Chapitre 6

Wes

Aria a claqué la porte me laissant seul avec une érection monstre. Je sais pas ce qui m'a pris mais son corps m'appelait. Elle a aimé autant que moi. C'est un jeu dangereux mais amusant. Je vais la rendre folle. Au moins, j'aurais un passe temps ici.

J'arrive pas à croire que mon père s'en va alors que je viens a peine de débarquer dans sa vie.

Cette appétit sexuelle m'a donner envie de manger. Je descends les escaliers et me dirige vers la cuisine mais une conversion me fait reculer. J'écoute attentivement ce qu'il se dit.

— Comment on va faire Carla ?

— Ça va aller, Travis. On sera rapidement de retour.

— Je suis censé m'occuper de lui pas le laisser seul encore une fois. Je m'en veux tellement.

— Ce n'est pas de ta faute, Travis !

La ferme Clara, si c'est bien la faute de mon père !

— Regarde ce qu'il est devenue... il est ingérable. Je comprends sa mère, la pauvre...

— N'ai aucune emphatique pour elle ! C'est elle qui l'a éduqué de cette façon.

Salope ! Ma rage commence à m'envahir.

— Qu'est-ce que j'ai fait pour mérité ça ?

J'interviens en faisant du boucan.

— Mais oui pauvre malheureux, qu'as-tu pu bien faire à par abandonner ton fils !

Travis se lève d'un coup de sa chaise.

— Wes c'est pas ce que je voulais dire.

— Je comprends pas pourquoi elle m'a envoyer ici ! Je devrais me casser loin de toi et de maman ! Vous vous soucier même pas de ce que moi je veux ! Tout ce qui vous importe c'est vous vous et VOUS !

Je quitte la pièce précipité.

— Wes attend !

Lorsque j'ouvre la porte un abruti s'apprêtait à sonner à la porte. Je le bouscule rageusement et je monte sur ma bécane me tirant de ce trou à rat.

— Qui est-ce ? à demandé l'abruti.

— Personne, lui a répondu Aria tandis que je quittais son aller.

Oui c'est ça...Je ne suis personne ! Ni pour mon père ni pour toi Aria ...

Pendant ma viré en moto, je me suis arrêté devant un bar. J'ai picoler déjà pas mal de vodka. Mes yeux sont injecter de sang et mes paupières menacent de se fermer. Je consulte mon portable ; Cinq appel manqué de mon père et un message d'un numéro inconnu.

« inconnu : Tu es ou bordel ? Ton père est inquiet ! »

Je suppose que c'est ma chère demi-sœur. Je souris et lui répond.

«Wes : Je vais bien. »

Elle m'appelle. Je ris seul sur ma chaise.

— Aaalloo ? répond-je.

— Wes ?

— Qui voudrais-tu que ce sois ?

Je remarque que ma voix est au ralentit.

— As-tu bu ?

Je ne répond pas.

— Wes ?

— Un peu.

— Tu vas savoir revenir ? Tu veux que je viennes te chercher ?

Soudain, un sentiment bizarre s'empare de moi.

— Qu'est-ce qui y a Aria ? Tu t'inquiète pour un gars que tu ne connais même pas ? Je ne veux pas de ta pitié !

— Ce n'est pas de la pitié bien que tu sois pathétique !

— Oh, je suis pathétique ? Celle qui l'es en ce moment c'est bien toi ! C'est toi qui essaye de me joindre a ce que je vois. Qui est le plus pathétique de nous deux ? Tu me réclame encore ? N'as-tu pas eu assez ?

— Tu as raison j'en ai rien a foutre. J'espère que tu te péteras la gueule en moto !

Elle ma raccroché. C'est brutal. Je crois que ma demi-sœur ne m'aime pas...

Après une demi-heure, je quitte le pub. J'ai eu le temps dessoûler un peu en buvant un café et de l'eau. L'idée de défoncer ma moto est hors de question. J'enfourche ma bécane et fait vrombir mon moteur dans un bruit assourdissant.

J'entre discrètement, content de voir qu'ils ont laissé la porte ouverte pour moi. Je monte les escaliers à pas de souris et entre dans ma chambre. J'allume la lumière et je suis surpris de voir Aria dans mes draps. Me suis-je trompé de chambre ?  Non mes affaires sont bien là et d'ailleurs rangé proprement sur la chaise de bureau. La décoration que j'ai fracassé est ramassé et jeter dans la poubelle pour ce qui est cassé. Je supporte pas qu'elle s'octroie le droit de  toucher mes affaires! Mais je dois avouer que je l'aime plutôt bien. Elle papillonne des cils.

— Qu'est-ce que tu fou là ?

— Je voulais m'assurer que tu allais rentré.

— Pourquoi tu es déjà accro à moi ?

Un rictus se dessine sur mes lèvres.

— N'importe quoi !

Elle ne sort pas de mes draps et vu mon état ça m'énerve.

— Bon si tu ne compte pas baiser avec moi, je te demanderais de quitte cette piaule...

Elle ne bouge pas et me regarde les yeux écarquillés. Ensuite un vilain sourire à croquer se plaque sur son visage.

— Tu aimerais que ça arrive n'est-ce pas ?

Elle se lève et passe devant moi en me frôlant le torse.

— C'est beau de rêver, chuchote-t-elle près de mon oreille.

Salope de petite sœur...

Je me couche dans le lit et une odeur de violette emplis mes narines.








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Alors cette relation vous aimez ???

Je précises quand même que cette histoire est écrite brut ! donc si vous voyez des incohérence etc n'hésitez pas à nous le dire !

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