; laissant tomber d'abord ses chaussures puis son pantalon qui glisse le long de ses jambes. Je peux entrevoir le volume massif de ses fesses -qui mériterait bien d'être giflé-. Ses membres se crispent quand le tour de son tee-shirt vient. Elle tremble tellement que dans ma grande bonté je l'aide. D'ici j'entends son cœur battre à une allure tellement rapide que ça me fatigue.
-As-tu quelqu'un dans ta vie ?
-Je... Je vais bientôt me marier avec mon fiancé , balbue t-elle.
Intéressant, ses sous-vêtements sont un mélange harmonieux de rouge et noir.
-Ai-je stipuler de garder tes sous-vêtements ?
-Quoi ? J'ai... Non, s'il...
-Chut, dis-je en bloquant sa bouche de mon index. Si tu ne veux pas le faire, je le fais.
Je me rapproche d'elle tout en la contournant. D'un geste rapide, son soutien-gorge est dégraphé. Je la retourne face à moi et saisis le vêtements que j'enlève doucement. Ses bras s'agrippent fermement à sa poitrine dans l'espoir de la cacher.
Ma main saisit dans un moment de folie ses fesses puis le malaxe, ses larmes recommencent à couler. J'arrête d'embêter cette zone et frôle sa peau le long de son bas ventre jusqu'à son intimité à travers la lingerie. Ses muscles se contractent d'autant plus à mon effet. Je la titille tandis que j'observe sa réaction qui ressemble à toutes les autres pour être honnête. Mes doigts se faufillent par delà le tissus et titillent maintenant son clitoris, de mon autre main je la rapproche de moi par les fesses de façon à ce que son oreille puisse m'entendre.
-Tu vas te marier ?, demande-je puis elle acquiesce. Mais peut-il te faire mouillé n'importe quand ?
J'accentue mes mouvements et lui mords l'oreille sauvagement. Elle fléchis légèrement et se penche vers l'avant en continuant de pleurer et de me supplier d'arrêter. Je la plaque au mir et rentre deux doigt en elle. Elle secoue la tête dans tous les sens et tente de se défaire de ma main qui l'empêche de protéger sa poitrine qui s'ouvre à moi. J'en profite pour mordiller son téton durcit par ma faute. Je sens ses larmes coulé le long de ses seins nus qui marquent son d'espoir. Elle se débat même plus, plongé dans ses larmes d'agonie. Ce n'est plus drôle. Je retire ma main et prends sa culotte par la même occasion puis part dans la pièce d'à côté où je me change. Je l'entends se laisser glisser le long du mir et pleurer à chaudes larmes.
Je sors par l'autre côté à la vue des caméras et de mes "collègues". Je me dirige grâce aux panneaux vers les archives où sont disposé tout les dossiers des patients. Je parcours vite l'aile et trouve la porte des archive bloquée. Je dérobe la porte et récupère vite mon dossier que je consulte furtivement.
Lauren Jauregui prévient ses victime par une phrase classique " Que le diable te prenes en pitié".
Je ricane suite à ça. Ce sont les premiers à remarquer ça, ils augmentent dans mon estime. En un rien de temps je sors de cette bâtisse en passant devant l'infirmière toujours dans la même position, recroquevillé sur elle-même. En sortant, je vois au loin Camila discuter ou se disputer avec la sécurité.
-Désolé chérie, la preuve n'y est plus.
Je rentre dans la voiture me débarrasse de la blouse et reprends le chemin sinueux. Comme d'habitude, je manque de faire plusieurs accidents mortels -pour les autres-.
Assise dans ma planque temporaire, je consulte mon dossier à la recherche d'âneries.
Je peux repérer des mots dénués de sens comme hystérique, trouble de la personnalité, bipolaire. Ah non ! Je ne suis pas bipolaire loin de là, je tolère les autres mots car ils ne savent pas comment caractériser le génie mais en aucun cas je suis bipolaire.
Comptabilise une centaine de meurtres, le nombre tourne aux alentours de 240.
Je crois que j'ai fait 267 victimes sans compter la prochaine.
Aptitude accrue dans l'art du combat.
Je confirme, je maîtrise beaucoup d'art martiaux mais pas tous, bientôt.
Narcissique
A ça c'est bien vrai, se moque ma conscience.
Recherchée dans de nombreux pays.
Pas moins d'une dizaine, c'est énorme lorsqu'on se dit que Les États-Unis, la Russie, l'Angleterre, le Brésil et la Chine sont les principaux à ma recherche.
La sonnette me perturbe dans ma lecture. J'espère pour la personne qu'elle a une bonne raison. J'ouvre et fus surprise de voir Shawn.
-Je te croyais mort, et je ne suis pas folle encore.
-J'ai passé plusieurs mois à l'hôpital dans le coma par ta faute. Heureusement qu'une famille est passé par là.
-Ta vie ne m'intéresse pas qu'as-tu à me dire d'intéressant avant que je te plante entre les deux yeux.
Je le vois déglutir et baisser du regard. Il a l'air d'un mort vivant avec son teint blafard. Il me semble bien qu'il ait été transporté à la morgue et bien mort. Il continue son monologue tandis que je le coupe.
-Qui t'as fait revenir à la vie.
-Je...
-Tu étais à la morgue et bien mort qui ?!, m'énerve-je.
Au loin, je vois une silhouette imposante marcher le long du couloir vers nous. Sa fausse prestance à un léger effet sur Shawn qui se crispe. Du coin de l'œil, je passe en revue chaque parcelle de son corps. Il pourrait bien être mon quatre heure s'il n'était pas un mort vivant.
La silhouette s'arrête à la limite de la lumière et sourit.
-Je te l'avais dit que mon expérience marcherait un jour.
-Daryl ?, m'offusque-je.
-Prête pour une nouvelle expérience tordue ? J'aimerai prendre Camila, de toute façon tu prévois de la tuer, autant que ça serve.
Si j'avais une tronçonneuse dans les mains je m'amuserais à déchirer chaque fibre musculaire de son corps jusqu'à se qu'il crève de trop pisser le sang.
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