Chapitre 25
Aria
Ça devait être une bonne journée ! Je devais être diplômé et faire la fête avec Wes et mes amis. Pourquoi j'ai ouvert ma bouche ? Je voulais pas que ça prenne de tel proportion. Mais ce que Wes à dit à propos de ma mère, il a dépasser les bornes. Il s'attaque aussi à moi et ça je ne peux pas le supporter. Même si au fond de moi, j'ai de l'empathie pour lui parce que j'ai tous ses sentiments qui se bouscules en moi autant je trouve sa réflexion excessif.
J'ai été moi aussi consigné, après avoir reçu mon diplôme je suis monté directement dans ma chambre pour m'y enfermer. Wes ne veut plus m'adresser la paroles et je ne suis pas sûr de le vouloir aussi. Mais merde ! Pourquoi j'ai pas nettoyé sous le lit ! Peut-être parce que je ne suis pas aussi hystérique du ménage comme ma folle de mère !
Est-ce que Wes et moi c'est terminé ? Est-ce que maintenant je dois vraiment songer à l'oublié parce qu'il reste que mon demi-frère ? J'ouvre doucement ma porte et inspecte sa chambre fermé. Je devrais aller lui demander. Je m'arrête devant et frappe doucement. Aucune réponse. Je recommence encore plus faiblement. Je n'ose pas. J'ai peur. J'ai peur qu'il mette un terme à nous. Une larmes rebelle coule le long de ma joue. J'attends encore quelque secondes devant sa porte en bois et puis retourne me coucher.
Au matin, mon réveil est difficile. J'ai mal de crâne et les yeux bouffi. Je dois lui parler. Je ne peux pas rester sans savoir ce qu'il en est de nous. Je l'aime et je ne peux pas laisser une bêtise nous briser. Je ne m'en remettrais jamais si nous décidons de poser le point final si tôt.
Le petit déjeuné est plutôt silencieux, personne ne parle. Wes termine son bol de céréale et retrouve sa chambre aussi vite.
— Il m'en veux ? demande Travis.
Je relève les yeux vers lui. Évidemment qu'il lui en veux !
— Mais non chéri, ne t'inquiète pas. Au moins il apprendra, répond ma mère à ma place.
Je fais tinté exprès ma cuillère contre la porcelaine. Je soupire bruyamment en levant les yeux.
— Quelque chose à rajouter Aria ? me gronde ma mère.
— Oui ! Tu exagère un peu ! Il ne mérite pas d'être a ce point punis ! C'est toute sa vie qui est en jeu. N'as-tu jamais été jeune ?
— Ne me parles pas sur ce ton jeune fille ! Ton père n'aurais pas aimé que...
Je me lève d'un bon.
— Ne mêle pas mon père a notre conversation ! Il n'est plus là !m'emporté-je.
Je me précipite vers ma chambre prenant soin de la claquer fortement. A chaque fois qu'elle n'a plus d'argument, elle se sert de la mort de mon père. Je n'en peux plus ! Autre fois j'aurai fermé ma bouche. Mais je ne suis plus la même ! Des larmes rebelles se glissent le long de mes joues et je les effaces aussitôt. J'ai supporté toutes les tocs de ma mère, ses excès de colères et j'en passe. Mais là, c'est trop ! Peut-être parce qu'elle s'attaque à celui que j'aime ? Mon dieu, Wes pardonne-moi !
Je file sous la douche pour passer un peu mon temps. Les jets d'eau détend ma peau et des flashs me reviennent en mémoire. Wes et moi nous lavant mutuellement, ce désir qui nous animait a nos débuts. Des souvenirs d'un coup de foudre unique. Nous étions tenté par le péché le plus précieux qu'est l'amour interdit. Je me remémore de ses mains se baladant avec douceur et envie sur mon corps brûlant. Il savait exactement où je voulais qu'il me touche. Ce jour là, nous nous sommes avouer ce qu'on aimait le plus l'un de l'autre. Ses yeux perturbant chargé d'émotions, à été la première choses qui m'a frappé chez lui. Ses tatouages sombres recouvrant sa peau m'a donné la chair de poule. J'étais effrayé par ce rebelle mais attiré par ce charme incroyable. Il a bouleversé a vie. Au fond de moi, j'espère qu'il franchira cette porte et qu'il me rejoindrait ici. Mais ça ne se produit pas...
Je me couvre d'une serviette de bain tandis que je sèche mes cheveux. Quand je pense qu'il passera à côté de son rêve tout ça parce que j'ai mal nettoyé derrière-moi ! J'enfile un jeans et un top ainsi que des baskets. Je suis peut-être consigné mais elle ne peut pas me privé de prendre l'air !
