BEILY

Je bouge mon corp au rythme de la musique, comme je sais si bien le faire.

Je finis avec un petit twerk et je descend de la barre.

Je me dirige vers les loges, arriver dans les loges je me déshabille et remets mes vêtement normaux, comme d'habitude Christine la gérante de la boite me félicite pour ma performance.

Je ne parle pas beaucoup avec les meufs d'ici, j'en vois pas trop l'importance, ce sont toute des hypocrites.

J'ai plusieurs fois penser à quittée ce boulot pour me trouve un vrai job, mais avec tout l'argent que je me fais en une soiree.

J'ai vite éloigner cette idée.

Avec tout les problème et les dettes que mes parents mon laisser, j'ai plusieurs boulot. Je nai même plus de temps pour moi.

Dans 2 semaine je part à New-York avec mes 2 meilleures potes.

Les seuls qui mon supportée depuis la mort de mes parents. Depuis on s'est plus séparer et on passe la plupart de notre temp ensemble.

Jamais 2 sans 3 comme on dit.

Quand je rentre à la casa les deux sont évidemment entrain de dormir. Je me déshabille et prend un bon bain chaud et j'en profite pour mettre une musique apaisante et je me laisse aller.

Une cigarette ne serais pas de refus.

Je sors et m'assois sur les escalier et j'allume une cigarette, et je la consume tout en regardant les gens passés dans la rues

Sa me rappelle quelques souvenirs, certain heureux d'autre tristes.

J'me demande ou et sa à foiré pour que je me retrouve sans parent, avec des dettes élever de plus de 2 millions de dollars et 2 petites sœur à charge.

Dans ces moment la je voudrais juste mourir, la pression est trop forte, avec ces mafioso qui sont h24 sur mon dos.

J'ai déjà essayée de fuir, en vain ces fils de putes nous retrouvais à chaque putain de fois !

Chaque mois je dois au moins verser plus de 5 000 dollars à ces connard.

La vie est vraiment dur.

J'écrase le reste de ma cigarette parterre et je me relève, dans mon aller vers l'ascenseur j'ai buter dans une meuf, elle avais le visage deformer et elle étais grave paniquer.

Toute les deux seconde elle regardais derrière.

Et puis elle s'est mis à courir vers la sortie comme une folle. J'ai pas fais attention et je suis rentrée chez moi.

Le Lendemain

Zara : Passe ton sweet rouge stp

- Non.

Zara : mais pourquoi ?

- J'tai dis non, force pas tu va m'énervée bêtement.

Zara : j'ai pas de fringue, tout les jours je porte les même vêtement pour allez au bahut. C'est saoulant ! Je passe pour une bouffonne auprès des gens.

- Et alors ? Sois contente que tu aille pas le cul à l'aire et pied nus.

Zara : bon, passe moi un peu d'argent.

- Combien ? *plissse les yeux*

Zara : 100 dollars sa iras.

- Va chercher mon sac.

Elle se lève contente comme jamais et elle va chercher mon sac. Une cigarette à la bouche je cherche encore un autre taff.
Elle arrive enfin, je prend mon sa et sors mon portefeuille et lui donne de l'argent.

Zara : T'es sérieuse la ?

- Quoi encore ! *sourcils froncer*

Zara : tu ma donné 20 dollars.

- tu te fous de ma geule la ?

Elle sursaute et me regarde les yeux ouvert.

- Avec ces putains de 20 dollars que tu tiens dans ta fucking main je peut te nourrir toi et ta soeur pendant une semaine ! Alors ne joue pas avec moi, Zara tu pourrais perdre. Casse toi.

Zara : pff je hais être pauvre.

- C'est bien en attendant essaye d'avoir de meilleur note à l'école.

Elle se lève prend son sac et sort en claquant la porte, elle cherche vraiment à réveiller l'eau qui dors elle ?

? : C'est quoi tout ce bordel ?

Je me retourne vivement la main sur le coeur, elle ma fais peur.

Ivy : quoi ?

- Tu taffe pas toi ?

Ivy : Non c'est mon jour de conger aujourd'hui. J'peut enfin glander.

- glande pas trop non plus. Cherche un autre job.

Ivy : J'en ai déjà 2 !

- et alors ? Cherche en un 3ème sa te tueras pas.

Ivy : putain *chuchote*

- On va encore essayer de fuir, rien n'est perdu.

Ivy : Beily, sa sert à rien il finisse toujours par nous trouver.

- ...

Ivy : tu sais très bien que la prochaine il nous tueront.

Tout sa me donne un putain de mal de tête.
Je tien mon front en fronçant durement les sourcils, j'en peut plus un jour je finirais pas craquer.

Ivy : Meme en ne laissant aucune trace derrière nous il trouveront toujours une faille et il nous retrouveront. Bon, j'vais dodo.

Je jètte mon stylo sur le mur et me couche par terre face à la télé.

Je recois une notif' c'était un message d'une de mes meilleur potes.

Ciara : << Ramène ta grosse tête chez moi >>

- << pk ? Jé autre chose a fér. >>

Ciara : << arrête d'écrire comme une kikou putain, j'te paye un dictionnaire quand tu veut. >>

- << j'écris kom ton père >>

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Jayparkbitch