Lorsque je passe devant sa chambre, celle-ci est grande ouverte et il n'y a personne. Je soupire déçu. Son sac a terre m'interpelle. Il est remplie de vêtement. Compte-t-il s'en aller sans rien me dire ? J'attrape mon sac à main et mes clés.
— Aria où vas-tu ?
— Prendre l'air maman ! Quoi ça aussi je ne peux pas ?
— Mais qu'est-ce qu'il t'arrive ma chérie, je ne te reconnais plu.
Je lève les yeux au ciel.
— Lâche-moi maman !
Je claque la porte avant qu'elle hurle mon nom. Je prends la fuite en courant dans la rue. Arrivé au rond point, je reprends mon souffle et profite de la chaleur de l'été qui pointe le bout de son nez. Mes pensées occupé principalement par Wes, me donne mal de tête. Des milliers de questions sans réponse... Je vais devoir passer à autre chose. Nous étions vouer à l'échec c'est certain. Il s'en va ! Il en rien à foutre de toi Aria !
Je me commande une glace au melon au marchant de glace et me promène le long du parc. Des petits café ont sortie leur terrasse en ce beau jour. Avant l'arrivé de Wes, j'étais comme c'est gens là. Je souriais et sirotait un verre avec ma mère et mon beau-père. Nous discutions de tout et de rien. Je faisais attention à ne pas contrarier ma mère de peur qu'une de ses crises d'angoisse ne se pointait. Et aujourd'hui, je lui tient tête, je l'envoie royalement chier. Ça ne me ressemble pas certes mais j'ai tellement envie de vivre ma vie ! Elle a même choisis mon université pour ne pas être loin d'elle. J'ai conscience qu'elle a besoin de moi mais je ne pourrais jamais remplacer mon père. Je ne peux pas être la fille parfaite qu'elle veuille que je sois. Si elle savait juste pour Jake... elle serait anéanti. J'ai beau me rebeller contre elle, il y a certain secret que je dois de préserver, comme la relation que j'entretiens avec le fils de son conjoint, qu'elle a l'air de détester.
Mes yeux s'arrête sur la terrasse de mon bar préféré. Ils y sert des cocktails à tomber parterre. Mais regardez comme le hasard fait bien les choses... Wes est assit là avec ses amis tout souriant, trois jeunes filles assissent à leur table. L'un d'entre elle s'accroche au bras de mon amant, hilare. Il ne la repousse pas. Et une colère s'empare de moi. Il ne me ferait pas ça ! Il se tourne vers elle et avant que le pire des scénario se réalise je fonce droit vers eux mon cornet à la main. Mon cœur bat rapidement et une adrénaline que je connaissais pas en moi surgit. Je tire Wes par le bras et écrase ma glace sur le visage de cet pouffe. Prise au dépourvu elle ne bouge pas alors que ses amis sont mort de rire.
— Tu es devenue folle ! cri Wes.
J'arrive pas à croire que j'ai fais ça !
— C'est quoi ton problème ! chiale la pouffe.
Wes maintient mon poignet et je crache ma colère quitte à passé pour une demeuré autant y aller jusqu'au bout.
— On ne touche pas à ce qui m'appartient ! hurlé-je.
Aussitôt ses paroles franchi de ma bouche, je me rend compte de mon état excessif. Je me libère sa poigne. Les sourcils froncés, je quitte ses iris multicolore. Mon dieu dite moi que j'ai pas fais ça !
— Aria !
Ne me suit pas Wes ! Non ! Mais il me rattrape et me fait faire volte face.
— Putain mais qu'est-ce qui ta pris de faire ça ?
— Je pensais que je comptais pour toi !
Il ne répond pas et sa me met hors de moi.
— Tu es jalouse ?
Il sourit, soudain.
— Ça n'a rien de drôle Wes ! Quand je pense que je m'inquiétais pour toi parce que je voyais tes rêves se détruire et toi ! Toi tu te pavane avec cette...cette fille ! J'étais quoi ? Un super coup pour la rock star que tu es ?
— Quoi ? Mais...
— Wes, l'arrêté-je d'un main, je ne veux plus rien savoir. Vis ta vie.
Des larmes menaçant de monter je lui tourne le dos pour qu'il ne remarque pas ma tristesse. Je me suis tromper à son sujet. Il ne ressens pas les même sentiments que moi. Que suis-je bête !
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